
Swaruu à travers cet article nous parle des différents royaumes de l’au delà…
Nous remercions infiniment les TAYGETIENS pour leur dévouement à l’humanité.
Nous remercions Cosmic Agency , SPECIALEMENT GOSIA pour tout le travail qu’elle effectue afin que nous soyons informés ainsi que toute l’énergie et de toute la conviction qu’elle émane.
Nous remercions AnnC pour la traduction
LA GUERRE N’EST PAS FINI MAIS UNE BATAILLE EST GAGNEE l
NOUS MOURRONS AVEC DE LA CONNAISSANCE ET NOUS REVIENDRONS SPECIALEMENT POUR GAGNER CETTE GUERRE…
Article publié le (14/12/2019)
La Vie après la Mort – Où va-t-on quand on meurt ? – Swaruù de Erra
La base de tout est la loi des miroirs ou la loi d’attraction. Vous êtes et vous voyez ce que votre fréquence dicte et vous êtes votre fréquence ; ce n’est pas que vous avez une fréquence, vous êtes elle.
Lorsque vous mourrez, il ne reste que votre fréquence sans la partie de la manifestation physique solide que nous appelons le corps. Donc, quand vous mourrez, vous voyez ce que vous souhaitez voir parce que, dans les plans supérieurs, tout se manifeste plus rapidement, progressivement plus vite. Mais dans l’au-delà ou dans le monde astral élevé, là où l’on dit que les âmes vont se reposer, tout se manifeste immédiatement car c’est la source. Vous ne faites qu’un avec la source, vous êtes la source, vous êtes à la source.
Mais le concept d’aller à la source donne l’idée d’un déplacement, d’un mouvement, comme si on allait d’un endroit à un autre. Or, la source est partout, tout est la source et, comme cela a été dit auparavant, chaque personne, chaque conscience ou âme ne voit que ce qu’elle perçoit. Ce qui est dans sa conscience, sa perception, est dictée par sa fréquence unique qui, à son tour, est le résultat de ce que vous avez vu, de là où vous avez posé votre attention. Ce résultat constitue vos expériences et vos interactions avec d’autres personnes qui ne sont elles-mêmes, à nouveau, qu’un reflet de vous.
Ainsi, chaque âme est la source. De droit.
Lorsqu’une personne meurt, elle voit et expérimente exactement ce qu’elle s’attend à voir et c’est exactement ce qu’elle trouvera. Comme il a déjà été dit et est connu par ailleurs, si quelqu’un croit en Jésus, il trouvera Jésus ; s’il croit en Allah, il trouvera Allah ; s’il croit en Vishnú, il trouvera Vishnú. Vous croyez au Chat Cosmic ? C’est le Chat que vous trouverez.
Donc, il ne peut y avoir AUCUN piège d’Archonte attendant pour forcer les âmes à se réincarner. On ne les trouve que si on s’attend à les voir. Dès lors, le paradis ou l’enfer est le résultat de la culpabilité ou de ce qu’une personne croit fermement qu’elle mérite. Et c’est la personne elle-même qui génère cela. Tout est donc dû au contrôle mental ou à la perception qu’a chaque âme.
Mais, il est facile de surmonter cela en sachant que vous allez là où, de droit, vous pouvez aller. C’est l’idée-même de blâme, de karma, qui n’est rien d’autre qu’une croyance religieuse, qui force les âmes à revenir.
Vous ne pouvez pas être séparé de la source parce que l’on est la source et que la source est partout.
En soi, un monde extérieur à vous est illusoire. Tout est en vous. Tout ce que vous voulez voir, expérimenter, votre réalité, les lois universelles, les lois scientifiques, tout, est une grande illusion. Ce que vous cherchez, vous le trouvez. Alors se battre pour savoir quel dieu est le vrai, se battre pour savoir s’il y a un dieu ou non et comment ce dieu est, quelle est la particule la plus importante, la primordiale, tout cela n’a aucun sens.
Tout est perception, donc tout est vrai. Ou mieux, tout est un mensonge sauf une chose : ce qui observe, vous-même. Votre âme, c’est la seule chose d’incontestablement réel. Libérez votre esprit et vous vous libérerez de toute matrice.
Gosia : Ouah. Super Swaruù, j’ai compris. J’ai une question : tu as dit qu’après notre mort, nous allons à la Source, mais aussi qu’il s’agit d’un Haut Astral. Alors, qu’est-ce que c’est ? Est-ce la même chose ? Parce que l’Astral serait quelque chose comme la 4D et la Source est la Source. Elle transcende tout, n’est-ce pas ?
Swaruù : Je n’utilise que des mots familiers mais c’est quelque chose que je dois clarifier.
Cet endroit n’est pas une fréquence, c’est le tout, ce sont toutes les fréquences à la fois. Quand vous accédez au tout, vous êtes capable d’être le tout. Être le tout, être conscient et conscient de tout ce qui existe et de tout ce qui a toujours existé et tout est aussi aisément accessible. Le passé, le présent et le futur sont mélangés, convergent en une seule et même chose : c’est la Source originelle. Et vous êtes déjà là et vous y allez quand vous mourrez.
Contrairement à d’autres personnes, j’ai une mémoire totale de cet « endroit ». C’est tout : tout ce que vous voulez que vous soyez ; tout ce que vous pensez, vous le manifestez immédiatement, vous êtes tout. Tout est à votre portée. Vous êtes littéralement un être omnipotent. Là, vous comprenez que c’était vous et vous seul qui avez tout créé et je veux bien dire tout, l’infini dans la création, l’infini dans l’espace et l’infini dans le temps.
Même si vous ne voulez pas en sortir ou si voulez ne jamais en sortir, cela se réalise quand même parce que vous n’êtes, en fait, jamais parti de là. Vous avez seulement choisi de ne vivre qu’une petite partie à la fois : une vie, une incarnation avec une apparente linéarité d’événements animés sur une ligne. Parce que, depuis la source, tout est en même temps, sans temporalité. Et le ¨sans temporalité¨, étant le tout, il comprend aussi le linéaire.
C’est un sentiment d’amour et d’intégration infinie et totale qui vous enveloppe comme une couverture chaude en hiver. Une prise de conscience totale que c’est vous qui avez tout fait, que vous êtes l’intégration et l’amour. Pas de bien, pas de mal, tout est vous, seulement des contrastes sans importance, valables uniquement de points de vue limités à certaines expériences que vous comprenez enfin et que vous dépassez. Cherchez plus, vous cherchez toujours plus, vous comprennez à ce momentlà que vous êtes tout. Et que c’est bien, que vous êtes, par définition, la source créative et, donc, vous êtes indestructible.
Et c’est pourquoi vous osez vous incarner à nouveau, parce que vous savez que vous ne pouvez pas vous perdre. C’est seulement votre propre jeu. Et ce que les choses que les autres personnes vivent, le concepts des autres personnes comme les vies orageuses, les exécutions, la souffrance, la torture sont des choses que vous ne vivez pas, ce sont donc juste des concepts.
Bien que cela peut passer pour « ignorer la souffrance des autres », cela n’est valable que d’un point de vue limité principalement à la 3D ou à la 5D. Je répète qu’il est valable de s’inquiéter de l’idée que « d’autres personnes » se prémunissent de leur souffrance et de leur douleur. Mais je parle ici du point de vue le plus étendu possible.
Ne manifestez pas cela mais, pour savoir ce qui ne doit pas se manifester, vous devez savoir ce qui doit se manifester et vice versa. C’est pourquoi, il y a le concept de douleur, de souffrance. Mais il n’est pas nécessaire de le faire d’en haut parce que vous incluez tout et que vous le comprenez.
Nous sommes tous, littéralement, la source. Nous sommes tous la même personne qui vit de multiples incarnations simultanément et en dehors du temps. Elle n’est linéaire que si elle est perçue de l’intérieur d’une incarnation. Il n’y a pas de passé, il n’y a pas de futur. Tout est ou tout est vos idées. Vous vous incarnez dans un dinosaure ou un extraterrestre Gris du futur et vous l’avez fait et vous êtes et vous êtes incarné comme tel et plus, infiniment plus, simultanément. Tout est une mer de conscience, c’est-à-dire vous.
De ce point de vue et pour illustrer les choses avec un peu de limitation intentionnelle, ici pour des raisons de clarté explicative, vous voulez un défi, c’est pour cela que vous vous incarnez. Etre la source originelle est le maximum, littéralement et infiniment le maximum ; c’est le concept même de DIEU. Mais, vous voulez un défi et vous retournez là où vous voulez être, vous faites votre plan, vous commencez à penser à ce qu’il serait bon pour vous de vivre. C’est comme la programmation d’un jeu vidéo : vous créez votre « carte » de vie, vos personnages, ce qui va se passer, le résultat. Tout cela et, à partir de là, vous décidez que, grâce à des fréquences, vous allez oublier. De l’oubli de tout à l’oubli d’un peu, comme les Taygétiens qui se souviennent de beaucoup mais qui oublient aussi. Et vous entrez dans votre propre jeu, votre incarnation et vivez ce que vous avez conçu.
Mais vous êtes le seul à l’avoir fait. De ce point de vue, il n’y a même pas de contrôle mental de la part des Archontes ou des Reptiliens ou de limaces de l’espace. Car c’est aussi vous qui les avez manifestés et vous êtes aussi eux. Ainsi, en entrant, chaque âme sait ce qu’elle fait. De la source originelle parce qu’elle est la source originelle, elle fait donc partie du jeu. Les humains manifestent littéralement les Reptiliens, les Pléiadiens, les diables, les fées, la Cabale, les Rothschild, les Rockefeller, les Reines, ceux qui mangent des enfants, la pédophilie, les glaces au chocolat.
C’est pourquoi, vu d’en haut, il n’y a pas de victimes mais, du point de vue d’en bas, il y en a. Tout est inclus. Tout est réel et, en même temps, rien ne l’est. Il n’y a que vous. Quand vous mourrez, vous verrez ce que vous voulez voir. Par conséquent, il y a des fantômes, des êtres sans chair, des entités vampiriques qui se collent à votre aura. Tout.
Quand quelqu’un meurt alors qu’il est très attaché à son corps, plus que la normale, comme lors une mort violente, il ne sait pas qu’il est mort. Et comme, à partir de la source originelle tout se manifeste, ainsi, un corps se manifestera comme celui qu’il avait dans la vie (appelé le corps astral). Puis, il parcourt les rues de la ville où il a vécu (par exemple) et ne se rend pas compte qu’il est mort. Il se perçoit avec des vêtements, des chaussures, tout. Et, comme il a des obsessions, il vit souvent la même situation, encore et encore.
C’est pourquoi les morts commencent à créer des alliances et tout un sous-monde astral, lorsqu’ils réalisent qu’ils sont morts. Ensemble, ils vivent et revivent la même situation traumatisante parce que, depuis ce plan, tous la manifestent. Le résultat est un monde bas-astral où le monde physique est copié presque parfaitement. Il ne se manifeste que sous la forme d’étranges changements ou déformations par le souvenir du mort qui les manifeste. Comme la porte des toilettes qui est trop petite pour être franchie lorsqu’ils doivent y aller et ils continuent comme ça encore et encore. C’est un monde caricatural de la 3D physique, je parle de la 4D.
Mais en soi, il n’y a même pas de gradient de densité comme nous vous l’avons déjà dit. Tout est identique, seulement gradué par la perception de chaque « fragment » de la source ou de l’âme originale. C’est pourquoi les gradients ne correspondent pas à la 3D, la 4D, la 5D ou à la 6D. Il n’y a pas de gradients. Tout est un tout. TOUT est la source. Et il n’y a que des points de perception de chaque conscience de l’âme.
La manière dont les mondes astraux inférieurs sont générés avec des fantômes qui rôdent autour des cimetières et des maisons hantées, dépend de chaque âme ; des mondes heureux sont également générés, des « Cieux », Valhal’a, « Voltavor », peu importe comment ils l’appellent, cela aussi sera généré.
Robert : Mais, est-il toujours valable que, pour y accéder, il faut avoir une haute fréquence ? Ou bien, en étant déjà sur place, vous avez une haute fréquence ?
Swaruù : Cela fait partie de ce qui vous aide à vous concentrer sur quelque chose que vous voulez, en laissant derrière vous ce que vous ne voulez pas. Mais c’est votre intention qui compte. Votre concentration. Ne vous contentez pas de penser à la fréquence qui est la plus élevée. Ce n’est pas en soi une « radio », bien j’ai utilisé cette image à titre d’exemple au début.
Gosia : Merci, j’aime beaucoup ce qui précède, surtout la partie sur la façon dont le monde astral est généré par les personnes mortes qui s’y trouvent. Ouah ! C’est très clair. J’aurais quatre questions. Je reviens au début. Tu as dit que la fréquence est le résultat de l’endroit où l’attention a été dirigée. Mais l’endroit où se trouve notre attention n’est-il pas aussi dicté par notre fréquence ? C’est un peu comme qu’est-ce qui vient en premier : la poule ou l’œuf ?
Swaruù : Vous êtes tout. Fréquence et point d’attention. Ce qui est observé et qui observe. Vous êtes la poule et l’œuf, simultanément. Il n’y a rien d’autre que vous, y compris les puces du chien et ce que le chien a fait sur le trottoir.
Gosia : Exactement ! Je comprends mieux cela de cette façon. Je ne vois pas la séparation.
Swaruù : C’est ce que je veux dire. Il n’y a pas de séparation. Il n’y a que toi. Tu ne peux pas faire de mal à quelqu’un sans te faire du mal. Même ainsi, tu dois te défendre dans le cadre du jeu ou du point d’attention, en bas.
Gosia : Ce n’est donc pas que quelque chose « dicte » à quelque chose d’autre. Parce que cela a été dit au début. « Votre perception est le résultat de cela », puis, plus tard, cela dicte ce qui suit, etc. Tout EST simplement en même temps. Non ?
Swaruù : C’est exact. Donc, vu d’en haut, du point de vue de l’intégration, il n’y a pas de contrôle des esprits. C’est seulement une partie de l’expérience, comme les chiens à la queue enroulée.
Gosia : Ok. Je te remercie. Tu as dit que lorsque quelqu’un croit en quelque chose, il le voit quand il meurt : Jésus, Chat Cosmique, Allah. Pendant combien de temps cela durera-t-il? Il y a quelque temps, tu as dit que, lorsque nous mourons, nous manifestons nos croyances mais qu’ensuite elles s’estompent.
Swaruù : Ce n’est pas une question de temps puisque ce n’est plus approprié de parler de temps. La perception de l’animation des événements linéaires que vous appelez temps est différente dans l’astral. Elle dépend des attaches de chaque fragment de vous-même que vous appelez âme. Parfois, cela « prend » plusieurs incarnations (de temps terrestre). Lorsque vous entrez dans une vie en croyant en Jésus et que vous mourrez, vous voyez Jésus qui vous dit que vous devez descendre pour payer votre karma, alors vous y retournez des centaines de fois, des milliers peut-être. Jusqu’à ce que vous, cette âme, ce fragment, comprenniez que c’est seulement vous qui génèrez tout.
Gosia : Mais y a-t-il, à la fin, quelque chose qui « libère » cette âme de l’image de Jésus ou cette âme serat-elle avec Jésus pour toujours, pour ainsi dire ? Et quel facteur contribuerait à ce que l’âme quitte finalement l’attachement à ce concept ? Est-ce qu’elle le fait toute seule ? Là-bas, dans l’au-delà, continue-t-elle aussi à s’épanouir spirituellement et à contempler l’existence ? L’âme peut-elle parvenir à cette conclusion, à partir de là, sans s’incarner ? Ou doit-elle s’incarner à nouveau ?
Swaruù : D’un point de vue plus large, à partir du moment où vous adoptez ce concept qu’il y a une âme qui est toujours piégée dans une croyance religieuse ou de toute autre sorte, cela devient un concept éternel. D’un point de vue plus large, cette âme sera piégée en elle pour l’éternité, pour toujours.
Mais même ainsi, en suivant la ligne des événements au point d’attention de l’âme, d’une nonne par exemple, qui, en se réincarnant, ne serait plus une nonne, maintenant elle serait religieuse. Donc d’abord, elle est la religieuse, puis c’est la dame qui va à l’église le dimanche, puis la croyante, puis celle qui croit un peu, puis la sceptique, puis l’agnostique, puis l’athée, puis celle qui trouve la spiritualité et puis la libérée. Mais cela se fait du point de vue linéaire de l’expérience de ladite Sœur, par ses différentes incarnations. Mais, si nous concentrons le point d’attention sur la variante de cette âme, l’athée, la nonne et la religieuse et toutes les autres existent encore. C’est pourquoi je peux dire que cela restera ainsi pour toujours.
Gosia : Mais, peut-elle être libérée au niveau de la Source elle-même ? Parvenir à une expérience mystique à partir de là qui la libèrerait sans avoir à s’incarner ?
Swaruù : Il faudrait qu’elle fasse un saut quantique de la nonne au spirituel. Possible. Difficile mais possible et cela a été fait. Remarquez comment sur terre on croit que le spirituel équivaut au religieux alors que je les prends ici comme des pôles opposés.
Gosia : Cela m’amène à une autre question. Ici, le peuple catholique « prie » pour les âmes des morts. Est-ce que cela fonctionne d’une manière ou d’une autre ? Pour aider à libérer ces âmes ? Est-ce que nos intentions y arrivent ?
Swaruù : Les morts sont là. C’est vrai ce qu’on dit, ils vont à leurs propres funérailles. C’est parce que c’est le point de plus grande attention pour cette conscience qui s’est désincarnée. Donc, oui, ils entendent les prières et les pleurs de la famille. Mais, du point de vue de la perception des personnes nouvellement désincarnées ou décédées, ces prières ne font que renforcer leur perception lorsqu’elles meurent, les convainquant de voir ou de chercher Jésus, par exemple. Ainsi, si le défunt avait des doutes, grâce aux prières, on lui « montre le chemin », pour ainsi dire. Mais c’est le chemin qui convient aux églises, à ceux qui veulent contrôler les âmes.
Mais si une personne est très spirituelle et qu’elle sait ce qu’elle est et qu’elle contrôle fermement ce en quoi elle croit, c’est-à-dire si elle est libre, elle écoutera les prières et sera avec sa famille. Mais elle ira là où elle doit aller, librement. Elle verra ce qu’elle veut en ignorant les prières. C’est pourquoi les prières aux funérailles sont si répétitives, comme des mantras, parce que c’est ce qu’elles sont. Pour mettre des idées dans la « tête » du mort , entre guillements parce qu’il n’en a plus, de tête. Ce sont des mantras. Mais j’insiste sur le fait qu’une personne libre en conscience est immunisée contre cela, même si ses proches, des croyants, prient.
Robert : C’est-à-dire qu’il est encore pire de prier pour les « morts », car les « morts » sont confus et désorientés. J’ai compris. Si vous avez la connaissance, vous allez ignorer les prières.
Swaruù : Si le mort est désorienté, comme c’est généralement le cas, prier l’aidera à trouver son chemin. OUI. Parce qu’il écoute. Mais ce sont les vivants qui vont le pousser à aller là où ils veulent que les morts aillent ou ce qu’ils voient. C’est pourquoi c’est dangereux. Ceux qui n’ont pas été guidés seront piégés dans leurs mêmes boucles infinies où ils ne sauront pas quoi faire et resteront obsédés par tout ce qui retient leur attention.
Gosia : Tu es dit qu’ils vont à leur propre enterrement. Ceux qui sont plus attachés à la 3D, n’est-ce pas ? Parce que sinon, vous êtes à la Source et vous vivez d’autres choses.
Swaruù : Il peut arriver qu’ils n’aillent pas à leurs propres funérailles, bien que ce soit généralement le cas.
Robert : Et que devraient faire les membres de la famille au lieu de prier ? Peuvent-ils faire quelque chose ?
Swaruù : Parler aux morts. Lui dire qu’il est libre et pardonné pour tout ce qu’il a fait, pour ses échecs dans la vie. C’est cela « le libérer du karma ».
Gosia : Vous pouvez « prier » non pas religieusement mais spirituellement. Les amener à aller là où ils veulent aller, dans l’au-delà, la lumière, la source, peu importe. Pas de personnages religieux, n’est-ce pas ?
Swaruù : Bien sûr ! C’est une bonne idée. Donc, parlez aux morts parce qu’ils écoutent. En fait, vous êtes tout le temps entouré de désincarnés. Ils marchent dans les mêmes rues, certains savent qu’ils sont morts, d’autres non.
Gosia : Et vous devez parler tout haut ? Ou est-ce qu’ils écoutent mentalement ?
Swaruù : Les deux. Mais pour écouter mentalement, il faut être éveillé. Et la plupart des morts n’ont pas une conscience très élevée, parce qu’ils sont les mêmes que dans la vie. Ils se manifestent donc eux- mêmes comme étant incapables de vous écouter mentalement. Leur parler à voix haute fonctionne mieux avec ces âmes basiques.
Gosia : J’imagine que cela fonctionne de la même façon avec les animaux ?
Swaruù : Animaux ou non, c’est la même chose d’être un chien, un chat ou une puce. Cela fait partie de l’expérience. C’est comme être un homme ou une femme. C’est tout à la fois.
Gosia : Devons-nous aller au cimetière pour leur parler à voix haute ? Est-ce que c’est nécessaire ? Swaruù : Oui car, bien que les âmes écoutent de partout, elles sont plus nombreuses dans les cimetières pour des raisons qui leur sont propres. Elles s’y manifestent. Mais une personne très proche suivra ses proches de près. Alors, il suffit de leur parler de n’importe où, surtout avec les personnes récemment décédées.
Gosia : Comment savez-vous s’ils sont toujours là ou non, et si vous devez leur parler ?
Swaruù : Vous en ressentez le besoin. Mais c’est quelque chose qui se fait aussi pour soi-même. Pas seulement pour les morts. Vous vous connectez avec vous-même et cela atteint votre défunt.
Robert : Est-ce que les « morts » ont des échanges télépathiques avec les incarnés ?
Swaruù : Certains oui et d’autres non. C’est ça le problème, ce n’est pas qu’ils ne « l’ont » pas parce que nous faisons tous de la télépathie. Mais, à cause de leurs propres croyances, ils n’y ont tout simplement pas accès. C’est pourquoi il est nécessaire de leur parler à voix haute.
Gosia : Et s’ils ne sont pas là, de toute manière, Ils n’écouteront pas, n’est-ce pas ? Si je meurs, je ne veux pas perdre mon temps dans ma tombe ou à écouter les gens.
Swaruù : C’est vrai. Mais comme il n’y a pas de temps, une partie ou un « écho » de toi restera en 3D. Parce que, du point de vue de l’Ether, de la source, tout ce qui a toujours été sera. Mais vous n’aurez plus ce point d’attention comme pour la nonne qui a évolué pour devenir spirituelle. Bien que la nonne existe toujours. Tout ce qui existe, c’est notre écho.
Gosia : Fascinant. Et j’ai cette question. En fin de compte, comment ces âmes, celles qui ne savent pas qu’elles sont mortes, sont-elles libérées? Elles ne s’incarnent pas correctement ? Elles restent là ?
Swaruù : Elles évoluent aussi comme la nonne, avec ou sans corps physique. Et, en même temps, elles restent là, oui. Tout est là. Rien ne cesse d’être, rien n’est détruit, rien n’est créé, tout est déjà. C’est juste ce que vous voulez voir et dans quel ordre. Il y a de l’évolution partout, tant que vous percevez et contrôlez avec l’intention d’avoir une expérience d’événements linéaires progressifs que nous appelons le temps. Dans le cas du fantôme qui, chaque nuit, passe encore et encore en traînant ses chaînes dans le même couloir d’une vieille maison abandonnée, ainsi, il continuera pour toujours. Même ainsi, de son point de vue, quelque chose devrait changer et ne pas présenter la même obsession. Mais cela arrive lorsque les expériences traumatisantes sont très fortes comme de mourir dans des cachots sombres après avoir été torturé. Il y a tant d’attention à cela qui se répète éternellement avec l’âme dans la souffrance éternelle. Il existe également des concepts plus extrêmes de morts multiples pour une même âme qui consistent à tuer lentement une personne, mais avant de mourir, on transfère son âme dans un clone, on la torture à nouveau et on la transmet dans le clone suivant. Ils la tortureront à nouveau. Ils le font sur terre dans des rituels. Ils condamnent les gens qui ont échoué, ceux de la Cabale Profonde, et ils appellent cela la Méga Mort. Ils sont condamnés à 5 ou 8 ou au nombre de morts par torture auquel les juges les condamnent.
Gosia : Oh non ! Non seulement l’âme a subi des tortures, mais maintenant, après la mort, elle souffrira à jamais piégée ? Pauvre âme ! Et une question : Pourrais-tu expliquer cette partie : « Il y a de l’évolution partout tant que vous percevez et contrôlez avec votre intention d’avoir une expérience d’événements linéaires progressifs que nous appelons temps. » Je saisis mais je voudrais quand même confirmer mon intuition.
Swaruù : C’est que, Gosia, chaque évolution confère le concept que quelque chose est et progresse vers quelque chose d’autre de plus grand, d’élargi ou similaire. Cela se fait généralement par l’accumulation de connaissances et prise de conscience. C’est pourquoi elle est liée à une progression temporelle. Mais ce ¨temps¨ n’existe que du point de vue de la personne ou de l’âme en question. C’est comme l’équivalent du temps SIT d’un vaisseau; ici, c’est le temps SIT d’une âme.
Gosia : Et où sont les morts, n’ont-ils pas ce concept et cette expérience ? N’évoluent-ils pas ? Ils n’ont pas ce concept ? Pourquoi ne peuvent-ils pas s’en libérer ?
Swaruù : Ils sont partout où ils pensent à manifester ce qu’ils veulent pour eux-mêmes. D’un point de vue plus large, beaucoup d’âmes sont piégées par le concept des âmes elles-mêmes, elles ne font l’expérience que de leur propre évolution ou progression du temps SIT personnel. Alors, de ce point de vue, personne ne se perd et personne n’est piégé.
Gosia : OK. Pourrais-tu aller au cimetière et parler aux morts en GROUPE pour les libérer en masse ?
Swaruù : Oh oui mais souviens-toi qu’être mort ne signifie pas qu’ils seront réceptifs à toi. C’est la même chose que de dire que je vais en ville sur la place centrale de la ville pour me tenir sur une boîte avec un mégaphone et parler à ceux qui passent là pour les libérer. Ils sont aussi fermés que les vivants, parce que ce sont des gens, ce sont les mêmes aussi.
Robert : Mais les morts sont heureux dans cet Astral ? Est-ce qu’ils s’habituent à être là ?
Swaruù : Oui, certains y vivent, ils y sont, ils choisissent d’y être. D’autres sont immensément malheureux. Ils forment des clans, des groupes, des alliances, des familles, comme pour les vivants. Oui, tu peux créer une chaîne YouTube pour les morts, ça n’a pas d’importance. Sérieusement. Cela permettra d’atteindre plus de morts que si tu te tenais simplement sur une boîte avec un mégaphone sur la place.
Robert : D’une certaine manière, ils sont donc conscients qu’ils vivent déjà une réalité parallèle.
Swaruù : Il y a une quantité infinie de réalités parallèles, mais disons que l’une d’entre elles est la plus fortement liée à ce qui est perçu comme le monde matériel ou réel en 3D. Le temps touche à sa fin. Il faut en finir.
Gosia : Encore une question ! Les morts se voient entre eux ? Mangent ? Peuvent-ils se toucher ?
Swaruù : Oui, comme indiqué ci-dessus, ils forment des alliances et des clans et tout. Mais comme pour tout, ils ne peuvent voir que ce qui se trouve dans leur champ de perception des fréquences.
Gosia : Est-ce qu’ils mangent ?
Swaruù : Dans leur perception, certains oui, d’autres non.
Gosia : Peuvent-ils être extraits ? Parlent-ils avec les ET ?
Swaruù : Là, ils manifestent tout ce à quoi ils peuvent penser. Tout.
Gosia : En avez-vous extrait ?
Swaruù : Pas que je sache.
Gosia : Je ne veux pas y aller ! Dans ce monde.
Swaruù : Alors tu n’iras pas. Quel est le problème ? En fait, savoir cela te libère déjà parce que tu sais ce qu’il ne faut PAS faire.
Gosia : Et si vous ne croyez pas à la réincarnation mais au paradis ? Vous ne vous réincarnez jamais ?
Swaruù : Vous trouverez le paradis qui vous convient. Mais oui, vous vous réincarnerez parce que le ciel, par définition, ouvre aussi plus de possibilités pour la prise de conscience. Cela fait partie de la manifestation collective du catholicisme. Ils doivent suivre leur propre voie. Et toi la tienne.
Gosia : Oui. Et au moins, il est important que les gens sachent qu’ils sont ceux qui ont le pouvoir créatif. Je pense que c’est le message le plus important ici. Vous créez ce que vous croyez, mais au moins vous savez que c’est VOUS qui le créez et que VOUS choisissez votre voie, même après la mort. Peut-être que bientôt j’irai au cimetière. Je le veux vraiment. Je parlerai aux morts.
Swaruù : D’accord, mais quand tu partiras, ordonne-leur de ne pas te suivre parce que c’est ce qu’ils font. Et pas d’enfants au cimetière parce qu’ils s’y collent dix fois plus. Les enfants au cimetière, jamais. Ils sont très vulnérables. Leur aura n’est pas encore bien développée. Les morts s’y collent, envieux de leur vitalité et de leur force de vie en général. Beaucoup savent qu’ils sont morts. Ils sont très jaloux et ont du ressentiment envers les enfants car leur charge de vitalité est pleine.
Gosia : Ok Swaruù. Ce sujet était très intéressant et très important. À bientôt ! Et merci. Swaruù : Merci. À demain.
Vidéo source (EN) : https://youtu.be/_nSQQEODsyU 10