Les origines de la race Lyrienne
Il existe des preuves d’au moins 400 000 civilisations avec des caractéristiques clairement humaines, uniquement dans ce quadrant galactique. Cela fait beaucoup d’humains.
Merci aux Taygétiens pour leur précieuse contribution à notre développement spirituel et à notre compréhension du monde qui nous entoure.
Nous remercions Olivier YaKa et Éloïse Al’Cyona
pour la traduction et la transcription de la video
Version originale chaine youtube : https://youtu.be/ilKKpHzL3pQ
Video version Francaise
Les origines de la race lyrienne / humaine
Vidéo source publiée le 16 décembre 2022
Voix de Éloïse Al’Cyona
Traduction française par Olivier Ya Ka et Éloïse Al’Cyona
Transcription
Bonjour à nouveau,
Merci de vous joindre à moi.
Je suis Mari Swaruu.
Les informations suivantes sont publiées à des fins de divertissement. Elles peuvent être prises comme de la science-fiction ou d’une toute autre manière que vous jugerez appropriée. Que celui qui a des yeux, voie !
Avant de passer à de nouveaux sujets, je voudrais exposer certains des concepts de base les plus importants et nécessaires pour comprendre ce qui suivra. Et plus tard, je développerai également ces concepts.
Les humains ont tendance à réduire tout ce qui existe en petits morceaux plus faciles à expliquer et à comprendre. Ils fragmentent ce qu’ils veulent étudier et analyser et, à partir de là, ils tentent d’expliquer le tout.
C’est une stratégie de pensée inhérente à tous les êtres pensants qui, en tant qu’individus limités, limités par leur propre perception et compréhension, restreindront logiquement les résultats de leurs tentatives de compréhension à leurs propres limites en tant qu’individus.
C’est pourquoi plus une personne a de conscience et de compréhension, plus son cadre de compréhension sera grand, et plus elle comprendra avec une meilleure précision le monde dans lequel elle vit et qui l’entoure, et toutes les autres choses qu’elle essaiera d’appréhender.
Ce fait ou ce problème est très évident dans le cas de la science terrestre.
Votre système d’analyse appelé « méthode scientifique » n’est valable que dans un cadre de compréhension préalablement spécifié, mais il ne pourra pas expliquer ce qui demeure en dehors de ce système de pensées.
Car le cadre perceptuel de ces scientifiques dépend aussi de leur système de croyances et de valeurs, de ce que eux perçoivent comme réel et non réel, possible et non possible, de par leurs accords de perception. De ce fait, le cadre même de compréhension de votre science sera limité par le système de croyances convenu par les scientifiques qui l’appliquent.
Dans le cas de la Terre, c’est ce que nous appelons le système de croyances et d’accords qui forment la Matrice terrestre. Votre système de croyances et de conclusions issues de votre méthode scientifique ne s’applique qu’à l’intérieur de ladite Matrice, mais pas à ce qui existe en dehors d’elle, puisque ce n’est pas encore accepté comme existant, et encore moins compris par les habitants de ladite Matrice.
Autrement dit, la méthode scientifique crée un système auto-contenu et auto-validé, qui ne reflète pas tout ce qui existe, puisqu’il ne peut valider que ce qui se trouve dans le cadre des accords qui forment la Matrice terrestre à laquelle il est soumis. Et le fait que l’ensemble des accords, qui constituent la matrice terrestre, s’expanse ou non, dépend d’un groupe d’entités humaines et non humaines appelées les contrôleurs de la Terre, qui ne permettent pas l’expansion de conscience nécessaire pour comprendre les concepts et les vérités qui sont en dehors de ce qu’ils veulent. Et ils veulent qu’il en soit ainsi à des fins de contrôle et d’exploitation de la population. Et leur principal moyen d’y parvenir est d’utiliser la validation institutionnelle, et grâce à elle de contrôler ce qui est réel et ce qui ne l’est pas, ce qui est possible et ce qui ne l’est pas.
Je passe à la suite.
Du point de vue de la compréhension non terrestre, le fait est que les humains n’ont pas évolué sur Terre comme le décrit la théorie de l’évolution des espèces de Darwin. Parce que les humains, en tant qu’espèce génétiquement définie, se trouvent sur d’innombrables autres planètes.
Il existe des preuves d’au moins 400 000 civilisations avec des caractéristiques clairement humaines, uniquement dans ce quadrant galactique. Cela fait beaucoup d’humains.
Il est vrai qu’il existe beaucoup de différences entre les innombrables variantes lyriennes d’êtres humains à l’extérieur dans l’espace. Certains ont une apparence plus humaine que d’autres, mais tous ont la même forme distinctive humaine.
Et beaucoup de ces civilisations sont des êtres avec l’apparence et la génétique exactes des humains de la Terre, ne différant seulement que par des marqueurs génétiques mineurs, même si parfois importants. Mais vêtus d’une paire de jeans et d’un t-shirt, assis dans n’importe quelle station de bus, ils passeraient pour de simples êtres humains terrestres.
Ayant la même morphologie, ces espèces ont adapté le monde qui les entoure aux besoins communs et spécifiques de tous les corps humains, ce qui entraîne également un mode de pensée et de raisonnement très similaire à celui des humains terrestres. De ce fait, beaucoup de choses dans toutes ces civilisations sont communes et identiques à ce que les êtres humains ont sur Terre. Et la même façon de penser produira des vêtements, des chaussures, des gadgets similaires, etc. Une chaise est une chaise, et une chaise sur Terre sera aussi une chaise sur Alpha Centaury. Et il n’y a pas 36000 manières de porter un tee-shirt.
La compréhension commune qu’ont les civilisations humaines non-terrestres de ce phénomène, est que les êtres humains en général, en tant que race, viennent à l’origine des planètes qui orbitent autour de l’étoile Véga, dans la constellation de la Lyre. Et c’est pour cette raison que l’ensemble des races humaines vivant dans l’espace sont appelées races Lyriennes. Elles ont migré vers différents systèmes solaires de ce quadrant galactique lors d’un événement connu sous le nom de « la grande expansion Lyrienne », qui fait elle-même partie de ce qu’on appelle « les Guerres d’Orion ».
Cependant, l’être humain est une espèce qui existait déjà avant ces événements et il est aussi prouvé qu’à la même époque que Véga, des êtres humains habitaient également de nombreuses autres planètes.
Cela est très difficile à calculer car le temps en soi est très flexible lorsqu’il est en dehors d’un contexte établi. Tout comme la perception de la vitesse du passage du temps varie en fonction de la planète sur laquelle on vit. Il n’existe pas d’accord de perception unique pour la vitesse et la constance de l’écoulement du temps.
Il est vrai qu’il existe un certain degré d’altération génétique artificielle chez les êtres humains de la Terre en tant que tels.
Cependant, selon la compréhension qu’en ont les Taygétiens et les Swaruuniennes, cette altération génétique a été principalement effectuée grâce à l’utilisation du contrôle mental et du contrôle de la perception sur la population humaine.
C’est donc réversible individuellement, grâce à l’expansion de conscience que chacun peut effectuer.
Toujours selon la compréhension qu’en ont les Taygétiens et les Swaruuniennes, les êtres humains en tant qu’espèce, à l’instar de toutes les autres espèces de plantes et d’animaux, ont toujours existé et font partie de l’expression même de l’univers. Ils sont tous l’univers lui-même.
Avec des variantes dans chacune de ces espèces, du fait de s’être adaptées à l’endroit spécifique où elles vivent, aux conditions climatiques et générales, parmi beaucoup d’autres choses.
Parlons maintenant du concept de non-temps. Le temps lui-même n’étant relatif qu’à la conscience qui le perçoit et n’étant qu’une illusion, par conséquent l’univers a toujours existé, il n’a jamais eu de commencement et n’aura jamais de fin. Et c’est la même chose pour tout ce qui vit dans l’univers.
Ce dernier concept est très difficile à comprendre pour la personne humaine moyenne et encore plus pour vos scientifiques. Car ces derniers sont totalement immergés et soumis aux valeurs de la Matrice terrestre, étant tous plongés dans leurs propres systèmes de croyances auto contenus et auto validés, et leurs propres systèmes empiriques, qui stipulent que toutes les choses naissent, vivent et finissent par mourir. Donc ils en viennent à traduire ces idées et ces concepts en une réalité universelle plus vaste qui suit la même dynamique. Ils sont encore très loin de commencer à développer la capacité de comprendre ce concept de non-temps.
C’est un reflet direct de l’orgueil démesuré et de l’égocentrisme des humains de la Terre, qui pensent qu’ils ont la capacité de comprendre le tout et toute chose, en se considérant comme le centre de l’univers et comme les seules créatures pensantes et sensibles existantes.
En conclusion, les êtres humains sont très présents partout, au moins dans ce quadrant galactique. Ils vivent sur d’innombrables autres planètes et endroits en dehors de la Terre, et ils font partie de l’essence même de l’univers.
Merci pour votre écoute.
Je vous embrasse fort.
Mari Swaruu
(Publié par Mari Swaruu le 16 décembre 2022. Traduction par Olivier YaKa et Éloïse Al’Cyona)