
Comparaison entre les cerveaux de femmes de Taygeta et les humaines ainsi que d’autres domaines
Nous remercions infiniment les TAYGETIENS pour leur dévouement à l’humanité.
Nous remercions Cosmic Agency , SPECIALEMENT GOSIA pour tout le travail qu’elle effectue afin que nous soyons informés ainsi que toute l’énergie et de toute la conviction qu’elle émane.
Nous remercions AnnC pour la traduction
LA GUERRE N’EST PAS FINI MAIS UNE BATAILLE EST GAGNEE l
NOUS MOURRONS AVEC DE LA CONNAISSANCE ET NOUS REVIENDRONS SPECIALEMENT POUR GAGNER CETTE GUERRE…
Article publié le 01 décembre 2021
Swaruù : J’aimerais te demander ton point de vue sur un phénomène sur Terre que nous avons découvert récemment et qui concerne le cerveau des femmes.
Gosia : Que veux-tu dire, Swaruù ?
Swaruù : Nous avons remarqué que leur intelligence spatiale est très réprimée, ou c’est ce qu’il paraît. Nous essayons simplement de comprendre. Par exemple, les femmes ne peuvent apparemment pas garer une voiture aussi bien que les hommes, bien sûr, en généralisant, presque comme si la partie mécanique du cerveau était absente ! D’ici, nous trouvons cela intéressant et un peu inquiétant.
Gosia : Haha. Oui, les hommes détestent les femmes au volant ici. Bien que de nombreuses femmes soient très douées dans ce domaine, moi par exemple ! Et pourquoi trouvez-vous cela inquiétant ?
Swaruù : Nous sommes encore en train de déterminer si c’est quelque chose dont il faut s’inquiéter ou non.
Gosia : Les hommes ici sont généralement plus doués pour les choses mécaniques, les choses techniques, les réparations, etc. Les femmes sont plus orientées vers le cerveau droit. Mais je généralise fortement, bien sûr.
Swaruù : Peut-être est-ce juste un problème d’éducation culturelle et non un problème mental. Vous voyez, ici, les femmes sont très bonnes dans tous les domaines, y compris dans les domaines mathématiques et mécaniques de la vie dans l’espace.
Gosia : Mais pourquoi cela vous préoccupe-t-il ? Je veux dire, une fois que nous serons tous montés en 5D, ces différences vont disparaître, n’est-ce pas ?
Swaruù : Oui, en 5D oui.
Gosia : Je ne sais pas si c’est mental ou purement culturel. Cela pourrait faire partie du piratage de la matrice pour supprimer les capacités des femmes, pour qu’elles restent donc à la maison à faire la cuisine et à élever des enfants au lieu d’être des leaders.
Swaruù : D’accord, le plus drôle, c’est que nous ne l’avons remarqué que récemment. Oui, nous avons vu l’orientation gauche/droite du cerveau, oui, mais le problème spatial chez beaucoup de femmes, c’était effrayant à voir.
Gosia : En général, oui, les hommes sont un peu plus doués pour ce genre de choses, je pense. Swaruù : Nous n’avons pas cela ici, alors c’est intéressant à voir et à étudier !
Gosia : Eh bien, oui. ils disent des choses sur les blondes ici aussi, haha. Nous avons des blagues sur les blagues sur les blondes. Donc être une femme et une blonde, c’est une recette pour un désastre. En tout cas, c’est ce qu’ils disent.
Swaruù : Je m’en rends compte.
Gosia : C’est tellement intéressant pour moi de voir ce qui vous intéresse. Je considère que cela va de soi ici. il n’y a pas lieu de s’inquiéter.
Swaruù : Je ne suis pas blonde, mais la plupart le sont ici, et je t’assure qu’elles ne sont pas du tout idiotes ! Certains sont de niveau génie comme Anéeka ou Eridania. Super intelligentes !
Gosia : Oui, je sais ! Et c’est juste un stéréotype de toute façon. C’est bon pour faire des blagues. Les gens savent que ça ne fonctionne pas comme ça.
Swaruù : Nous nous intéressons à la façon de gagner de l’argent là-bas en général. Nous ne comprenons pas cette question du point de vue du citoyen, juste l’argent comme dans les entreprises et les banques. Nous devons connaître l’expérience des gens avec l’argent. Comment ils parviennent à survivre même lorsqu’ils sont constamment attaqués sur le plan économique.
Gosia : Veux-tu que je parle de cela maintenant ?
Swaruù : Ce n’est pas si important, ou peut-être que si tu peux partager juste une ou deux pensées à ce sujet ensuite nous pouvons passer à d’autres choses plus importantes.
Gosia : OK, laisse-moi réfléchir à la façon de le présenter alors. Voilà : la situation financière du citoyen moyen est à mon avis complètement absurde.
Swaruù : C’est la partie que nous ne comprenons pas.
Gosia : OK, prenons l’exemple de mon ex-petit ami. La société lui fait croire que pour survivre dans le monde, pour être un citoyen responsable, il doit travailler. Afin d’obtenir l’argent nécessaire pour payer les factures, les services publics, la nourriture, le logement, etc., il fait donc à un travail qu’il n’apprécie guère ; il y passe 8 à 10 heures par jour.
Vous rentrez du travail fatigué, vous pouvez donc passer peu de temps avec vous-même, vos proches et vos amis. Le lendemain, vous retournez au travail, vous répétez la même chose tous les jours. Vous gagnez de l’argent pour VIVRE mais vous passez votre vie à TRAVAILLER ! C’est une boucle vicieuse ! On ne peut pas vivre sans avoir d’argent. Vous ne pouvez pas payer votre maison, votre nourriture, et encore moins d’autres choses. Vous devez consacrer des HEURES DE VIE à gagner de l’argent POUR VIVRE, mais vous passez votre VIE À TRAVAILLER ! Tu vois ce que je veux dire ?
Swaruù : Oui. Y a-t-il un moyen de contourner ce problème ?
Gosia : Il est très difficile d’éviter cela pour le citoyen moyen qui n’a pas l’initiative et la créativité ou qui, parfois aussi, n’a pas assez d’argent pour démarrer quelque chose par lui-même. La plupart des gens ne le font pas. Mon frère ne le fait pas. Mon ex-petit ami ne le fait pas. Personne dans ma famille ne le fait. Je suis la seule à défier tout ce système ! Depuis que je suis petite fille, je regarde mes parents travailler tous les jours, revenir pour passer les quelques heures qu’il reste de la journée à faire n’importe quoi parce qu’ils sont fatigués. Puis retour au travail le lendemain. Je leur disais que quelque chose ne va pas du tout ici, comme s’ils ne pouvaient pas le voir ?
Swaruù : Nous le pouvons ! Pourquoi les humains ne peuvent-ils pas le voir aussi ?
Gosia : Les gens vous traitent de folle. Ils disent que c’est la vie, que c’est ce que tout le monde fait, que c’est la réalité. Beaucoup de gens s’en rendent compte. Mais c’est peu si l’on considère l’ensemble de l’humanité parce qu’ils n’ont pas la capacité de faire quelque chose par eux-mêmes. Et la vérité est que vous avez besoin d’argent pour tout ce qui est ici. Pour payer votre logement, la nourriture, les médicaments, les divertissements, tout ! !!! Si je veux voyager. Je dois acheter un billet. Tout est basé sur l’argent. La clé est de trouver un travail qui vous plaise.
Swaruù : Oui, quelque chose qui vous plaît ! Si tout le monde arrêtait de payer des impôts, je veux dire tous ensemble. Et ensemble, le système s’effondrerait, mais en faveur du peuple.
Gosia : Arrêter de payer des impôts ? Tu veux dire tous ensemble ? Je considère que c’est totalement impossible. Comment unir tout le monde pour y parvenir ?
Swaruù : Parce que vous ne travaillez pas tous ensemble. Une seule personne ne peut pas le faire sans créer des problèmes. Tous ensemble, ils le peuvent ! La Cabale a fait et causé les séparations en se basant sur des idées stupides qui sont sans importance, comme la couleur de la peau.
Gosia : Oui, mais tu vois, c’est pour cela que je pense aussi qu’ils ont créé le concept de travail. Je veux dire, vous devez payer pour la nourriture et le logement, donc vous devez travailler. De cette façon, ils ont des gens asservis qui font des choses qu’ils n’aiment pas toute la journée. Ne pas leur donner le temps de se consacrer à ce qu’ils aiment vraiment et à qui ils sont. Les gens n’ont pas le temps d’aller à l’intérieur pour exprimer qui ils sont, voire pour TROUVER qui ils sont parce qu’ils sont coincés à travailler toute la journée ! C’est pourquoi je suis tellement en colère contre ce système, j’ai de la peine à voir toutes les âmes de ces êtres magnifiques piégés (à l’exception de ceux qui ne sont pas réels).
Swaruù : Oui Gosia : Ma mère, par exemple, elle a presque 70 ans et devrait profiter de ses années mais elle doit encore aller travailler et sans pouvoir se consacrer à ce qu’elle aime comme la peinture, la musique, etc. parce qu’elle a encore des factures à payer. La plupart des gens n’ont pas les possibilités ou la capacité mentale et créative de surmonter tout cela et d’essayer de trouver quelque chose par eux-mêmes.
Swaruù : C’est terrible. Vous êtes très courageux d’être là !
3 Gosia : Eh bien, merci mais je vais bien. Mais je suis vraiment en colère et j’ai tellement de compassion pour ces âmes ! Mon frère, par exemple, lorsqu’il m’a rendu visite, il s’intéressait au yoga, à la méditation, à des choses de ce genre. Maintenant il est à l’usine, à déplacer des boîtes 10 heures par jour. Il n’a de temps pour rien d’autre et il déteste ça. Il faut ajoutez à cela les blocages mentaux, psychologiques et émotionnels accumulés au fil des ans qui conditionnent les gens à ne pas être assez courageux pour échapper à cette boucle. On retrouve beaucoup de limitations mentales, émotionnelles, des peurs, des insécurités, etc. Les gens essaient vraiment de faire ce qu’ils peuvent avec le conditionnement dans lequel ils se trouvent. Ils NE SAVENT PAS les choses, on leur raconte des mensonges, ils sont dans la matrice 3D, esclaves du travail, ils ne font pas ce qu’ils aiment, toujours à se soucier de l’argent. Et bien sûr, il y a des gens qui mènent une vie meilleure et qui sont heureux et il y en a d’autres pour qui c’est même pire. Je parle de la moyenne des gens. Je suis au milieu.
Swaruù : C’est terrible ! OK, merci pour l’explication. Gosia : Est-ce que cela t’aide?
Swaruù : Oui, parce que c’est ton témoignage de la terre d’en bas. Merci.
Gosia : As-tu l’impression de comprendre un peu plus ce que j’ai dit ? Je suis sure que je ne suis pas la seule à te l’avoir dit.
Swaruù : Oui, tu as dit beaucoup de choses très clairement.
Gosia : Tu vois, la plupart des gens ne considèrent même pas qu’il y a une autre solution, qu’ils puissent essayer de s’échapper du cercle, de la prison de leur travail. Ils pensent que CECI, C’EST LA VIE et ceux d’entre nous qui pensent différemment sont fous et « pensent que ils sont supérieurs ». Comme si nous ne voulions pas travailler ou quoi que ce soit, comme si nous étions paresseux ! Et je ne suis pas du tout paresseuse. Je peux travailler dur à quelque chose que j’aime ! Comme je le fais avec mes vidéos, ma musique ! Et puis il y en a d’autres qui comprennent mais n’osent pas. Ils aiment la stabilité du salaire mensuel. Même si c’est quelque chose qu’ils n’aiment pas faire. Et puis, il y a ceux qui osent et qui sont heureux.
Swaruù : Oui, je comprends que les gens qui luttent contre le système puissent avoir l’air paresseux du point de vue des autres. Juste un point qui n’est pas encore clair pour moi, en dehors d’un emploi, comment y gagner de l’argent ? C’est ce qui m’intrigue.
Gosia : Comment gagne-t-on de l’argent en dehors d’un emploi ? Du point de vue du citoyen moyen, en ayant sa propre entreprise. C’est ce que je veux dire, faire quelque chose qu’on aime, ouvrir son propre projet comme je l’ai fait avec ma boutique métaphysique. Il y a des investissements, etc. Ne me demande pas comment les gens gagnent de l’argent parce que, honnêtement, je ne suis pas bonne à ça non plus. Je ne suis pas un aimant pour l’argent et j’ai toujours lutté pour subvenir financièrement.
Swaruù : OK, merci, tout ce que je veux c’est comprendre un peu plus.
Gosia : Tu vois, une autre chose qu’il est important pour toi de comprendre à ce sujet c’est que certaines personnes sont tellement programmées dans l’esprit de devoir travailler, d’être un BON TRAVAILLEUR que lorsqu’elles ont un peu de temps libre, elles ne savent pas quoi faire d’elles-mêmes, elles ne connaissent pas leurs passions, ne savent pas comment vivre sans avoir à travailler. Pas toutes bien sûr, mais beaucoup. C’est pourquoi je dis que le système de travail coupe votre connexion d’avec notre moi supérieur. Vous perdez le contact avec qui vous êtes et ce que vous voulez vraiment. Travail Travail Travail. C’est ce qu’ils sont, c’est l’esprit de ruche. Et elles ne le voient même pas. Elles disent : C’EST LA VIE. Mais ce n’est pas la vie ! Je t’en prie.
Swaruù : Quel bon outil pour opprimer les gens ! Ce n’est pas juste, pas étonnant qu’ils ne puissent pas se connecter. Ils ne peuvent même pas être intéressés par quelque chose qui ne rapporte pas d’argent !
Gosia : Oui, beaucoup sont intéressés, mais la façon dont le système est mis en place est que si les choses qui vous intéressent, il est TRES difficile de gagner de l’argent avec ! Comme moi qui fais de la musique, par exemple, ou alors en faisant des vidéos. En général, les artistes sont pauvres. Et c’est ce qui devrait être le plus récompensé à mon avis ! L’art, les soins, ce genre de choses. Mais ce n’est pas le cas. Mais rappelle-toi : tout le monde n’est pas comme ça et beaucoup de gens sont libres ou essayent d’être éveillé. BEAUCOUP mais je pense que ce n’est pas encore assez. Et je ne parle même pas des régions du monde vraiment difficiles ! Je ne peux même pas imaginer à quel point c’est difficile pour eux ! Comme dans les pays pauvres d’Afrique ou quelque chose comme ça. Là-bas, ils rêveraient d’avoir un bon poste d’enseignant dans une école comme ici. Je ne sais pas, c’est le bordel ici.
Swaruù : Oui, merci. Encore une fois, vous êtes très courageux d’être là. Cela me fait même honte de ma société, de la façon dont nous avons complètement résolu tout cela ici. Non seulement nous avons résolu tous ces problèmes mais ici nous sommes complètement encouragés à faire ce que nous aimons et ce que nous faisons de mieux.
Gosia : Merci Swaruù mais, encore une fois, ma vie ici est facile par rapport à d’autres parce que j’ai un esprit différent. Je ne cède pas facilement au système, j’ai une attitude différente. Je ressens tellement de compassion pour ceux dont le conditionnement mental est si profond qu’ils ne peuvent pas aller audelà de la souffrance. La souffrance à tous les niveaux : les cicatrices mentales, émotionnelles, psychologiques, etc. Tant d’âmes endommagées, c’est triste.
Swaruù : C’est terrible, oui !
Gosia : Et il n’y a pas de quoi avoir honte ! Au contraire, c’est quelque chose à quoi on peut aspirer ! Lorsque les gens découvriront qu’il existe d’autres façons d’ÊTRE et de VIVRE, peut-être ouvriront-ils les yeux à d’autres possibilités ! Cela leur donnera de l’espoir ! Qu’ils sachent que nous n’avons pas à être comme nous sommes ici.
Swaruù : Eh bien, oui. Au moins, les quelques personnes qui écoutent pourront comprendre qu’il est possible de parvenir à une structure sociale qui soutient les gens et ne les détruit pas.
Gosia : D’une certaine manière, je dois aussi dire que la société vous encourage à poursuivre vos rêves, à ne pas abandonner, etc. C’est juste que cela reste très souvent au niveau des MOTS. En fait, le système ne soutient pas encore beaucoup les rêveurs. Il y a tant d’obstacles.
Swaruù : Oui, seulement au niveau des mots. Le système empêche que cela devienne faisable !
Gosia : Oui, par exemple, ils font un beau film d’inspiration sur la poursuite de vos rêves. Tout le monde comprend ce que vous devriez faire, etc. Mais quand il s’agit de prendre action dans la vie quotidienne, peu le font et peu le peuvent.
Swaruù : On nous a demandé à plusieurs reprises comment nous pouvons construire d’énormes vaisseaux de 2 km de long qui peuvent voyager d’une étoile à l’autre et en construire plusieurs. Notre réponse est la suivante : nous le pouvons parce que personne n’a à les payer. Nous faisons donc ce qui peut être fait, sans limites. Et oui, à propos des films, j’imagine que les gens disent que c’était une bonne vidéo, ils prennent une grande respiration et comme de bons petits soldats, ils reprennent leur travail.
Gosia : Oui.
Swaruù : Les personnes d’origine lyrienne comme nous et comme les humains, lorsqu’elles sont laissées seules sans l’intervention d’autres espèces, ont tendance à être très coopératives et empathiques les unes avec les autres. Vous pouvez voir que lorsqu’une catastrophe comme un tremblement de terre se produit sur Terre, c’est lorsque les gens dans les rues sortent et aident de manière altruiste. Vous pouvez aussi voir des vols et des pillages de magasins, mais c’est dans ces moments-là que vous pouvez distinguer les uns des autres. Mais la plupart préféreront bien faire !
Gosia : Oui, c’est très touchant pour moi de voir cela en nous, quand je vois des scènes comme celle-là. Mais bon, je crois que j’en ai assez dit.
Swaruù : Non, je te lis et je sens tes émotions. Merci !
Gosia : Je ressens de la compassion et de la frustration, et de la douleur, et de l’amour pour eux. Même si je suis un loup solitaire et que je préfère être seule.
Swaruù : Nous ressentons la même chose d’ici. Nous faisons ce que nous pouvons. Contrairement à ce que certains de tes abonnés peuvent penser, nous intervenons et beaucoup ! Seulement, on ne nous voit pas. Et nos actions sont attribuées à d’autres personnes et à d’autres raisons et c’est fait exprès. Nous ne demandons rien en retour. Ni de vous, ni d’aucun humain. Nous avons besoin d’autres personnes, des humains, pour obtenir le mérite de ce qui a été fait. Sans nous, le monde aurait déjà eu la troisième guerre mondiale et le NWO (Nouvel Ordre Mondial) aurait été mis en œuvre en exploitant les gens au maximum. Même en te disant cela, d’une certaine manière, c’est s’attribuer le mérite de nos actions. Mais je n’ai pas d’autre moyen de te dire ce qui se passe.
Gosia : MERCI. Pour tout ce que tu fais.
Swaruù : Je te remercie aussi pour tout ce que tu fais, parce que c’est vraiment beaucoup !
Gosia : Je ne fais pas grand chose en comparaison à ce que tu fais et ce que vous faites. Mais alors… Voilà, regarde-moi ! Pendant que tu essayes de nous libérer, moi, je suis dans le coup et je me dis que je n’en fais jamais assez !
Swaruù : Non, rappele-toi que ce qui semble petit d’un côté est beaucoup de l’autre et vice versa. Gosia : Oui, je dois continuer à me rappeler cela.
Swaruù : Sais-tu quel est le travail le plus noble sur Terre, le plus respecté par les autres races comme la nôtre ? Tu partageras cette information avec tous vos téléspectateurs.
Gosia : Qu’est-ce que c’est ?
Swaruù : Le travail le plus respecté et le plus honoré est celui de femme au foyer. Qu’il s’agisse d’épouse ou de rester à la maison en tant que mère. Et ses variantes !
Gosia : Nooon ! Pourquoi ? Je déteste ce travail, Swaruù. Il limite les femmes à élever les enfants et à faire le ménage ! Au lieu de s’aventurer plus loin pour poursuivre d’autres désirs.
Swaruù : C’est respecté parce qu’elles donnent tout pour les autres, parce qu’il s’agit d’aimer et de créer un foyer. Cela ne veut pas dire d’avoir des enfants ou d’avoir un mari. Je veux dire que c’est un état d’esprit. Elles donnent vraiment tout pour les autres !
Gosia : Mais Swaruù, ici, c’est un peu différent! Tu dois te rappeler que les hommes utilisent ce stéréotype de la femme pour la maintenir soumise ! Ils veulent des femmes dans ce rôle. Les femmes ont été amenées à croire qu’elles ne sont bonnes qu’à cela. Beaucoup de femmes tombent enceintes et deviennent des femmes au foyer parce que c’est ce que la société leur dit de faire. Elles n’explorent pas au-delà de cela. Elles suivent cette programmation : travail, famille, personne au foyer, enfants, etc. Beaucoup le font simplement parce qu’elles suivent le programme, je pense. Devenir femme au foyer est la prochaine étape à l’ordre du jour dans la société.
Swaruù : Tu réduis ce rôle à quelque chose d’uniquement négatif, comme quelque chose qui limite les femmes. Nous parlons de la femme qui peut tout donner pour les autres en général mais encore mieux si elle part et rend sa vie pleinement valable. Nous ne voulons pas de sacrifices, nous en avons déjà parlé. Nous parlons des aspects de la femme au foyer qui ne sont pas contre la femme. Et oui, je t’entends. Là aussi, vous disposez d’une période limitée pour tomber enceinte. Nous n’avons pas ça ici, donc il peut être déroutant pour nous de voir la perspective dans son ensemble. Les choses sont très différentes ici à cet égard. Ici, vous tombez enceinte même sans homme ! À notre grand désarroi !
Gosia : Oui si être une femme au foyer signifiait vraiment se donner à l’amour, au service des autres et si c’était un véritable choix venant d’une envie intérieure ; alors oui, je suis pour !
Swaruù : C’est de cela dont nous parlons.
Gosia : En ce sens, je me considère même parfois égoïste parce que je n’ai pas cette capacité. M’éloigner de moi-même, de mes intérêts et mes passions par pur amour pour une famille, les enfants, etc. Tu sais que je ne veux pas d’enfants. Je n’ai pas ça en moi. Mais je ne dis pas non plus que je n’aime pas.
Swaruù : Rien de mal à cela ! Au contraire, on ne peut qu’aimer, on ne peut être vraiment authentique que si on s’aime et se respecte d’abord soi-même. Je ne veux pas avoir d’enfants non plus, j’ai eu une fille (moi-même) et c’était très dur pour moi. Le problème, c’est que je m’inquiète toujours d’être enceinte – un danger ou une possibilité constante ! Comme ce corps est génétiquement le même que celui avec lequel je suis tombée enceinte, je sais qu’il est prédisposé à la grossesse. Je suis très fertile, donc je ne veux pas d’une troisième génération de Swaruù. Je me souviens d’avoir été un bébé et d’avoir allaité ce même bébé. Je sais que cela semble fou mais c’est normal ici !
Vidéo source (ES) :
Gosia : Non, non… Je te crois totalement même si cela me semble fou. Tout est possible pour moi. Et n’y a-t-il rien que tu ne puisses faire médicalement pour éviter de tomber enceinte ? Je veux dire, vous êtes tellement avancés sur le plan médical et technologique.
Swaruù : Oui, mais nous sommes tellement avancés que nous laissons maintenant de telles choses à la conscience et au processus naturel. Ceci pour le meilleur et pour le pire.
Gosia : Je vois. Je vois. Swaruù numéro 3, héhé. Plein de Swaruùs qui courent dans l’Univers.
Swaruù : L’Univers a déjà assez de Swaruùs de toutes les lignes de temps et de tous les désordres « qu’elles » ont créés.
Gosia : Haha. Nous vous remercions, Swaruù et son désordre. Merci, et merci de passer votre temps avec moi. Je n’arrive toujours pas à croire que cela se passe réellement. Tu me parles là-haut. C’est fou !
Swaruù : Eh bien, tu ferais mieux de t’habituer à ce que cela soit normal. Ce n’est pas fou, c’est la pensée que cela ne peut pas être fait qui est folle !