
Nous remercions infiniment les TAYGETIENS pour leur dévouement à l’humanité.
Nous remercions Cosmic Agency , SPECIALEMENT GOSIA pour tout le travail qu’elle effectue afin que nous soyons informés ainsi que toute l’énergie et de toute la conviction qu’elle émane.
Nous remercions AnnC pour la traduction
LA GUERRE N’EST PAS FINI MAIS UNE BATAILLE EST GAGNEE l
NOUS MOURRONS AVEC DE LA CONNAISSANCE ET NOUS REVIENDRONS SPECIALEMENT POUR GAGNER CETTE GUERRE…

Robert : Comment pourrais-je lier l’énergie libre à la spiritualité-conscience ?
Swaruu (9) : Rappelle-toi que tout est conscience et que l’éther est conscience, et que la gravité est un flux ou un vecteur au sein de l’éther.
Donc, où que vous placiez votre attention, cela créera ce sur quoi vous placez votre attention. La loi des miroirs. Cette énergie qui crée ce à quoi vous pensez, qui fait que quelque chose de tangible se manifeste, est le point zéro ou « énergie libre ». Vous l’utilisez tout le temps.
Les mathématiques en base 12 ne servent qu’à expliquer scientifiquement (et non humainement) comment fonctionne toute la dynamique énergétique de l’éther, pouvoir la prévoir et être capable de fabriquer des dispositifs qui accentuent ou exploitent ces principes avec une efficacité maximale, sous la forme de réacteurs.
Vos esprits sont scalaires. Ce sont les traducteurs entre l’éther et ce que vous appelez le monde matériel. Mais tout est énergie et le monde matériel n’est qu’une idée, personnelle et partagée collectivement. C’est une illusion. Aussi solide que cette table puisse paraître, elle n’existe pas. C’est une idée.
Dans la navigation stellaire, on cesse de voir une carte des étoiles, c’est-à-dire des positions et des distances physiques comme sur une carte traditionnelle, au profit d’une carte d’interactions mathématiques au sein de l’éther. C’est là qu’interviennent les mathématiques en base 12.
C’est comme dans Matrix, les films. Ils ne voient pas le monde, les rues et les gens mais juste des nombres et leurs relations les uns avec les autres. C’est la même chose. C’est pourquoi nous savons que nous vivons dans une matrice énergétique codée mathématiquement et non dans un monde physique réel et déterministe.
Gosia : Ce qui m’étonne dans ce que tu as dit, c’est que : » Cette énergie qui crée ce à quoi on pense, qui fait que quelque chose de tangible se manifeste est le point zéro, ou « énergie libre ». Nous l’utilisons tout le temps. » Qu’est-ce que l’énergie du point zéro ?
Swaruu (9) : L’énergie du point zéro tient son nom du fait qu’au sein d’une interaction mathématique énergétique dans un système ou une matrice, un point de décompensation est créé entre deux pôles, créant une étincelle utilisable comme énergie.
Mais votre esprit fait la même chose. Il sort une idée de l’éther, ce qui revient à avoir une connexion à la Source (ce que vous êtes vraiment) et la traduit en un flux d’attention (gravité) qui crée une séquence
1 mathématique ordonnée d’impulsions (formation de l’harmonique d’une fréquence) qui transformera votre idée éthérique en quelque chose de matériel, parce que la création harmonique crée des nœuds et les nœuds s’assemblent pour créer la matière avec la forme spécifique de l’harmonique. L’harmonique est mathématique. Donc, ce à quoi vous pensez devient de la matière. L’éther devient matière.
La forme de la pensée est l’harmonique. Dès lors, faites attention à ce à quoi vous pensez car c’est ce que vous allez attirer.
Gosia : Et la gravité, ce flux au sein de l’éther, au sein de la conscience, QU’EST-CE QUI lui donne la poussée créatrice ? Notre focus ?
Swaruu (9) : Le fait que vous soyez conscient de ce que vous êtes, que vous existez, que vous êtes. Je pense, donc je suis. C’est ça l’énergie créatrice, votre esprit, vos rêves et vos peurs, c’est ça qui donne les harmoniques. L’éther ne connaît ni le mal, ni l’amour. Il est, tout simplement. C’est vous qui lui donnez sa forme.
Gosia : Je comprends. Et comment lier la gravité à l’énergie du point zéro ?
Swaruu (9) : La gravité est un courant d’énergie, un flux, un vecteur de mouvement, de la matière en formation; la dépolarisation entre le côté éther et le côté matériel est un flux, ou flux d’énergie, et c’est la gravité. Une dépolarisation, c’est une étincelle. Rassemblez suffisamment d’étincelles de manière contrôlée et vous obtiendrez un soleil miniature dans votre réacteur.
UN AUTRE JOUR – Originellement en espagnol – 2020 (date exacte inconnue) – Enseignements de base sur les mathématiques taygétiennes.
Swaruu (9) : Les maths sont totalement différentes en fonction de la façon dont elles sont écrites. Je dois donc commencer comme à la maternelle… regarde… ceci est un (1) et ceci est deux (2), pour finalement donner des formules d’éther utilisables dans un réacteur à point zéro.
Mais le problème est que pour Taygeta, en base 12, il n’y a pas de zéro dans une progression numérique, donc je peux représenter les nombres 1 à 12 comme 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, X, XI, et XII. Mais qu’en est-il de 13 ou 24 ?
Le 12 est représenté pour vous par 1 2 <— 1 dizaine et 2 unités. Pour Taygeta, le 12 est représenté en une fois avec le symbole « – » qui pour vous est un « moins ».
Pour Taygeta, <> est une soustraction et >< est une addition.
Pour =, il n’y a pas de symbole. Ni pour x (multiplication), ni pour / (division).
Ce qui est le plus proche du 24 pour vous, serait, pour Taygeta, :- qui est égal à 24.
Gosia : :- ce qui veut dire 24, wow ! Symbole – comme un tout. Donc, c’est deux « tous ». Symbole : serait 2.
Swaruu (9) : C’est un cauchemar à traduire. Mais je m’y colle.
La première chose que j’ai faite est de faire les chiffres avec des programmes d’édition. Le problème, c’est que c’est lent et difficile avec chacun d’entre eux. Par exemple, si vous avez les nombres de base 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 0, vous pouvez les copier et les coller pour former n’importe quel nombre.
2 Pour Taygeta, cela ne peut être que limité car de nombreux grands nombres ont leur propre symbole, même s’il est logiquement basé sur des symboles plus simples.
.=1
:=2
I=3
4 Pas de symbole 5 Pas de symbole
II = 6
7 Pas de symbole 8 Pas de symbole
III = 9
10 Pas de symbole 11 Aucun
12 = –
Gosia : Il n’y en a pas ? Et comment sont-ils représentés ?
Swaruu (9) : Je dois les dessiner à partir de zéro et c’est ce que j’ai fait.
Oui, ils sont représentés par des symboles mais je n’ai pas de clavier pour les écrire. Un pavé numérique d’ordinateur n’est PAS adapté aux nombres de Taygeta
Gosia : Wow, merci, je regarde. C’est excitant.
Swaruu (9) : Remarque qu’il n’y a pas de zéro. Cela crée un désordre pour la traduction des formules. Robert : Il n’y a pas de zéro ? Et comment représenter 1000, par exemple ?
3 Swaruu (9) : Oui, il y en a en mathématiques en tant que concept mais pas en écriture. Tout est réduit en puissances de 12.
Il me manque des chiffres. Beaucoup. Par exemple, le nombre 144 s’écrit comme suit — soit 12 X 12. Gosia : Mais — ce serait 24. Qu’est-ce que tu veux dire par 144 ?
Swaruu (9) : C’est là que le bât blesse. Le 24 n’est pas — mais c’est :Les points représentent un douze, le tiret représente les autres douze.
Gosia : Fascinant tout cela. Je pense que ça déclenche quelque chose en moi.
Swaruu (9) : Maintenant, faites de la numérologie avec ça. Cela change tout radicalement.
Quel est ce numéro : I- ?
Gosia : 25 ?
Swaruu (9) : I = 3. 3 douzaines = 36.
Voici 25 :. ( : deux douzaines + . une unité)
Commentaire additionnel récent donné par Swaruu X (Athena)
Swaruu X (Athena) : :. = 2 et . = 1 Le premier emplacement indique les douzaines, le second emplacement indique les unités, ce qui fait que le résultat est ((2 douzaines (soit 24)) + 1).
Mais c’est taygétien et non linéaire ; donc, le nombre 25 peut être représenté par :. comme ci-dessus ou il peut être représenté par :-. soit 2 douzaines plus 1 —> : = 2, – = 12, . = 1 Mais :-. représente aussi un autre nombre : 301 : dans le premier emplacement indiquant (2 X 144 (douzaine de douzaine) + ‘-‘une fois 12 (= 300)) + ‘.’ 1 (= 301).
Gosia : Ok, donc 25 est : :- .
Swaruu X (Athena) : 25 est :. , c’est le plus utilisé.
Gosia : Pourquoi le tiret est-il omis ?
Swaruu X (Athena) : : 2 douzaines et . une unité !
Parce qu’avec un tiret (12), ça commence à être un nombre à 3 chiffres, donc 301.
:-. avec : – .
premier chiffre second chiffre troisième chiffre
4 Revenons à la discussion précédente avec Swaruu 9.
Swaruu (9) : Mais ce que je vois de plus grave, c’est le problème de la nécessité de changer toute la façon de penser. Parce que sur Terre, le nombre 100 est la base. Mais ici, 100 est juste un numéro comme un autre. La base est donc 144 ( — )
Le point au-dessus du tiret est un 1, donc i est = 4
I = 3 et i = 4
Gosia : Wow, amusant !
Swaruu (9) : Oui. Ce sont les chiffres tels qu’ils sont écrits en base 12. Mais il existe aussi une version simplifiée. Je ne l’écris pas encore mais c’est la même chose en moins élaboré. Et enfin, il y a l’écriture des chiffres qui diffère également au premier coup d’œil. La tâche est monumentale.
Gosia : Il y a des figures moins élaborées ?
Swaruu (9) : C’est la même chose mais, par exemple, le 11 est composé de trois tirets avec deux points au-dessus et au-dessous du tiret du milieu.
Robert : Combien de lettres avez-vous ?
Swaruu (9) : Cela dépend de l’alphabet mais, en général, on en compte 36. L’alphabet de Meier est incomplet. Il existe également d’autres façons d’écrire le Taygétien selon les régions ou les planètes, ce qui complique encore plus les choses.
Robert : C’est similaire, mais pas identique, à l’écriture des Mayas qui avaient aussi des tirets et des points.
Swaruu (9) : Oui, c’est vrai, c’est similaire. Mais les Mayas utilisaient la base 20 qui est la même chose que la base 10. Les tirets avec les circuits sont très « taygétiens » comme vous le verrez dans l’alphabet.
Gosia : Est-il possible que certaines de ces mathématiques soient utilisées dans les crop circles ? Je suis presque sûre d’avoir vu certains de ces chiffres dans des dessins d’agroglyphes.
Swaruu (9) : C’est vrai, il y a beaucoup de choses dans les crop circles et, sans la base mathématique 12, vous ne pourrez pas les comprendre.
Gosia : Et pourquoi, alors, les mettent-ils dans les agroglyphes si on ne peut pas les comprendre ? Vous attendez que quelqu’un nous le dise ?
Swaruu (9) : Pour les faire réfléchir. Pour y ajouter les informations qui leur parviendront plus tard, par Robert et Gosia, hi, hi ! Mais ce n’est pas qu’ils veulent y mettre des mathématiques, c’est plutôt qu’il faut comprendre leur géométrie avec ces mathématiques en base 12.
Les formules d’énergie du point zéro sont également fausses. Ce que nous avons donné dans la vidéo « Zero Point Energy » n’est qu’une introduction compréhensible pour eux. Il m’était impossible d’en dire plus à l’époque.
Gosia : Et vos mathématiques ont-elles quelque chose à voir avec les mathématiques des autres races ? Swaruu (9) : Oui, toutes les races avancées utilisent la base 12. Elles changent les symboles mais c’est essentiellement la même chose. Ici, dans le Toleka ou le Suzy, tout est en Taygétien avec des chiffres comme ça. Les données sur le HUD ou les hologrammes de navigation sont écrits avec ces chiffres.
Robert : Nous commençons donc à en apprendre davantage sur votre culture.
Swaruu (9) : Comme je vous l’ai déjà dit, et sur la base de ce que quelqu’un a dit, juste pour référence : ce n’est pas que nous ayons l’air très humains mais que vous ne voyez que notre partie humaine, compréhensible. Vous ne pouvez pas voir la partie non-humaine parce qu’il n’y a pas de référence entre les deux mondes. Il y a trop de choses qui diffèrent. Donc, donner de l’énergie au point zéro est donc un défi. Je fais tout cela avec un clavier et avec des images que j’ai créées avec des programmes humains, ce qui est déjà difficile en soi.
UN AUTRE JOUR – Originellement en anglais – 2020 (date exacte inconnue) – Conversation entre Yazhi Swaruu, Dale Harder et Gosia
Yazhi : Pourquoi un oiseau peut-il se tenir sur une ligne électrique et ne pas se faire électrocuter ? Dale : Il n’est pas relié à la terre donc il ne fait pas partie du circuit.
Yazhi : Exactement. Donc, même si vous avez une énergie illimitée dans l’éther, vous ne pouvez pas y accéder depuis le même point car il n’y a pas de dépolarisation. Il n’y a pas de circuit. Vous devez mettre à la terre quelque chose de l’autre côté, du côté de l’éther, pour créer un circuit, une étincelle.
Que pouvez-vous faire ? Vous devez savoir comment l’énergie circule et fonctionne. Harmoniques et fréquences. Comme tu ne peux pas connaître celles qui se trouvent du côté de l’éther, tu en fais un réseau pour en faire rebondir plusieurs jusqu’à ce que tu aies un effet miroir dans ta dynamique énergétique. Ce qui signifie qu’une particule de ce côté cherchera son miroir de l’autre côté
Il suffit de produire un circuit qui scanne en permanence, en mode « scalaire », ce qui se trouve de l’autre côté. Et, quand ce sera le cas, vous serez « accordé ». Vous avez besoin d’un « tuner » pour créer une dynamique énergétique mathématique avec des gammes de fréquences contrôlées et reproductibles. Un toroïde (tore).
Dale : Donc, c’est auto-réplicatif.
Gosia : Avec quoi le scannez-vous, c’est quoi le tuner ?
Yazhi : Vous avez besoin d’un flux d’énergie constant, de préférence aérien. Le tuner est un métal supraconducteur, de préférence à température ambiante, placé dans une configuration merkabah, car le merkabah est la géométrie de base d’un tore c’est-à-dire qu’il produira le tore autour de lui-même.
Vous alimentez votre merkabah avec différentes fréquences d’énergie pour vous accorder. Mais, ça c’est quand vous n’avez pas encore trouvé la fréquence.
Et alors, la chose commencera à briller ! Et elle produira de la chaleur et de la lumière comme un petit soleil. Et ça marchera toujours. (Sauf si ça fait fondre votre réacteur). Il faut donc des systèmes de refroidissement et de bons matériaux, céramiques ayant des qualités supraconductrices.
Gosia : Qu’est-ce que le métal a à voir avec ça ?
Yazhi : Conduire efficacement un flux électrique sans perte d’énergie puisqu’il est supraconducteur.
Dale : Malheureusement, je ne pense pas que nous ayons déjà des supraconducteurs à température ambiante qui soient disponible au public… En avons-nous ?
Yazhi : Non, nous n’en avons pas, donc nous devons d’abord passer par la métallurgie. Et nous pouvons en parler si vous voulez, puisque j’y pense.
Mais, il existe un objet mathématique de base parfait qu’il faut reproduire à grande échelle pour que cela fonctionne. Un double merkabah. C’est le secret de la machine.
Géométrie parfaite en mathématiques de base 12.
On a une relation exacte et mathématiquement parfaite entre tous les vortex de chaque triangle ou flux d’énergie triangulaire.
Le plus gros problème sont les mathématiques à géométrie complexe en base 12. Notez aussi la similarité avec les lettres.
Dale : Magnifique, n’est-ce pas ?
Gosia : Oui, pas plus tard qu’aujourd’hui, je disais à Swaruu ce que je ressentais en regardant ces mathématiques. C’est comme la musique, l’éther lui-même qui se reflète sous la forme de chiffres, qui coulent, qui dansent, en parfaite harmonie. Cela me rappelle des souvenirs.
Yazhi : L’éther est basé sur et crée tout avec les harmoniques mathématiquement précises d’une fréquence. Et ce n’est rien d’autre que de la … musique !
Gosia : Oui ! C’est exactement ce que je ressens quand je regarde ces chiffres ! C’est la tonalité de l’Univers lui-même ! Être en vie. La base de tout. Et j’ai aussi compris pourquoi j’ai toujours détesté les mathématiques de la Terre : parce que ce ne sont pas du tout des mathématiques! C’est faux et maladroit ! Ca ne coule pas.
Dale : Je me demande comment ça sonnerait.
Originellement en anglais – février 2022
Question du public : « Swaruu a dit un jour : « Une pyramide est matérielle. 1, 2, 4, 8, 7, 5. L’autre est de l’autre côté, le monde spirituel, l’éther, 3, 6, 9. Création de la Merkabah. Créant ainsi le flux d’énergie appelé « libre ». Quelle est la signification de ces chiffres ? »
Swaruu X (Athéna) : 1, 2, 4, 7, 8, 5 d’un côté, 3, 6, 9, 12 de l’autre oui. <— Il manque le 12, comme d’habitude. Les mathématiques utilisées pour, et dans, les pyramides sont en base 12, pas en base 10. Ce n’est pas explicable avec des mathématiques aussi simples, c’est plus compliqué mais la base est celle-là, oui. Elle crée un type spécifique de merkabah.
Tout est énergie, tout est fréquence. Tous les calculs pour construire une machine, tous les calculs du flux d’énergie dans une machine, doivent être basés sur ces chiffres et leurs équivalents complexes. Tous les calculs, tous les calculs de la fréquence de l’énergie circulant à des points spécifiques exacts dans une machine à point zéro doivent revenir à ces chiffres. Ils polarisent l’énergie, les uns dans une polarité, les autres dans l’autre, créant une différence de potentiel, d’où l’étincelle, libérant l’énergie utile.
Gosia : Cependant, dans cette image qui vient de la Terre, le 12 est manquant, n’est-ce pas ? Swaruu X (Athena) : Il manque le 12, oui.
JOUR SUIVANT – Originellement en espagnol – février 2022
Swaruu X (Athéna) : Tout ce qui existe, matière ou énergie, ce qui est la même chose, est basé sur une pompe à mouvement alternatif appelée toroïde (tore). Lorsque l’énergie n’est pas en mouvement dans cette forme de va-et-vient auto-renouvelable, elle est dispersée sous la forme de divers types de rayonnements, du son à la lumière, en passant par le rayonnement ionisant.
Comme expliqué dans les Mécanismes de la Manifestation (vidéo faite il y a 4 ans), la matière telle que nous la connaissons se manifeste en un point ou un nœud tenu par l’harmonique d’une fréquence qui alimente l’onde énergétique élevée en un point spécifique sans s’effondrer. C’est là que l’énergie se concentre pour former ce qui pourrait être décrit comme une particule minimale de matière, étant la même chose que l’énergie, et la matière n’est qu’illusoire, bien sûr.
Mais, dans les Mécanismes de la Manifestation, il manquait un point important ; je ne sais pas si Swaruu (9) l’a oublié ou a simplement choisi de ne pas l’inclure. Elle montre dans ses graphiques d’ondes énergétiques qu’elles forment des nœuds par l’action des harmoniques d’une fréquence sous forme d’une ligne. Elle les montre comme un flux continu de fréquence qui voyage d’un côté à l’autre, comme 8 le ferait (apparemment) le signal d’une station de radio.
C’est-à-dire qu’elle le présente comme une onde continue.
Ceci est cette ligne à laquelle je fais référence, qui se déplace d’un côté à l’autre en se propageant dans l’espace. Cela correspondrait à un faisceau de lumière, localisé, mais pas à la propagation de l’énergie qui formerait un nœud ou une particule. En d’autres termes, même dans les lasers, elle ne se propage pas de cette manière, ce qui est une explication très simpliste de la propagation des ondes.
Les ondes énergétiques se propagent sous la forme de sphères concentriques de cercles, vues en 2 dimensions, comme lorsqu’on jette une pierre dans un étang. Ainsi, voir la propagation des ondes comme linéaire, comme dans l’image ci-dessus, reviendrait à observer le phénomène avec une mentalité unidimensionnelle.
Voici l’image de la propagation de la même onde vue du point de vue bidimensionnel :
Expansion des ondes en 3 dimensions.
C’est le même phénomène vu depuis plusieurs dimensions et, oui, il continuerait à s’étendre en 4D et en 5D et en 6D à l’infini en acquérant plus de complexité.
Mais, dans l’espace que nous voyons ici, qui a, fondamentalement, 3 dimensions de perception directe, nous restons pour l’instant en 3D.
Il s’agirait d’une sphère qui s’étend de l’émetteur vers l’extérieur, se dispersant dans toutes les directions tout en s’affaiblissant lors du processus, ce qui ne formerait un nœud que très temporairement et, d’après d’autres points de vue plus étendus, cela se produit et explique pourquoi toutes les choses sont finies et pourquoi la matière-énergie est également finie. Mais ce serait se lancer dans une digression.
Pour en revenir à la Mécanique de la Manifestation, la seule façon pour un émetteur d’énergie de devenir une ou des particules de matière serait que l’expansion des ondes sous forme de 3D soit amenée à se recycler. C’est-à-dire qu’au lieu de s’étendre à l’infini, elles reviendraient se nourrir ellesmêmes. Et c’est là qu’intervient le fameux tore.
C’est l’expansion de l’énergie avec des dynamiques et des harmoniques d’une fréquence spécifique qui oblige l’énergie émise à se nourrir elle-même avec peu ou pas de dispersion.
Ce qui force une énergie en expansion constante et uniforme à se retourner et à se replier sur elle-même, c’est la gravité à une fréquence spécifique qui affecte la longueur d’onde émise vers l’extérieur comme son exact opposé et équivalent énergétique.
C’est-à-dire qu’une longueur d’onde de fréquence 57MHz est émise et que son équivalent neutraliserait la 57MHz avec un opposé énergétique qui force l' »espace-temps » autour de l’onde émise à se courber sur elle-même. C’est cela l’harmonique d’une fréquence, la synchronisation énergétique exacte qui oblige une onde à ne pas s’effondrer, linéairement.
Formation des nœuds par effet d’ondes stationnaires.
Une onde stationnaire vue en 3 dimensions est un tore. La particule minimale de matière-énergie, disons un électron, est un petit tore.
Les équations contrôlant la dynamique interne de toute onde alternative (toroïde) sont basées sur les mathématiques en base 12 avec, comme principe, que les nombres de base 1, 2, 4, 5, 7, 8, 10, 11 représentent la partie en expansion de l’onde toroïdale et les nombres 3, 6, 9, 12 représentent les ondes en contraction. Ce ne sont pas les vagues elles-mêmes qui retournent au noyau, mais la dynamique énergétique qui force ces vagues à retourner au noyau. Une dynamique énergétique 1, 2, 4, 5, 7, 8, 10, 11 et une autre en 3, 6, 9, 12 avec une charge exactement opposée est créée.
Que se passe-t-il lorsque nous avons des charges opposées de fréquence équivalente ? Une décharge d’étincelles. Et voici la base d’un réacteur à point zéro décrit en quelques mots et avec beaucoup d’informations manquantes.
Remarquez que Tesla a omis les nombres 10, 11 et 12. Si vous insistez sur 1, 2, 4, 5, 7, 8 et 3, 6, 9, les fréquences entre un côté et l’autre ne sont pas équivalentes et aucune étincelle ne se formera.
Très belle image mais fausse et c’est visible à l’œil nu. Les dynamiques entre 1, 2, 4, 5, 7, 8 et 3, 6, 9 ne sont pas équivalentes. Il y a plus de flux ou d’énergie du côté 1, 2, 4, 5, 7, 8. Le point zéro de décharge au centre de l’image n’est pas au centre géométrique de la dynamique énergétique, comme il n’est pas au centre visible de cette figure. Il n’est pas centré. Dans le modèle correct, il serait exactement au centre.