Boucliers de force des vaisseaux
Boucliers de force des vaisseaux

Boucliers de force des vaisseaux

Nous remercions infiniment les TAYGETIENS pour leur dévouement à l’humanité. 

Nous remercions Cosmic Agency , SPECIALEMENT GOSIA pour tout le travail qu’elle effectue afin que nous soyons informés ainsi que toute l’énergie et de toute la conviction qu’elle émane.

Nous remercions  AnnC pour la traduction

 

LA GUERRE N’EST PAS FINI MAIS UNE BATAILLE EST GAGNEE l

NOUS MOURRONS AVEC DE LA CONNAISSANCE ET NOUS REVIENDRONS SPECIALEMENT POUR GAGNER CETTE GUERRE…

Boucliers de force – Yàhzi Swarùu

 

Dale : J’ai pensé à :

1) Les armes.

2) Les modules médicaux.

3) Les combinaisons intelligentes.

Est-ce que l’un d’entre eux serait le meilleur sujet ou un sujet préféré ?

Gosia : Elle ne veut pas aller dans les pods médicaux. C’est trop facile pour elle, elle l’a dit une fois. Elle veut des choses plus complexes. Qu’est-ce qu’une combinaison intelligente ?

Dale : Le dernier cri en matière d’habillement.

Yàzhi : Comme les combinaisons de vol taygétiennes. Elles vous protègent des dommages, de la température et de bien d’autres choses, elles deviennent une armure ou d’autres choses.

Les combinaisons intelligentes sont faites de matériaux de haute technologie, principalement des tissus polymorphes et remplie de capteurs contrôlés par ordinateur, elles sont comme du spandex. Elles sont dotées d’une interface mentale et de capteurs contrôlés par ordinateur avec une intelligence artificielle avancée qui leur permet de réagir à tout moment. Elles sont alimentées par un petit réacteur à point zéro situé dans la ceinture.

Elles fonctionnent comme la peau d’un vaisseau spatial qui se répare et minimise les dommages à l’intérieur ; le matériau est programmé pour être à sens unique ; dans le cas d’une combinaison, il doit aussi être flexible et confortable.

Dale : Donc, les combinaisons intelligentes peuvent contrôler et réguler la température du corps et aussi contrôler les fonctions corporelles, y compris les éliminations, correct ?

Yàzhi : Euh, non, vous devez toujours aller aux toilettes. Il y en a d’autres plus complexes, mais ce ne sont pas celles auxquelles je fais référence.

Dale : Elles agissent comme une armure et dévient ou absorbent l’énergie des armes cinétiques ainsi que des armes à énergie dirigée, n’est-ce pas ?

Yàzhi : Oui, l’énergie cinétique et l’énergie dirigée sont toutes deux absorbées et, contrairement au bouclier du vaisseau de Star Trek qui s’affaiblit à chaque impact, ces combinaisons rassemblent l’énergie reçue et la dispersent en utilisant un vortex d’énergie toroïdal. Cela rend, virtuellement, le bouclier plus fort à chaque impact. Vous ne pouvez pas détruire l’énergie, vous pouvez seulement la transformer, comme vous le savez. Donc, l’énergie que la combinaison reçoit est dispersée dans tout le toroïde qu’elle est ou qu’elle a ou qu’elle fabrique.

Dale : Je comprends et cela fait sens. Merci.

Yàzhi : Donc, l’énergie ne peut pas faire un trou dans la combinaison, elle ne fait que la disperser autour de vous, c’est la même chose pour les vaisseaux. Plus on les impacte, plus ils deviennent forts.

Dale : OK. Et les champs de force ?

Yàzhi : C’est un bouclier. C’est la même chose, juste une façon différente de le nommer.

Dale : Pouvons-nous discuter de la façon de les fabriquer, ou est-ce trop dangereux ?

Yàzhi : Vous générez un cocon toroïdal avec une dynamique mathématique d’énergie avec une formule de base que j’ai donnée à Gosia il y a quelques minutes.

Tu te souviens du principe de la fréquence dominante ? Tu utilises tellement d’énergie dans ton champ toroïdal qu’il devient la fréquence dominante de la zone immédiatement adjacente. C’est comme si tu produisais plusieurs toroïdes, emboités les uns dans les autres.

Votre vaisseau, ou votre combinaison, se trouve au milieu et constitue le « moteur » énergétique.

Ainsi, lorsque vous êtes touché par une arme à énergie, celle-ci atteint la couche extérieure, qui disperse un peu l’énergie, puis la suivante, qui la disperse encore plus, et ainsi de suite. Au moment où elle atteint le niveau interne des toroïdes, placés les uns dans les autres les couches d’un oignon, l’énergie de l’impact a été dissipée entre eux et, en finale, elle vient alimenter le cocon ou le toroïde du bouclier.

Dale : OK, mais si je veux faire un champ de force ou un bouclier, disons comme une porte ou pour fermer un trou dans le vaisseau spatial. Comment cela pourrait-il être fait ?

Yàzhi : Tu as besoin d’un moteur, un générateur de vortex magnétique.

Dale : Il semblerait que les toroïdes soient la base de toute génération de champ.

Yàzhi : La base d’à peu près tout.

Un générateur de vortex magnétique. Un moteur de vaisseau spatial peut mieux le décrire.

La combinaison et le vaisseau sont les deux choses qui utilisent des boucliers. Les combinaisons et les vaisseaux spatiaux utilisent le même principe pour générer leurs boucliers.

C’est plus facile à décrire dans le cas d’un moteur. Les moteurs des vaisseaux fonctionnent comme une turbine, comme un moteur à réaction. Ils sont constitués de fines turbines intérieures qui tournent en rotation opposées, une dans le sens des aiguilles d’une montre et la suivante dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Ils tournent à environ 100 000 tours par minute en moyenne à la puissance « militaire » standard, c’est-à-dire sans puissance supplémentaire.

Chaque turbine intérieure est alimentée par un courant électrique de très haute tension et de très fort ampérage, de l’ordre du TeV (Trillion Electron Volts). Une turbine dans une direction reçoit une polarité de tension et la suivante la polarité inverse. En tournant, elles inversent le champ électromagnétique de haute énergie qui en résulte à l’intérieur du noyau de la turbine du moteur. Et comme toute chose, il y a un négatif et un positif. Ainsi, le flux dynamique d’énergie fait que l’avant de la turbine a une polarité et que celui à l’arrière a la polarité inverse avec le flux d’électrons chargés.

 

C’est le flux qui en résulte. Et dans le processus, il crée un cocon.

Ce cocon peut être reproduit plusieurs fois comme un oignon en manipulant la relation entre la fréquence électromagnétique sortante de chaque turbine contre-rotative. L’intérieur de la turbine aura une partie semblable à un distributeur à la base de l’axe magnétique en lévitation sans friction. Comme un moteur électrique, comme les brosses de celui-ci, mais sans pièces en contact. Cette pièce donnera à chaque turbine intérieure sa charge nominale.

La relation entre eux change la sortie de chaque champ composant et la moyenne résultante pour le complexe entier de champs enveloppant le vaisseau. Est-ce que je suis compréhensible pour l’instant ?

Dale : Absolument, je comprends et je peux l’imaginer très facilement, merci. Comme je le vois, la partie la plus difficile serait d’isoler électriquement les piles de pales les unes des autres. Au moins pour les humains.

Yàzhi : Oui, c’est une machine mobile compliquée et qui est aussi à l’origine de nombreux problèmes. En 2016, un chasseur Alfratan de classe L a subi un désalignement de l’axe magnétique de la turbine du moteur. Cela a engendré une friction interne de la turbine ce qui a provoqué une explosion et la perte de l’appareil. Cette pièce compliquée en était l’origine.

Maintenant, je dois dire que c’est au-dessus des générateurs de gravité et de la manipulation de la gravité pour la propulsion. C’est plus avancé en ce sens qu’il manipule la fréquence des molécules, de la matière de l’ensemble du vaisseau et de son contenu.

Dale : Si tu te souviens, je t’ai dit que j’utilisais des petites pompes à vide à turbine de 6 pouces de haut dans mon travail de traitement laser. Leur vitesse moyenne est d’environ 80 000 tours par minute et elles ont 8 piles de lames.

Yàzhi : Oui.

Dale : J’en utilise deux en ce moment même. Je pense souvent à ces pompes et aux similitudes avec nos moteurs artisanaux mais bien sûr, elles devraient être modifiées pour déplacer et contrôler le flux d’électrons et non le flux atomique ou moléculaire.

Yàzhi : Non, nous utilisons le flux d’électrons dans un plasma et pas un flux atomique ou moléculaire. Et pour le plasma qui sort de la bouche, nous n’avons pas besoin de propergol comme dans le cas des tentatives humaines rudimentaires de fabriquer un moteur à plasma fonctionnel.

Dale : Comme le plasma dans ce tube, je le traite maintenant. Compris, merci. Sur la droite de l’image se trouve la turbo-pompe dont je parle.

Yàzhi : Merci. Ce plasma est-il purement électrique ou utilises-tu un gaz ?

Dale : J’alimente en énergie un gaz raréfié d’hélium pur. Donc, c’est différent de nos moteurs mais l’idée est similaire.

Ces moteurs utilisent des matériaux très spéciaux pour fabriquer les pales et les boîtiers, etc., correct ? Sont-ils également basés sur des matériaux polymorphes ?

Yàzhi : Oui, les matériaux sont très importants ici, il faut des alliages de titane polymorphes fondus à zéro G et un équilibre parfait du poids pour les aubes de turbine. La température typique du cœur d’un moteur est supérieure à 2000° C. L’équilibre du poids peut être atteint lorsque le matériau est fondu et qu’il se lie moléculairement en utilisant une matrice contrôlée par ordinateur.

Dale : Hmmm, je n’ai pas noté que tu as dit que nous utilisons un propulseur. Je ne le savais pas. Je pensais que c’était simplement des électrons et de l’énergie libre.

Yàzhi : Ici, nous n’avons besoin que d’un nombre très élevé d’électrons TeV. Sur Terre, ils utilisent du carburant et le plasma électromagnétique est seulement utilisé pour guider le flux d’énergie afin d’augmenter l’efficacité du moteur de la fusée. Il augmente l’efficacité mais ne fournit pas la poussée elle-même.

Dale : Alors, quel type de carburant utilisons-nous ? Devons-nous faire le plein ? Ce carburant est-il facilement disponible, même dans l’éther ?

Yàzhi : Nous n’utilisons pas de carburant. Nous utilisons du courant électrique provenant de condensateurs ou de grandes bobines fonctionnant à des températures supraconductrices et alimentées par des réacteurs à point zéro. Pas de carburant, pas besoin de recharger quoi que ce soit, pas de friction, donc le vaisseau a une portée virtuellement illimitée.

Dale : Oh, je suis désolé, j’ai compris plus haut que tu voulais dire que nous devions utiliser du carburant et cela induit en erreur. Dans le passé, tu n’avais jamais mentionné le carburant et je ne pensais pas que nous en utilisions.

Yàzhi : Oui, c’est un point zéro à pleine efficacité. Je parlais des moteurs-fusées à haute énergie à entraînement magnétique qui sont actuellement développés au Jet Propulsion Lab de la NASA.

Dale : Ah, c’est plus logique. Je comprends, désolé, je ne pense plus en termes de NASA et de fusées et autres, depuis que j’ai commencé à parler avec toi et ma famille. Après tout, c’est tellement primitif. Cependant, nos avions utilisent du zirconium ou des alliages de titane.

Yàzhi : Ils sont trop fragiles et ils ne sont pas polymorphes, donc ils ne peuvent pas s’auto-réparer, ce qui crée des fissures intérieures qui entraînent la destruction de la turbine.

Dale : Oui. Tu as raison sur tous les points et c’est le problème des engins fabriqués par l’homme et des

moteurs à réaction ici et maintenant. Ils seraient meilleurs s’ils pouvaient fabriquer les pales dans l’espace, en gravité zéro, pour un meilleur alliage, mais ils ne font pas grand-chose de ce genre à ma connaissance.

LE JOUR SUIVANT :

Yàzhi : Nous parlions donc de générer des boucliers.

Dale : Oui, continue s’il te plaît.

Yàzhi : Hier, j’ai décrit l’enveloppement d’un vaisseau dans un toroïde magnétique. Le magnétisme seul ne suffira pas, c’est le moyen d’arriver à ses fins. Ce dont vous avez besoin dans la combinaison de l’électromagnétisme, c’est de contrôler la fréquence spécifique, parfaite et précise du bouclier. Ce que nous appelons les harmoniques du bouclier à l’instar de ce qu’on voit vaguement dans Star Trek (à tort d’ailleurs).

Ces harmoniques sont contrôlées par l’ordinateur central de l’IA (Intelligence Artificielle) et sont obtenues ou modifiées en variant la relation entre les multiples turbines contre-rotatives et la tension appliquée à chacune d’entre elles, ainsi que la vitesse relative entre elles.

Ce bouclier électromagnétique avec des harmoniques spécifiques va générer un plasma, des particules chargées, qui diffuseront l’énergie reçue d’une arme, comme un canon à plasma ou un laser. Il ionisera l’énergie et alimentera simplement le plasma en énergie supplémentaire.

Mais, il y a la dernière partie, la plus intéressante : comme tu t’en souviens, avec le rayon tracteur, vous pouvez effectivement générer n’importe quoi si vous avez le plan énergétique à un niveau moléculaire. Ce bouclier enveloppant l’ensemble du vaisseau fonctionne exactement de la même manière, car c’est exactement le même principe.

En théorie, vous pourriez donc envelopper le vaisseau dans un « cocon de titane » imprimé ou un « cocon d’acier » imprimé. Mais un bouclier qui est solide n’est pas aussi fort qu’un bouclier qui est déjà vaporisé. L’impression produit donc des particules à haute énergie à un taux de puissance très élevé. Je parle de plusieurs trillions de Tesla.

Qu’est-ce que la matière noire pour nous ? Simplement tout ce qui est matière qui n’est pas en 3D. Maintenant, ce bouclier antimatière peut ne pas être considéré comme tel par les humains, qui ont une autre définition de l’antimatière.

Je corrige une erreur : La matière noire n’est pas de l’antimatière. L’antimatière est la même structure nucléaire et moléculaire avec une charge opposée, non ? Cela tend à s’annuler !

Dale : Oui. Exactement, mais c’est la définition humaine.

Yàzhi : Tandis que la matière noire est une masse que les sciences de la Terre n’ont pas été en mesure d’expliquer, mais qui doit exister selon leurs formules. Elle doit être là, mais ils ne peuvent pas la trouver.

C’est simplement expliqué comme dans un « Bof, trop facile pour nous », c’est parce que la science humaine ne peut rendre compte que de la matière observable en 3D et pas de tout ce qui est dans une autre densité-dimension.

Donc, avec un bouclier qui génère sa propre énergie, que se passe-t-il lorsque vous lui donnez plus d’énergie, que ce soit du cœur du tore qui le forme ou de l’extérieur, il devient simplement plus fort. Vous nourrissez la bête. Donc, plus vous tirez sur un de nos vaisseaux, plus le bouclier se renforce. Qu’il soit cinétique ou énergétique.

Cinétique, comme une balle d’uranium appauvri voyageant à 1500 pieds par seconde, elle ne pourra pas pénétrer parce que lorsqu’elle atteint le bouclier, l’énergie qui s’y trouve est si grande qu’elle la vaporise et la transforme en énergie pure.

Et, comme si cela ne suffisait pas, la fréquence est si dominante qu’elle modifie également la densité d’existence de la balle entrante, selon le même principe que lorsque vous faites sauter le vaisseau dans l’hyperespace, ce qui alimente à nouveau le bouclier.

Maintenant, un problème pour les humains, que se passe-t-il à l’intérieur d’un vortex d’énergie de cette nature. Aucun signal ne sortirait jamais, rendant le vaisseau « incommunicado ». Mais, c’est valable avec la radio et les micro-ondes (plus de radio, juste une autre fréquence). Mais nous, nous utilisons la gravité engendrée par le muon et le neutrino. Ce signal passera parce qu’il existe en tant que flux dans l’éther à une fréquence supérieure à UHF (Ultra High Frequency) au-dessus de toutes les dimensions de densité.

Cela signifie : Que la gravité peut pénétrer les boucliers des vaisseaux spatiaux. Donc, cela implique des armes à gravité. N’est-ce pas ?

Dale : Peut-être.

Yàzhi : Et, elles existent ?

Dale : Ha, je parie qu’elles existent.

Yàzhi : Si vous pouvez créer une gravité artificielle pour le confort de l’équipage d’un vaisseau spatial, vous pouvez la concentrer en un faisceau.

Dale : Vraiment ? Un faisceau de gravité. Joli.

Yàzhi : Et, vous le faites tout le temps lorsque vous envoyez des fréquences spécifiques ciblées en communication, juste plus concentrées, comme celles de vos lasers. Qu’est-ce que la gravité ? Les humains ne veulent pas le dire ou simplement ne le comprennent toujours pas.

Dale : Les humains n’en ont aucune idée.

Yàzhi : C’est un flux dans l’éther. Mais, ils ne reconnaissent pas la simple existence de l’un ou l’autre alors, comment le pourraient-ils ? Et bien sûr qu’ils le font, Dale, mais ils le gardent dans, ou à l’intérieur, de projets cachés.

Dale : Ils ne le reconnaissent pas parce qu’ils ne le comprennent pas. Même s’ils l’utilisent.

Yàzhi : S’ils reconnaissaient qu’ils savent, alors ils ouvriraient une boîte de Pandore où ils finiraient par devoir donner de l’énergie gratuite à la population humaine, alors ils affirment ne pas savoir. Mais ils savent !

Peut-être qu’ils peuvent l’utiliser ou même la générer sans avoir la moindre idée de ce que c’est. Cadeau !

Chaque vaisseau possède des générateurs de gravité le long de sa coque. Les générateurs de gravité, qui ont la forme d’une sphère de mercure enrichi en rotation, servent de surfaces de contrôle sur un avion standard, pour les manœuvres, le changement d’aspect, le tangage, le roulis, le lacet, comme les ailerons, les volets, le gouvernail et les bords d’attaque d’un avion. Ils peuvent déplacer l’engin, le vaisseau spatial, comme une propulsion à vitesse limitée. Pas pratique pour voyager. Pour cela, vous avez besoin d’un jet de plasma ou d’un hyperespace (remarquez que je n’utilise pas le mot « distorsion », car il s’agit de l’espace courbe d’Einstein, et c’est tout simplement de la foutaise).

Mais, ces simples générateurs de gravité alimentent le bouclier avec leurs propres cocons à haute fréquence, en des points spécifiques le long de la coque. Et ceux-là, seuls, sont très efficaces contre les armes à gravité. Même principe, la déviation, comme pour la matière, le plasma ou autre, ça désamorce l’onde entrante et la répartit sur le bouclier lui-même.

Donc, en conclusion de cette partie, le bouclier d’un vaisseau n’est pas seulement une énergie d’une seule fréquence, mais c’est un oignon très complexe de dynamiques énergétiques hautement contrôlées allant du magnétisme à haute énergie au plasma en passant par les particules d’antimatière générant un point zéro et la gravité, le tout en un.

Alors, est-ce que je suis compréhensible ?

Dale : Oui, tout à fait. Merci pour cette explication détaillée. Gosia : Une image qui pourrait l’illustrer ?

Yàzhi : Une seconde, laisse-moi voir ce qui est disponible.

Je n’aime pas utiliser les illustrations de Star Trek ou de Star Wars parce qu’elles confèrent une impression de science-fiction, pas comme quelque chose qui fonctionne en ce moment autour de moi. Même l’électricité qui alimente cet ordinateur qui envoie un signal au vôtre provient de l’énergie du point zéro des 4 réacteurs de vaisseaux.

Il n’y a pas beaucoup d’illustrations en ligne. Je pourrais faire du photoshop, mais j’ai besoin de temps.

C’est stupide, très peu technologique, des boucliers qui s’effondrent et des écrans cathodiques (Cathode Ray Tube). Nous sommes bien au-dessus de la technologie de Star Trek.

Dale : OK, donne-moi un moment, je dois revenir au début. Très bien, lorsque nous avons commencé la conversation, tu parlais des moteurs, des turbines à contre-rotation.

Yàzhi : C’est ce que j’aborderais ensuite, le comment.

Dale : Donc, pour être clair, contrairement à nos, ou mes petites turbines, avec de nombreuses piles de pales, les piles de pales dans notre vaisseau tournent en fait à contresens plutôt que d’aller toutes dans la même direction. Est-ce exact ?

Yàzhi : Oui, elles tournent en sens inverse pour créer une charge différentielle qui crée un effet de tourbillon dans le cœur de la turbine et, avec elle, l’électricité à des niveaux de TeV explose en un toroïde de plasma électromagnétique avec des fréquences contrôlables et spécifiques qui, à son tour, peut être utilisé pour la formation de boucliers ou pour la propulsion en utilisant l’effet Plasma Jet ou le saut toroïde hyper spatial.

**Fait amusant : le cœur de la turbine de chacun des 4 moteurs principaux de ce vaisseau est si grand que 3 chasseurs de classe SUZY pourraient y tenir. Imaginez seulement la poussée qu’ils génèrent!***

 

Dale : Je peux et ne peux pas en même temps. Ok, merci. Clarification suivante. Si nos boucliers sont si puissants et se renforcent avec les attaques, comment est-il possible que quelqu’un puisse endommager ou perdre un vaisseau lors d’une attaque ou d’une guerre, ou même tout autre vaisseau ET, disons avec une protection égale.

Yàzhi : La vulnérabilité serait de connaître la séquence de base des harmoniques du bouclier. C’est la gamme de fréquences spécifiques des niveaux magnétiques du bouclier, qui contrôlent ce que font les autres niveaux. Si vous connaissez la relation mathématique, vous connaissez la fréquence du flux d’énergie qui génère les boucliers à tous les niveaux. Vous pouvez générer une explosion scalaire de haute énergie avec un canon à plasma ou à énergie avec des harmoniques de fréquence destructrices exactes, conçues spécifiquement pour perturber la dynamique du flux d’un vaisseau ennemi.

Gosia : Et c’est ce qu’ils font quand ils vous attaquent ?

Yàzhi : Oui. Vous devez donc modifier les harmoniques de base du bouclier de temps en temps pour vous assurer qu’elles ne sont pas transmises à l’ennemi.

Dale : Je vois, je ne m’attendais pas à cette réponse, mais je comprends maintenant que la seule façon de pénétrer les boucliers est de connaître la dynamique des fréquences.

Gosia : Comment pourraient-ils connaître cette fréquence ?

Yàzhi : Un espion. Même les capteurs peuvent donner quelques indications (pas assez cependant) mais l’utilisation de la technologie du spectromètre permet de lire des plages de fréquences en comparant sur un tableau la façon dont une particule connue se comporte lorsqu’elle interagit avec les différents niveaux ou couches du bouclier.

Mais dans ce cas, il ne s’agit pas d’une simple fréquence, comme dans Star Trek 7.53 MHz. C’est un code compliqué de séquences mathématiques, dynamique, où vous devez comprendre comment une séquence de fréquences mobiles se rapporte à une autre.

Dale : Par exemple, si j’avais une fréquence de disons 1,5743 Gigahertz, (faible de toute façon), et que l’ennemi créait la même fréquence mais déphasée de 180 degrés, cela annulerait-il la fréquence originale.

Yàzhi : Oui.

Dale : Il est clair que la technologie pour faire ces choses est bien, bien, bien au-delà des capacités humaines et certaines ne peuvent être faites qu’en 5D et plus.

Yàzhi : Si vous avez un bouclier utilisant la ligne rouge, tout ce dont vous avez besoin est de connaître sa fréquence et , ensuite, générer son opposé (ligne bleue). Et vous annulez la ligne rouge, plus de bouclier : le vaisseau ennemi devient vulnérable.

Dale : Merveilleux, je pense que cela couvre à peu près tout.

Yàzhi : OK. Maintenant, pour clarifier ce qui a également été dit hier, tu as mentionné des alliages de titane spécifiques qui peuvent résister à des températures entre 2000° et 3000° C. En théorie, vous pouvez fabriquer une turbine magnétique contre-rotative. Le premier problème est celui des tolérances serrées nécessaires. Ensuite, il faut un équilibre parfait de la turbine car vous utilisez un régime très élevé, supérieur à 100 000 tours/minute. C’est plus de 10 fois le moteur d’une voiture de course. Sur Terre, comment peut-on fondre une pièce de turbine parfaitement équilibrée en alliage de titane ?

Dale : A propos, les tolérances des aubes de mes petites turbines entre l’extrémité de l’aube et le boîtier extérieur sont de l’ordre de 0,0001’’ (2 ,54 microns) et l’équilibre doit être presque parfait.

Yàzhi : Très bien ! Alors nous avons le problème principal.

Dale : Nous utilisons également des paliers à lévitation magnétique.

Yàzhi : Joli et avancé !

Sur Terre, vous perdez une pale de ventilateur sur un avion et vous pouvez toujours atterrir à l’aéroport le plus proche. Dans notre cas, que se passe-t-il si notre vaisseau subit une panne de turbine ici, à 440 années-lumière de sa cale sèche ? Il peut faire de l’hyperespace avec un seul moteur. Et il a aussi 4 autres moteurs mineurs. L’utilisation de métaux polymorphes résout le problème.

C’est ainsi que sont construites les coques des vaisseaux.

Des micro-fissures qui, plus tard, causeront un problème majeur.

Dale : Maintenant, remarque que chaque pile de pales sur ce moteur, toutes différentes avec des angles différents pour la compression du carburant, mais toutes allant dans la même direction et à la même vitesse. Dans notre vaisseau, chaque pile de pales tourne dans le sens contraire?

Yàzhi : Oui. Cela résout aussi le problème de l’inertie, problème qui nécessite qu’un avion standard ait une « roue de compensation », surtout dans les avions à hélices monomoteurs.

Les turbines d’un vaisseau spatial n’ont pas des pales de la taille de celles d’un moteur à réaction, car elles ne compriment pas l’air, elles ne compriment rien. Ce dont elles ont besoin, c’est de conduire très, très efficacement de très hauts niveaux d’électricité dans un flux. L’alliage métallique de la turbine doit donc être, non seulement résistant à la chaleur, mais aussi auto-réparateur, et si cela ne suffisait pas, il

doit être supraconducteur à très haute température. Il s’agit donc d’un alliage très spécial. Il faut donc une structure moléculaire spécifique dans le métal de la turbine. Cette structure est cristalline.

Dale : Une structure cristalline ordonnée ou un méta-cristal ?

Yàzhi : Méta-cristal et polymorphe. Le métal est un cristal ou a la forme d’un cristal. Ce sont des méta (plus) qu’un cristal comme l’a dit Dale.

Dale : Dire littéralement aux atomes où se placer dans la structure du réseau cristallin lorsque vous créez la pièce, c’est tellement cool.

Yàzhi : Donc le flux électrique est presque parfait ou parfait. Cela signifie qu’on aura un flux uniforme dans toute la section de la turbine. Si vous avez plus de flux près de la base où il est alimenté en électricité et pas autant à l’arrière, le résultat sera chaotique et vous créerez une résistance. Purgez le plasma hors fréquence qui est inutile, il ne fait que consommer de l’énergie, perturber le courant, etc. C’est pourquoi le métal de la turbine lui-même doit être supraconducteur, la structure d’un métal polymorphe. Il s’agit de particules fondues qui ont des points de liaison chimiques et électriques programmables. Par intelligent, j’entends contrôlé par l’IA. La complexité de chaque particule polymorphe rend nécessaire la suppression de toute interférence, y compris la gravité.

Dale : C’est aussi pour cela qu’il doit être construit à 0 G et par des champs magnétiques intelligents, non ?

Yàzhi : Oui. Chaque pointe est indépendamment contrôlée par une fréquence par un courant contrôlé par un ordinateur holographique à IA. Chaque pointe repousse ou en attire une autre, et peut être programmée pour réagir, repousser ou attirer d’autres personnes spécifiques en fonction du champ électrique/magnétique dans lequel elle se trouve. Cela signifie qu’en utilisant des gammes de fréquences spécifiques pour des zones spécifiques d’une structure, vous pouvez contrôler les particules pour qu’elles se lient les unes aux autres en prenant une forme très précise, à volonté. La liaison moléculaire est plus forte que la liaison entre le titane ou l’acier de qualité aéronautique standard. Cela signifie que vous pouvez contrôler par ordinateur le métal polymorphe pour lui donner la forme que vous voulez et tant qu’il sera dans cette forme, il formera une masse solide.

Dale : Structure atomique aléatoire.

Yàzhi : Elle n’est pas aléatoire, elle est contrôlée au niveau moléculaire ou quasi-moléculaire par l’utilisation des harmoniques de fréquence. Et si une telle structure subit des dommages, elle ne peut être et observer qu’une seule forme, donc elle guérit en quelques nanosecondes. Pas de problème de fatigue du métal car aucune fissure ne peut se produire, les turbines sont aussi bonnes et neuves que d’habitude.

Dale : Désolé, je voulais dire que la construction humaine est aléatoire.

Yàzhi : Oui, ou presque. Ainsi, avec les harmoniques, vous pouvez programmer le métal polymorphe pour qu’il prenne n’importe quelle forme avec une structure cristalline. Ce n’est pas un cristal complet. Et, il y a d’autres applications pour ce matériau en tant que cristal comme les endroits transparents de la coque, (utilisés dans ce vaisseau pour les fenêtres et les auvents où la fenêtre est aussi solide que le reste de la coque qui l’entoure), les métaux supraconducteurs transparents. Les humains pensent qu’ils

peuvent tout rétroconcevoir sur un vaisseau non-humain. Je ne pense pas qu’ils puissent faire quoi que ce soit pour reproduire cette qualité de métal.

Dale : Pas du tout. Même dans les projets secrets.

Dale : Oh, cool, j’utilise ce truc.

Yàzhi : Chaque pointe est un point de liaison. Et quand elle est exposée à un champ. Certains en attirent d’autres, d’autres non. La forme de l’objet final dépend des harmoniques telles que conçues par l’ordinateur qui assigne des harmoniques à chaque endroit de l’objet qui le forme et lui donne sa forme avec plusieurs fréquences d’énergie auxquelles le matériau est exposé. La théorie est assez simple.

Le métal peut non seulement conserver une forme solide, mais il peut aussi se déplacer comme sur l’image. Il peut onduler, se déformer ou s’ajuster. Cela contracte et dilate certains composants créant la différence entre la relation de chaque couche ou pale de turbine pour varier la sortie, ou la fréquence de sortie du moteur. Donc, pas besoin de servos, pas de pièces mobiles en dehors de celles pour la rotation et la précision est grande. Une grande précision est nécessaire pour créer la fréquence exacte correspondant à une destination en hyper vitesse.

Une partie qui bouge pour changer quelque chose.

Je dois y aller. Je peux continuer la nuit si tu veux et si tu es intéressé. Si cela fait sens car je ne sais pas comment tu vois cela.

Dale : Toujours intéressé. Une question rapide. Cela te dérange-t-il que je sois interactif dans notre conversation ou préféres-tu que je reste silencieux et que je ne t’interrompe pas ? Je traite cela comme si nous étions face à face et que nous parlions, tu vois?

Yàzhi : Interagis autant que tu le souhaites, s’il te plaît. Quand j’ai besoin de continuer à écrire sans être interrompue, je le fais, puis je m’arrête et je te le lis…

LE JOUR SUIVANT :

Dale : Ok, es-tu prêt à repartir ? Penses-tu que nous ayons discuté de manière adéquate des boucliers et des équipements associés ? Je crois que nous avons eu des réponses à toutes nos questions.

Yàzhi : Nous pourrions aller plus loin. J’ai une question stupide.

Dale : Ok, s’il te plaît.

Yàzhi : Pourquoi les

s’affaiblissent-ils à chaque impact ? Je veux dire que pour moi, ce n’est pas logique. Je peux comprendre si quelque chose peut passer à travers.

 

 

Dale : Je n’en ai aucune idée, si ce n’est pour générer de l’excitation. Et personne ne comprendrait que les boucliers deviennent plus forts ou qu’ils transmutent une énergie en une autre.

Yàzhi : Oui. Parce qu’ils agissent comme un bouclier de fer qui s’affaiblit, pas comme un bouclier énergétique, car si ce qui les génère n’est pas endommagé, alors pourquoi s’affaibliraient-ils ?

Il faut de l’énergie pour déclencher un effet de point zéro. Donc, par effet de paire, plus il y a d’énergie d’un côté, plus l’autre répondra en conséquence. C’est pourquoi lorsque vous tirez avec une arme à énergie sur les boucliers, ils ne font que se renforcer parce que cela alimente un côté et l’autre compense, effet d’appariement.

Ceci s’adresse à Gosia (Yàzhi montre une vidéo), pas tellement à toi, Dale, car tu as déjà vu cela : Maintenant, alimentez la machine avec plusieurs milliards de Tesla et vous verrez ce que je veux dire.

Dale : J’ai du mal à imaginer un milliard de Tesla. Yàzhi : Plutôt un trillion de Tesla.

Dale : Le plus grand aimant sur Terre que je connaisse actuellement fait 40 à 50T. Il est situé en Floride, aux États-Unis.

Yàzhi : Vous comprenez maintenant pourquoi rien ne peut traverser ces boucliers ! Ok, vous pouvez voir mes chiffres comme étant un peu exagérés, peut-être. Mais rappelez-vous que nous parlons de très grosses machines ici. L’une des turbines de ce vaisseau fait environ (chiffre non exact) 150 mètres de long.

Dale : J’ai vu des nombres de Tesla de plusieurs milliers ou dizaines de milliers dans des dispositifs d’implosion magnétique, mais ce champ ne dure qu’une fraction de seconde.

Yàzhi : Je traduis en Tesla uniquement avec mon esprit. J’utilise normalement l’électron-Volt pour cela, dans le calcul de TeV.

Dale : Oui, compris.

Yàzhi : Les moteurs de notre vaisseau : 8 turbines à plasma contrarotatives, 4 principales, 4 secondaires, et ce qui les alimente, ce sont 4 réacteurs toroïdaux à double noyau de cristal au point zéro, de la taille d’une grande grange. Leur énergie passe par une série de 12 bobines super conductrices, 6 de chaque côté du vaisseau, puis dans les moteurs.

Cette fois, Star Trek a presque réussi, car c’est plus ou moins la façon dont l’USS Enterprise NCC 1701 est installé, mais l’Enterprise n’a pas de « turbines ».

Et les câbles qui alimentent le système font, à eux seuls, environ un mètre de diamètre et sont supraconducteurs. Le noyau doit faire environ 70 cm, plus l’isolation, et il y en a plusieurs d’entre eux. Ils ressemblent à des tuyaux, pas à des câbles. Je parle ici de mémoire, il faudrait que je consulte les ingénieurs pour obtenir les chiffres réels, mais je suis sure que je ne suis pas si loin du compte.

Dale : Comme les câbles qui soutiennent le pont de la baie de San Francisco.

 

Yàzhi : Comme ceux-là, oui.

Mais vous devez comprendre que ces moteurs magnétiques ont besoin d’autant de puissance pour 12 changer la densité et propulser un vaisseau de près de 2 kilomètres de long, soit un mile et un quart. Et qui sait à quel point il est lourd ! Imaginez la puissance nécessaire pour changer la fréquence de la matière qui compose un vaisseau de cette taille.

Dale : Est-ce que le fait d’envelopper le vaisseau dans la bulle 5D et dans un tore change la densité du vaisseau ou sa masse d’une manière quelconque?

Yàzhi : Oui, c’est ainsi que cela fonctionne. Le vaisseau est enveloppé dans son propre tore. Et le tore change la fréquence de tout ce qui est à l’intérieur de par le principe de la fréquence dominante. Donc, l’ordinateur à IA changera la fréquence du vaisseau et de tout ce qui s’y trouve pour la faire correspondre à celle de la destination. Et, comme les choses qui ont la même fréquence sont un ensemble plus grand de la même chose, vous vous retrouvez à la destination.

Dale : Oui, oui, comme il se doit pour la propulsion et le déplacement dans l’Ether d’un point à un autre. Yàzhi : Il ne se déplace pas vraiment à travers l’éther. Il change de densité et de fréquence et une fréquence est la destination. Pourquoi ? Nous devrions nous pencher sur le principe de non-localité. Ce qui signifie que dans l’éther, il n’y a ni ici, ni là. Il s’agit seulement d’un changement de point d’attention en fonction de votre fréquence de perception.

Cela signifie que la Terre en elle-même peut être vue comme n’importe quelle autre planète ayant jamais existé. Donc le vaisseau ne se déplace pas. Il regarde seulement Erra d’abord, puis il regarde la Terre. Mais pour cela, vous devez changer la fréquence de chaque molécule du vaisseau et de tout ce qu’il contient pour qu’elle corresponde à une carte de fréquence indiquant la Terre. Et un vaisseau d’un kilomètre et quart de long a une masse assez importante, donc vous avez besoin d’un sacré paquet de Teslas.

Comme le vaisseau ne bouge pas et qu’il ne s’agit pas d’une propulsion, il n’y a pas lieu de s’inquiéter des débris spatiaux, des rochers, des astéroïdes, etc. La science-fiction dit que c’est dangereux pour un vaisseau spatial car on dit que même un petit grain de poussière peut faire un trou dans une coque. Cela s’applique à la vitesse. C’est l’impulsion, la propulsion, le jet de plasma ou la fusée à plasma. Mais même dans ce cas, l’impact sur un morceau de roche n’est pas un problème car il sera vaporisé et ne fera qu’alimenter les boucliers comme décrit précédemment.

Une autre façon d’expliquer pourquoi tant de puissance en Tesla, ou les TeV, est qu’en termes humains, ce vaisseau et ceux qui lui ressemblent, créent une singularité devant eux, un trou de ver, un pont Einstein Rosenberg, puis sautent dedans. Tout cela à volonté. Si vous le voyez de cette façon, vous comprenez maintenant pourquoi tant de puissance, et pourquoi je n’exagère pas. Et à l’intérieur, pendant que vous y êtes, votre tasse de thé ne sentira pas la moindre ondulation !

Ce vaisseau ne vibrera que lorsqu’il utilisera la manœuvre de propulsion par jet de plasma. Vous sentirez alors l’effort que font ces 4 énormes moteurs pour faire bouger cette baignoire géante. Je le ressens surtout quand il est en rétro poussée. L’effort pour arrêter ce grand et massif vaisseau, de quelque 50.000 mètres par seconde à une vitesse orbitale, quelle qu’elle soit (variable).

 

Tout cela peut sembler très high-tech et ça l’est, mais certaines choses restent simples. Bien qu’il dispose de deux moteurs frontaux pour la manœuvre, la principale rétro-poussée provient de quelque chose d’aussi simple que des godets réversibles.

 

13 Dale : Simple dans le principe, oui, extrême dans l’implication et l’exactitude. Juste un instant. Imaginez que votre technologie, vos connaissances, peuvent sembler et se ressentir pour vous parfois, mais c’est incroyable et presque incompréhensible pour ceux d’entre nous sur cette planète. Je sais que vous l’appelez une boîte de conserve dans l’espace, mais pour le moment, votre vaisseau est magique.

Yàzhi : (montrant l’image)

Gosia : Qu’est-ce que c’est ?

Dale : Hahahaha, comme les avions de course dans Star Wars. Il suffit de monter un siège sur un moteur à réaction et c’est parti.

Yàzhi : Godets de poussée réversibles. Au fait, parfois je ne fais que parler, et je n’ai aucune idée de ce que je dis, ou si je force trop ou si n’en fait pas assez.

Dale : Pas de problème, je suis avec toi jusqu’au bout et je te remercie d’être précise. Yàzhi : (montrant l’image) *Pictures not supported* (images non supportées) Moteur à plasma humain (utilisant toujours du carburant).

Dale : Oui, basé sur la loi de Newton.

Yàzhi : (montrant l’image)

Vous avez besoin de plus de puissance électrique dans les fréquences modulées afin de fonctionner avec le plasma électrique seul, sans gaz, sans carburant et sans propergol, beaucoup plus d’électricité.

Dale : Ce que je comprends aussi, c’est que tout cela est simplifié et exprimé en termes humains pour la compréhension, mais il n’y a pas nécessairement d’équivalents dans les mots humains et donc nos scientifiques ici peuvent ne pas saisir tout cela comme étant réel ou faisable.

Yàzhi : Oui. TeV ou Tesla, nous n’utilisons pas ces mesures. Nous avons les nôtres, elles sont très difficiles à traduire.

Dale : Oui, bien sûr, mais cela aide les humains à comprendre les concepts. Mais, il nous manque toujours les 2/5e du puzzle de base.

Yàzhi : (montrant l’image) *Images non prises en charge*.

Un générateur de plasma pour une buse de jet de plasma. Au centre, l’injecteur. On utilise toujours du Jet Fuel. Par exemple, les avions TR3B brûlent toujours du Jet Fuel, mais peu le reconnaissent.

Dale : Ok, prête pour un autre sujet ? Yàzhi : Oui.

 

 

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