
Découverte des portails naturels, et nous verrons qu’ils sont nombreux tels que ceux du triangles des Bermudes,Alaska, en Crimé ….
Nous remercions infiniment les TAYGETIENS pour leur dévouement à l’humanité.
Nous remercions Cosmic Agency , SPECIALEMENT GOSIA pour tout le travail qu’elle effectue afin que nous soyons informés ainsi que toute l’énergie et de toute la conviction qu’elle émane.
Nous remercions Gérard Toussaint Ruffin, pour la traduction
LA GUERRE N’EST PAS FINI MAIS UNE BATAILLE EST GAGNEE l
NOUS MOURRONS AVEC DE LA CONNAISSANCE ET NOUS REVIENDRONS SPECIALEMENT POUR GAGNER CETTE GUERRE…
Article produit le 06/12/2020
Les Portails Naturels
Nous avons déjà vu que tout est une soupe de fréquences et qu’un lieu est une fréquence spécifique représentée par un nombre. Un nombre fixe représente ce lieu sans la progression temporelle, sans les facteurs de progression temporelle. En d’autres termes, les nombres avancent à mesure que le lieu change légèrement en raison de son interaction avec une ou de plusieurs consciences qui, en réalité, n’en sont qu’une seule.
Si nous prenons un lieu spécifique, le simple fait qu’une bactérie, ou quelque chose d’encore plus petit, se déplace, provoque ou confère déjà un changement de et dans la dynamique énergétique de l’ensemble du lieu. Ce que vous pourriez considérer comme un déplacement de masse, en réalité, du point de vue de l’éther, est un déplacement d’énergie potentielle sous la forme de la gravité.
Si nous avons trois astéroïdes et que nous ajoutons une petite pierre entre eux, tous les calculs entre eux sont modifiés. Cette mathématique s’appelle l’harmonique de fréquence. Dans le cas de ce lieu spécifique, c’est ce qui dicte le flux de gravité qui va former les objets perçus comme des solides.
Nous pouvons donc voir que, de façon perceptible, tout bouge et que toutes les valeurs mathématiques des harmoniques changent constamment et à un rythme qui dépend de l’observateur. Ainsi, nous ne considérons plus les objets dans leur prolongement mais seulement leur énergie. Et nous utilisons des valeurs numériques pour représenter les quantités d’énergie pour chaque aspect d’un lieu.
La progression entre les valeurs numériques et sa relation mathématique est l’harmonique de fréquence dudit flux. Nous appelons ce courant « flux », c’est la direction du mouvement des ondes de l’éther que nous appelons la gravité. Ainsi, comme il y a un changement et un flux constants des harmoniques de chaque lieu, ces harmoniques interagissent entre elles tout le temps et de manière mathématique.
C’est-à-dire que ce que l’un fait affecte l’autre, en ajoutant ou en soustrayant continuellement de la force à l’un et à l’autre. Cela signifie que la valeur d’une pierre, à un endroit, est altérée par la proximité d’une autre ou par toute autre chose ayant une masse. Ce flux est présent en toute chose ; c’est une série de courants gravitationnels qui interagissent entre eux en changeant la direction du flux, en ajoutant ou en soustrayant de la force lorsqu’ils traversent d’autres objets.
Cela signifie que la matière n’est qu’apparente et est soumise à l’interprétation d’une conscience qui, en ayant la connaissance de sa propre existence, crée du temps et anime ladite énergie potentielle, lui donnant des valeurs et aussi des significations. Ainsi, la seule chose qui existe est la Gravité.
Tout est gravité. Un objet ayant une masse en a apparemment plus qu’un autre parce qu’il reçoit plus de flux gravitationnel et celui-ci en a plus parce que « quelque chose » ventile ou concentre ce flux vers l’endroit où l’objet est formé.
Ce « quelque chose » est la conscience de l’observateur, soit de manière isolée soit de façon imbriquée parmi d’autres consciences créant une soupe de gravité en mouvement constant. Et, lorsqu’elle est interprétée, cette soupe devient ce que nous appelons la réalité objective.
Donc, tout bouge, tout change de valeurs en permanence. Si un lieu est représenté par un nombre, qui est une fréquence ou une direction dans l’ensemble…, comme nous l’avons vu dans la navigation stellaire, parfois, avec une interaction mathématique donnée des valeurs du flux gravitationnel, le résultat de cette interaction mathématique devient équivalent à un autre lieu.
Cela signifie que si un lieu a une valeur de 726, simplifié… du résultat du flux gravitationnel, le Flux, dans son environnement peut lui ajouter un total dans ses harmoniques de fréquence de 928 qui équivaut à un autre lieu éloigné ou proche, selon les mathématiques du flux de chaque lieu.
Comme tout est en mouvement, l’équivalence de fréquence du lieu A:726 avec le lieu B:928 ayant une différence de valeurs de 202 ne sera maintenue que pendant une courte période de temps. En d’autres termes, le lieu A:726 est, pendant une courte période, le lieu B:928 par équivalence mathématique.
Et comme cette équivalence est localisée, nous avons, en fonction de facteurs tels que le flux et l’énergie, un portail. Cela signifie qu’un portail s’ouvre. Il dure une certaine période de temps qui dépend de ses propres mathématiques et, plus tard, il se ferme et change à nouveau ses harmoniques.
Tous les endroits du monde matériel, que ce soit sur la Terre, une autre planète, la lune, le système solaire ou une galaxie, sont immergés dans une soupe d’énergie potentielle avec un flux gravitationnel de valeurs énergétiques spécifiques, toujours changeantes et chacune avec ses harmoniques de fréquence.
C’est ce que nous appelons l’espace-temps, ou un lieu physique. Chaque lieu possède des nœuds de concentration d’énergie importants. Des chakras si vous voulez. En parlant de la Terre, ils se trouvent en des points spécifiques sur toute la surface. Comme à Gizeh, par exemple. Ces points énergétiques correspondent aux flux énergétiques ou Flux sur la planète.
Ils sont partout mais nous allons prendre la planète comme exemple.
Ils sont grands ou petits. Un portail naturel peut être généré à n’importe quel endroit et, en fait, cela arrive tout le temps. Mais ils sont petits et de faible intensité ou énergie. Ils s’ouvrent comme des bulles autour de nous et font partie de l’espace-temps.
Si ils sont assez grands, certaines informations nous parviennent et nous les détectons comme un « déjà vu » … comme un fantôme, comme une ombre dans notre vision périphérique, un son sans importance que nous ne reconnaissons pas et que nous oublions un instant plus tard.
Cela fait partie de la vie. Mais, en raison de l’interaction des points d’énergie majeurs …, ces bulles sont parfois plus grandes et sont des portails vers d’autres sites. Un portail est représenté comme étant plat ou comme un vortex et il peut l’être, surtout lorsqu’il est artificiel. Lorsqu’un portail est naturel, il est représenté comme une bulle, ou un trou tridimensionnel, une sphère qui, lorsqu’elle est touchée ou pénétrée, vous emmène vers d’autres sites.
Etant donné que beaucoup de mouvements dans le cosmos sont cycliques…, la dynamique mathématique-énergétique d’un lieu avec portail a tendance à se répéter avec une périodicité précise.
C’est pourquoi on peut savoir quand et où un portail apparaîtra. Les indigènes américains le savaient, entre autres. C’est la même énergie qui est tout. Une énergie potentielle en mouvement éternel dans un ballet ou une danse mathématique infinie.
Gosia : Merci ! C’est plus intéressant et plus cohérent que je ne l’imaginais. Robert : Les portails naturels sont donc prévisibles ?
Swaruu : Pas tous, cela dépend de leurs qualités spécifiques. Mais oui, beaucoup le sont. Vous pouvez aussi utiliser l’énergie d’un point ou d’un endroit pour l’augmenter avec votre technologie et avoir ainsi un portail plus puissant, avec moins d’énergie, ou encore utiliser le point ou le nœud terrestre pour obtenir des portails artificiels plus efficaces. Il vous suffit de connaître les harmoniques de fréquence dudit lieu. C’est pourquoi les pyramides ont été construites à Gizeh, par exemple.
Robert : Et à quelles exigences un portail naturel devrait-il répondre, en plus d’être dans des sites énergétiques comme ceux qui figurent sur les cartes que tu nous as communiquées ? Le temps, par exemple ? La position des planètes, la date de l’année, la température, s’il fait jour ou nuit, une éclipse solaire, etc.
Swaruu : Tout est un facteur. Tout est une conséquence de la gravité ou d’un flux dans l’éther. Mais si nous avons un portail fort… l’interaction avec des facteurs mineurs comme la météo, n’aura que peu d’effet sur le résultat final. Les éclipses, oui, elles peuvent modifier les portails. Dans de nombreux cas, c’est ce qui les déclenche.
Robert : Il y a des gens qui dessinent des spirales à différents endroits. Est-ce pour ouvrir des portails naturels ou artificiels ?
Swaruu : Si quelqu’un les fabrique, ils sont artificiels. Ils ne peuvent être créés qu’avec l’esprit. Mais c’est plus facile à partir de l’astral parce que cela demande moins d’énergie qu’il n’en faudrait pour aller modifier les lourdes harmoniques qui composent un corps matériel.
Gosia : Ma question est la suivante : les objets et les personnes peuvent-ils passer par des portails naturels sans le vouloir et disparaître de l’autre côté ? Est-ce que c’est ce qui s’est passé dans le triangle des Bermudes, par exemple ?
Swaruu : Oui. Cela arrive tout le temps. Cela dépend de la force de chaque portail, comme je l’ai dit, ils sont de n’importe quelle taille. Mais le triangle des Bermudes est un puissant nœud énergétique sur la Terre. Et en plus, il y a là une pyramide immergée. Pour cette raison, les pyramides concentrent l’énergie dispersée en un point ou nœud central, ou point zéro.
Gosia : Mais quand ils se forment pendant une période de temps, comme tu l’as dit, se forment-ils à nouveau au même point ?
Swaruu : Oui, ils ont tendance à se former au même point. Mais ils peuvent aussi se déplacer. Ce sont surtout les plus forts qui persistent au même point. C’est parce que les harmoniques qui les contrôlent sont fortes à cet endroit, donc elles n’auront pas autant tendance à se déplacer que les plus petites. Ils peuvent aussi se déplacer de quelques centimètres seulement s’ils ont un noyau excentrique.
Donc considérez un portail comme un point où un endroit est égal à un autre. Etant le même endroit à ce point, c’est donc un trou entre deux points. Vous sautez à un endroit, vous re-sautez à l’autre et vous revenez.
Gosia : Et en arrière ? En passant par ce portail, on peut revenir ?
Swaruu : Oui, vous pouvez repasser par le même portail. Tant qu’il est ouvert.
Gosia : Ok. Et quand tu voyages dans l’espace, n’est-ce pas dangereux pour toi… ? Peut-être pourrais-tu traverser un portail naturel ? Et, peux-tu le savoir à l’avance ?
Swaruu : Oh oui… C’est pourquoi nous préférons le voyage supra lumineux. Nous évitons tous les dangers. Dans l’espace, les portails ont tendance à être grands, de par la dynamique des grands objets de grande masse… (ou plutôt avec une grande concentration de gravité). Et il y a aussi des portails qui sont utilisés pour les transits de vaisseaux.
Gosia : Mais peux-tu les voir à l’avance ?
Swaruu : La plupart du temps, ils sont déjà connus. Il y en a d’autres plus petits qui apparaissent et disparaissent mais, en vol supra lumineux, ils n’ont pas d’importance. Il est impossible de savoir où ils se trouvent tous.
Robert : Alors c’est vrai que le triangle des Bermudes est un portail ? Donc les pyramides concentrent toute l’énergie d’un portail en un point ou un nœud… wow.
Swaruu : Oui. Non pas que ce soit un portail mais c’est un point où, avec certains facteurs, un portail s’ouvre.
Gosia : Et où vont ces bateaux et ces avions ? Le sais-tu ? Swaruu : C’est plus difficile à savoir. Cela peut être n’importe où.
Gosia : Mais où et quand ?
Swaruu : Sur Terre, il est plus habituel de ne considérer que les facteurs de lieu. C’est-à-dire que, plus que le lieu vers où ils ont été envoyés, il serait plus logique de connaître vers quand ces avions et ces navires ont été envoyés. Parce que l’altération des facteurs dans les harmoniques de lieu est plus sensible dans le facteur temporel que dans le facteur de lieu. Mais ils peuvent aussi avoir été envoyés n’importe où.
Gosia : Et vers QUAND vont-ils alors ? Est-il possible de le savoir, plus ou moins ? Ces gens dans ces avions, par exemple, se retrouvent-ils soudainement dans les années 1700 ?
Swaruu : On ne peut pas le savoir sans recherche. Et, oui, cela a déjà été signalé par beaucoup. C’est ce qui se passe. Ils se retrouvent au même endroit mais à une autre époque. Il y a d’innombrables témoignages ou de cas.
Gosia : Wow. Alors il devrait y avoir des cas documentés dans le passé d' »artefacts étranges » venant du futur.
Swaruu : Il y a, Gosia, beaucoup d’objets hors de leur temps.
Un autre point important est que si vous ouvrez un portail dans le triangle des Bermudes, sur la mer et/ou sur la terre, alors, il serait difficile pour ce portail de les envoyer dans l’espace. Comme les harmoniques préservent des facteurs mathématiques énergétiques similaires et que le portail est donc partagé par deux endroits, il préfère envoyer celui qui le traverse vers un endroit similaire (avec des harmoniques similaires). Cela signifie vers une autre plage dans une autre densité, ou sur une autre planète, donc vers des plages et des îles et pas vers l’espace profond, noir et hostile.
Gosia : Wow, vers une autre planète ?
Swaruu : N’importe où. Tant que vos fréquences sont compatibles ou similaires.
Gosia : Tant que les fréquences sont compatibles? Mais si c’est un avion rempli de gens, chacun aura une fréquence différente. Vont-ils en groupe ou chacun se retrouvera-t-il dans un endroit différent ?
Swaruu : Oui, ils ont une fréquence différente mais, par convention, ils ont plus ou moins la même (c’est pourquoi ils sont là ensemble). Il y a un rapport sur un avion commercial qui a disparu il y a plusieurs décennies, en route pour Caracas depuis les États-Unis. Il est réapparu sur les radars il n’y a pas si longtemps et ils l’ont guidé jusqu’à l’aéroport. Les pilotes ont réalisé que quelque chose n’allait pas et ils ont redécollé puis ont disparu à nouveau. Si la fiabilité de chaque cas doit être examinée avec soin, ils ont, en tous cas tous, les mêmes caractéristiques.
Gosia : Ok, j’ai pensé que peut-être le portail les enverrait tous à différents endroits de l’univers et à différents moments, ha ha.
Swaruu : Pas s’ils sont ensemble. Mais chacun percevra tout cela différemment.
Gosia : Quels autres portails aussi puissants que ceux des Bermudes existe-il sur Terre ?
Swaruu : Le Triangle du dragon… Alaska, Crimée, Brésil, Nouveau-Mexique, Nazca, Machu Pichu, divers endroits en Chine et au Japon ; il y en a un grand en Sibérie ; la liste est longue.
Robert : Donc, tu pourrais ouvrir un portail avec l’esprit ? Ce point n’est pas clair pour moi.
Swaruu : Oui, je le pourrais.
Robert : Et tu sais où tu vas ? Ou est-ce vers un endroit au hasard ?
Swaruu : C’est plus facile si vous voyagez dans l’astral car, de là, vous l’ouvrez avec votre intention. Vous ouvrez là où vous voulez aller. Mais vous allez aussi à cet endroit sans faire de portail, après tout, c’est le domaine astral.
Gosia : Alors tu n’y vas pas avec ton corps physique, seulement dans l’astral ?
Swaruu : Oui, vous pouvez aussi aller avec le corps physique mais peu l’ont fait.
Gosia : D’autre part, passer d’une carte de fréquences à une autre, avec des décisions quotidiennes, est aussi un portail. Tu ne vas tout simplement pas ailleurs dans la galaxie.
Swaruu : Oui, cela dépend de la façon dont vous définissez un portail. Il peut s’agir de changements de votre ligne de temps, oui, bien qu’ils obéissent à une progression mathématique prévisible et logique. Gosia : Les militaires utilisent-ils de tels portails ?
Swaruu : Oui, les militaires utilisent ces portails. Principalement pour améliorer les leurs.
Robert : Et les trous de ver, dans quelle catégorie se situent-ils ?
Swaruu : Ce sont aussi des portails.
Gosia : As-tu déjà traversé un portail naturel sans le vouloir ? Ou est-ce arrivé à quelqu’un que tu connais ?
Swaruu : Seulement ceux artificiels comportant une partie de naturel. Mais, comme ils ne sont pas aussi fiables…, nous préférons les vaisseaux, pas les portails. Comme pour passer par un portail naturel, non. Heureusement. Ou alors seulement dans l’espace. Vous ne ressentez rien, vous êtes ici et soudain vous êtes là. Il n’y a pas de tunnels de lumière ou de trous de ver qui ressemblent à des montagnes russes. Gosia : Ha ha ha ha ha. J’aime les montagnes russes ! Merci beaucoup pour ton temps, Swaruu. Va te reposer. Je sens que tu es un peu fatiguée aujourd’hui.
Swaruu : Oui, je n’ai pas bien dormi la nuit dernière. J’avais beaucoup de chats sur moi.
Gosia : Ha ha Ok. Alors bonne nuit. À bientôt.
Robert : Merci, Swaruu. J’aime aussi les chats.
Swaruu : Merci à toi. À demain !