La quête de l’identité stellaire et des origines
La quête de l’identité stellaire et des origines

La quête de l’identité stellaire et des origines

Que sont les émotions ? Yazhi Swaruu nous parle de ce qu’elles sont et de leur importance pou l’identité stellaire et des origines

Nous remercions infiniment les TAYGETIENS pour leur dévouement à l’humanité. 

Nous remercions Cosmic Agency , SPECIALEMENT GOSIA pour tout le travail qu’elle effectue afin que nous soyons informés ainsi que toute l’énergie et de toute la conviction qu’elle émane.

Nous remercions Guillaume Magnien avec l’aide d’Éloïse B , pour la traduction

LA GUERRE N’EST PAS FINI MAIS UNE BATAILLE EST GAGNEE l

NOUS MOURRONS AVEC DE LA CONNAISSANCE ET NOUS REVIENDRONS SPECIALEMENT POUR GAGNER CETTE GUERRE…

Article diffusé le (02/07/2020)

La quête de l’identité stellaire et des origines- Yazhi Swaruu

Gosia : Les gens demandent tout le temps : « Je ne me rappelle plus qui je suis ». Que peut-on leur dire ?

Yazhí Swaruu : Tu dois prendre tes responsabilités. Qui tu penses et ressens être, est qui tu es. Tu n’as pas besoin que quelqu’un vienne te dire qui tu es et le valider à ta place. Qui tu es, c’est quelque chose que tu dois développer pour toi-même.

Tu n’as pas besoin de te souvenir, juste de le savoir. Et à partir de là, continuer. Ce que tu ressens, ce que tu imagines, ce que tu crées dans ton esprit et dans ton cœur, existe.

Et c’est ainsi, car c’est comme ça que tout fonctionne. L’imagination est tout. Ce n’est pas une fantaisie vide, mais la création des univers.

Vouloir se rappeler est naturel, mais n’est pas nécessaire. C’est un des tests auto-imposés en étant sur Terre. Tu ressens le besoin de savoir qui tu es à partir de qui tu étais, oubliant que tu as été le grand Tout. Et c’est ce qui te définit aujourd’hui. Donc tu le portes déjà à l’intérieur de toi, ça fait partie de toi, toujours. Tu n’as pas besoin de souvenirs, et peu importe que ces derniers aient l’air intéressants pour toi. Parce que c’est une confirmation extérieure à toi-même, qui te fait abandonner ta puissance.

Cesse aussi de penser qu’il n’en est peut-être pas ainsi, que tu n’es rien de plus qu’un sac de viande avec une conscience fragile générée par des éléments chimiques dans un cerveau biologique. Avec une vie causale et déterministe. Et non un être originel et immortel, capable de tout.

Tes souvenirs viendront quand ce sera le bon moment, ou non. Mais tu dois savoir qu’ils importent peu. Ce que tu imagines aujourd’hui est ce que tu seras, ta création, ton futur. Ce n’est jamais de l’imagination vide. C’est là que tu vas. Il n’y a pas de fantastique et de réalité. Ce sont des concepts limitant de basses densités, imposés dans le but de contrôler. Le fantastique et la réalité sont les mêmes choses. Ce qui compte c’est ce que tu vis, sachant que l’un comme l’autre crée ce qui sera vécu.

Gosia : Comment se libérer de la tristesse d’une vie ?

Yazhí Swaruu : Se libérer du karma. On peut se libérer du karma de diverses façons. La principale est avec la connaissance. Laisse le karma derrière toi. Le karma est quelque chose que tu décides de porter, et non quelque chose qui t’est imposé. Tu peux simplement décider de ne pas le porter en toi. Mais tu dois comprendre qu’à un moment tu as décidé de le porter parce que sinon tu ne l’aurais pas maintenant. Donc tu dois comprendre pourquoi tu as décidé de le porter.

La plupart du temps, c’est à cause de l’expérience, à cause de l’avancement spirituel que cela peut t’apporter. Mais il doit y avoir une fin. Pour ne pas rester dans le même cycle. Pour ne pas rester dans la roue de Samsara pour toujours. Ça fait partie du jeu de la matrice. Tout est dualité. Pour laisser le karma derrière toi, tu dois comprendre que tout n’est qu’Un, qu’il n’y a pas de contraste, que tout est unifié. Comme l’a dit Alan Watts, il n’y a pas de montagne avec un seul versant. Les deux versants sont tous les deux des montagnes. Arrête de combattre l’idée que quelque chose est mauvais car ce ne sont que des points de vue basés sur des préjugés. Ce qui compte c’est l’intégration complète. Sois holographique.

Il n’y a rien que l’on pourrait qualifier d’intrinsèquement  »faux » car tout est expérience. Or les meilleurs enseignements et les meilleures avancées viennent des expériences les plus dures, notamment parmi celles que nous appelons « erronées ». Nous avons eu ces expériences pour ce qu’elles laisseraient en nous. Ce ne sont que des expériences, tu n’as pas à en porter la faute, encore moins incarnation après incarnation. Tu portes cette faute parce que tu le veux.

Gosia : Quelqu’un m’a dit récemment :  »Je me suis senti vraiment lourd dernièrement. C’est difficile d’être ici. »

Yazhí Swaruu : Si quelqu’un est d’une fréquence haute, il lui sera difficile d’être sur Terre, et si la fréquence de la planète chute encore plus à cause de toute la négativité qui se produit un peu partout, alors l’inadéquation de la fréquence devient encore pire, mettant les starseeds encore plus mal à l’aise. Mais c’est aussi dû à des choses logiques, comme la réalisation du fait qu’ils ont vécu dans un mensonge. Que tout ce qu’ils ont appris est faux.

Gosia : La même personne m’a dit :  »Comment contrer la lourdeur ? J’ai besoin d’une élévation, parce que mon foyer me manque… »

Yazhí Swaruu : Tu dois d’abord arriver à comprendre pourquoi tu te sens ainsi et que tu ne peux pas te débarrasser de ce que tu ressens car c’est ce que tu es. Et que tu as ce ressenti parce que tu as des résistances envers cette densité 3D, car tu te souviens d’un autre temps où tu te sentais beaucoup mieux, plus à l’aise. L’une des clés est donc de libérer cette résistance.

Gosia : Donc,  »on fait le vide » et on continue ?

Yazhí Swaruu : Accepte que la Terre ne soit pas ton domaine, regarde-toi comme tu te sens le mieux. Comme étant ici en mission. Un être stellaire caché dans un humain. Crée-toi une bulle où tu peux être toi-même, un petit coin de ta propre densité pour t’y cacher et t’y ressourcer.

Ne résiste pas à la 3D. C’est plutôt merdique ! Ça a toujours été merdique ! Ça a été fait pour l’être ! Tu veux forcer son changement, bienvenue dans l’équipe. Mais en général tu/nous ne pouvons pas. Donc aider est un choix, pas une  »obligation ». Donc tu n’as pas besoin d’avoir l’impression de ne pas remplir une mission importante que tu as oubliée. Tu ES la mission.

Donc aider… est un choix. Pourquoi ? Non pas parce que ça t’a été imposé ! Mais parce que c’est qui tu es. Nous aidons car c’est ce que nous sommes. Dis bonjour au vieux grincheux qui habite près de chez toi, n’attend pas de lui qu’il réponde. Dis bonjour, parce que c’est toi. Peu importe ce qu’il fait, c’est son problème, pas le tien. Ne change pas pour t’adapter à ce monde ! Tu n’y arriveras jamais, accepte ça !

Gosia : Je sais. Mais des fois on se sent comme si ce n’était pas assez d’être SEULEMENT là.

Yazhí Swaruu : Encore une fois, c’est la 3D. Libère ta résistance envers elle et l’illusion d’être seul, égaré, perdu. Tout ce dont tu as besoin est de savoir que tu dois suivre ce que tu aimes le plus. Ce que tu apprécies le plus de faire. Et ta mission se révèlera. L’existence même constitue une part extrêmement importante de cette mission. Tu es un être des étoiles, qui a été partout et a appris de partout. Tu es né libre et depuis la Source. Tu es à jamais libre.

Robert : Merci Yazhí. Cette conversation m’a motivé. En plus de me connecter avec des plans plus élevés. Je sais que je peux. Et peut-être que je peux aussi aider à l’élévation planétaire. Je suis sûr de ça. Je ne travaille pas beaucoup, je dois me retrousser les manches.

Yazhí Swaruu : Tu n’as pas besoin de te connecter à des plans supérieurs, ça promeut l’idée ou le concept de séparation, de plans supérieurs d’un côté et Robert de l’autre, très loin, essayant d’appeler son foyer. Tu es ces plans supérieurs, tu les formes. Tu ne peux pas y échapper. Tes idées selon lesquelles il y a un ici et un là-bas, un moi  »ici » et des plans supérieurs « là-bas », c’est ce qui t’empêche de te  »connecter » à eux.

Sache seulement que ce que tu penses, ce que tu ressens, ce que tu imagines, sont les plans supérieurs, et que tu en fais partie intégrante.

Robert : Je sais… Ce que je veux dire c’est que je veux tout intégrer, depuis ce niveau jusqu’aux plans supérieurs, parce que d’une certaine façon je me vois séparé… Je sais que je ne le suis pas, mais je me perçois ainsi… Malgré le fait que je sache vraiment que ce n’est pas le cas.

Comment visualiser par exemple un monde meilleur ? Essayer d’influencer depuis les plans supérieurs les individus  »principaux » ici sur Terre ?

Yazhí Swaruu : Tu dois oublier que tu as des restrictions. Je sais que d’une certaine façon tu te sens séparé, parce que mentalement tu travailles depuis une certaine position à l’intérieur d’un corps. Et ce n’est pas seulement pour visualiser un monde meilleur, mais pour vivre malgré le fait que tout brûle autour de toi.

Sois ceci. Oublie le corps. N’essaie pas d’être dans des plans supérieurs avec ce corps, parce que celui-ci réside ici et il est conçu pour créer en toi le sentiment de restriction.

Fais tout cela mentalement. Vis ton imagination/ta visualisation à l’intérieur de toi. Même si cela paraît créer une séparation entre le corps et l’esprit, il n’en est rien. Vis de cette façon dans ton esprit, et le corps suivra. Vis dans ton corps et celui-ci continuera de te limiter.

C’est comme si tu vivais ton monde intérieur. Tu vis dans tes mondes imaginaires et joyeux, bien qu’il y ait des déchets autour de ton corps. Regarde ça comme : « Ah, c’est ça un déchet… Grâce à ça je sais ce qui n’est pas un déchet, et c’est pourquoi j’imagine et je vis intérieurement tout ce que j’imagine ». Accepte que ton corps soit un autre aspect de toi-même. Ne résiste pas à cela, ni à où tu te trouves. Ce n’est qu’un plan de plus sur lequel tu vis.

Robert : Quelle serait la frontière du monde  »réel » avec le soi-disant  »irréel ». Y a-t-il une frontière ?

3 Yazhí Swaruu : Tout est réel et tout est irréel. Il n’y a que des points de vue basés sur des cadres de références régis par des systèmes de croyances, la plupart du temps très limitants. La seule chose vraiment réelle est ce que tu imagines qui l’est, parce que c’est un reflet de qui tu es. Et toi, ta conscience, ta connaissance sur le fait que tu existes, c’est la chose qui est réelle.

 

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