
Dans cet article, Swaruu d’Erra nous parle du vol Supra Lumineux, également connu sous le nom de mode de vol Hyperspace/Warp.
Nous remercions infiniment les TAYGETIENS pour leur dévouement à l’humanité.
Nous remercions Cosmic Agency , SPECIALEMENT GOSIA pour tout le travail qu’elle effectue afin que nous soyons informés ainsi que toute l’énergie et de toute la conviction qu’elle émane.
Nous remercions AnnC pour la traduction
LA GUERRE N’EST PAS FINI MAIS UNE BATAILLE EST GAGNEE l
NOUS MOURRONS AVEC DE LA CONNAISSANCE ET NOUS REVIENDRONS SPECIALEMENT POUR GAGNER CETTE GUERRE…
Article publié le 30/11/2020
Navigation Stellaire 2 – Partie 5 – Swaruu de Erra
Résumé des informations de Navigation Stellaire 2 données précédemment :
– La différence la plus grande et la plus notoire entre le moteur terrestre à plasma et celui de Taygéta est que le moteur terrestre a encore besoin de carburant et de gaz propulseur.
– Le vortex électromagnétique concentre dans son noyau une quantité énorme de magnétisme et de particules-électrons chargées et la sortie unique du moteur est dirigée vers l’arrière créant par là-même un effet action-réaction dont le rapport puissance utile/énergie nominale est gigantesque.
– Ce type de moteurs est largement utilisé dans la plupart des vaisseaux, à l’exception des petits pour lesquels il est plus pratique d’utiliser uniquement des moteurs gravitationnels.
– Ce qui peut être interprété comme le bruit du vent ou d’un vaisseau traversant l’atmosphère est, en réalité, le son du plasma expulsé vers l’arrière.
– Bien que de petits moteurs de fusée puissent être utilisés à cet effet, il est plus pratique d’utiliser des moteurs gravitationnels comme moyen de contrôle pour manœuvrer un vaisseau.
Jusqu’à présent, nous avons décrit le vol du vaisseau spatial en mode de suppression de la gravité ou de moteurs gravitationnels. Nous avons également décrit le fonctionnement des turbines à plasma, des fusées ou des moteurs électromagnétiques à réaction. Ces deux méthodes sont utilisées comme moyens de propulsion pour déplacer le vaisseau d’un point A à un point B. Mais comme je l’ai déjà dit, pour pouvoir franchir de gigantesques distances interstellaires, il faut quelque chose de plus « exotique ».
Les moteurs à réaction à plasma électromagnétique expulsent le plasma chaud vers l’arrière, faisant avancer le vaisseau spatial de la même manière qu’il le ferait pour expulser du gaz de combustion d’hydrogène ou d’aluminium solide, entre autres combustibles, comme ceux utilisés dans les fusées terrestres. Mais ce plasma électromagnétique a une fréquence spécifique, contrairement aux gaz de combustion courants. Et cette fréquence spécifique est contrôlée en faisant varier la vitesse des turbines et leur interaction les unes avec les autres, entre leurs couches isolées à l’intérieur de chaque moteur (différentiel de vitesse entre les turbines).
Une turbine typique de vaisseau spatial est constituée d’une série de doubles tambours cylindriques c’est-à-dire que chaque tambour est constitué d’un tambour extérieur et d’un tambour intérieur qui tournent dans des sens opposés. Chaque tambour est fait d’un matériau composite non conducteur et résistant à des températures de plus de 4000°C. À titre de référence, la température du soleil est officiellement de 5600 °C. Ce matériau non conducteur contient un liquide magnétique spécial qui est supraconducteur à température élevée. Comme on le sait déjà, les matériaux sont généralement supraconducteurs à basse température et non à haute température. Sur Terre, le matériau le plus similaire à celui-ci serait le mercure enrichi, également connu sous le nom de mercure rouge.
Il est centrifugé à une vitesse comprise entre 10 000 et 100 000 tours par minute (RPM) à l’intérieur des turbines contre-rotatives et il produit un tourbillon de plasma qui explose au niveau du noyau géométrique de la turbine. Le plasma sort à une fréquence spécifique contrôlée par les variations entre les vitesses de chaque couche des turbines et la relation entre les turbines contre-rotatives internes et externes. Ces variations sont contrôlées par l’ordinateur qui commande les moteurs.
Noyau ou moteur d’un tore. On montre la dynamique du flux d’énergie à l’intérieur de celui-ci. Le noyau d’un tore est celui qui génère l’énergie magnétique et c’est en même temps le moteur du vaisseau. Les moteurs à impulsion magnétique des turbines contre-rotatives décrites ci-dessus produisent cette énergie. Le plasma électromagnétique de haute énergie, lorsqu’il sort par l’arrière (ci-dessous sur l’image), se connecte avec l’avant d’un vaisseau par l’extérieur et tout autour du vaisseau en l’enveloppant dans un tore où l’énergie réintègre les moteurs en utilisant à la fois les câbles supraconducteurs de très gros calibre (dans le cas de Suzy, il y a 8 câbles avants autour de la coque sur environ un mètre d’épaisseur) mais aussi, principalement, en utilisant la coque du vaisseau elle-même qui relie le flux du nez du vaisseau au noyau du tore qui est également le noyau des moteurs qui le produisent.
Lorsque l’un de ces moteurs est en mode fusée, seul le plasma sort et le vaisseau avance, comme un jet ou un avion à réaction.
Mais maintenant, pour le vol supra-lumineux, voici ce qui se produit :
Lorsqu’un vaisseau est en mode de vol à réaction, seul le plasma sort et le vaisseau avance.
Mais si nous activons la connexion entre le nez du vaisseau et l’arrière, nous fermons un circuit électromagnétique.
Comme le plasma électromagnétique des moteurs est expulsé vers l’arrière à une fréquence contrôlée, qui est en accord avec le nez du vaisseau, le tout avec des mathématiques toroïdales de base, le tore est refermé ; autrement dit, un tore de haute énergie a été généré par les moteurs.
Équations de base pour un tore d’énergie.
Volume d’un tore. C’est sur Terre, c’est de l’électromagnétisme toroïdal de haute énergie, des formules de base. Je peux en donner plus mais j’ai du mal à voir lesquelles sont pertinentes : beaucoup sont trop simples ou trop compliquées à publier.
Pour ce qui est du tore (et nous pouvons revenir sur le tore lui-même plus tard), nous avons une loi énergétique de base à l’œuvre ici : la Loi des Fréquences Dominantes. Elle dit que toute fréquence plus forte qu’une ou plusieurs autres transformera les plus faibles en elle-même ; elle les assimilera. Le tore énergétique d’un vaisseau va enfermer le vaisseau-même qui l’émet, ainsi que tout ce qui est à l’intérieur de celui-ci, dans une bulle où sa fréquence de vibration existentielle, appelée densité (comme en 3D ou 5D …), sera l’exact équivalent de celle émise par le moteur.
Le dernier paragraphe est la partie critique. Ainsi, en modifiant la fréquence de sortie des moteurs, vous modifierez la fréquence existentielle du vaisseau et de tout ce qui se trouve à l’intérieur de celui-ci. Cela signifie que vous pouvez à volonté déterminer la densité que vous voulez avec une précision décimale. Comme tout est fréquence dans cet univers, ainsi que nous l’avons déjà dit, il suffit d’avoir une fréquence équivalente à la destination pour se retrouver au lieu de destination. Si votre destination est 7,83724 Hz et, qu’avec votre vaisseau, vous correspondez à 7,83724 Hz … alors vous serez à votre destination. Car 7,83724 Hz = 7,83724 Hz.
Je reprends à nouveau. Pour qu’un vaisseau puisse sauter dans l’hyperespace, le flux d’énergie plasmatique que les moteurs amènent du nez du vaisseau vers le ou les moteurs situés à l’arrière est « activé », ce qui ferme le circuit électromagnétique et produit ainsi, ou active ainsi, le tore qui enveloppe le vaisseau. La fréquence magnétique exacte du tore est manipulée en modifiant la relation entre sa propre vitesse et la vitesse relative des turbines contre-rotatives distinctes et individuelles à l’intérieur des moteurs du vaisseau qui produisent le plasma et l’énergie magnétique.
De par le principe des fréquences dominantes, la fréquence de sortie du tore va également modifier la fréquence du vaisseau qui le produit de l’intérieur du vaisseau, incluant également tout ce qui s’y trouve. Comme je l’ai décrit précédemment dans les chapitres de la Mécanique de la Manifestation et ceux de Navigation Stellaire II, vous pouvez naviguer avec un vaisseau ou sauter d’une destination à l’autre avec une carte des fréquences stellaires (et non pas une carte des positions physiques et des distances entre les lieux).
L’ordinateur indique aux moteurs la fréquence exacte à générer et il enveloppe tout le vaisseau de cette fréquence-même qui est celle de la destination. Et, lorsque sa fréquence atteint celle de la destination, le vaisseau cesse d' »exister » à son lieu d’origine … il saute vers l’éther (enfermé à l’intérieur de son tore puisque c’est de l’éther que tout vient) et, parce que sa fréquence est équivalente à celle de la destination, il descend de l’éther jusque dans celle-ci, terminant ainsi le voyage ou le saut.
On peut dire que le vaisseau « manifeste » sa destination, il ne voyage pas vers sa destination car ce mode de déplacement n’est pas de la propulsion, c’est-à-dire que le vaisseau ne se déplace pas, il ne fait que changer de fréquence pour celle de la destination. Cela revient à voyager à des vitesses bien supérieures à celles de la lumière et le voyage lui-même est instantané quelle que soit la distance entre le point de départ et la destination.
Revenons à l’éther pour expliquer le pourquoi. Dans l’éther, il n’y a pas de distance, tout est entrelacé dans le même espace, tout existe dans le même espace simplement séparé par un voile de perception. Ce voile est la limite qu’ont toutes les consciences : leur champ de perception-conscience. L’éther n’a pas de volume, ni de distances en soi. Cela complique la description mais pour le comprendre, disons que tout est dans le même espace.
Son tore énergétique dont les fréquences sont contrôlées avec extrême précision et exactitude par rapport à ses harmoniques de fréquence qui elles le maintiennent comme « existant », le rend énergétiquement incompatible avec son lieu d’origine.
Il saute dans l’éther, le vaisseau devenant ainsi une énergie potentielle contenue dans une bulle artificielle qui, elle, contient encore toute l’information des harmoniques de fréquence qui maintiennent l’énergie sous la forme d’un « vaisseau et ses occupants ». De cette façon, en modifiant artificiellement leurs harmoniques de fréquence…, elles deviennent compatibles avec la destination. Et n’oubliez pas que les harmoniques des moteurs des vaisseaux spatiaux sont exactement comme celles de l’esprit et de la conscience, ils sont émulées par des accélérateurs de nanoparticules à l’instar des neurones d’un être biologique ayant une âme.
Il n’y a pas de mouvement dans l’espace, il n’y a pas de déplacement, et il n’y a pas de distance à parcourir puisque, depuis l’éther, tout est et tout ce qui existe, l’univers entier, est entièrement contenu superposé dans l’éther… Par description : tout ce qui existe occupe le même espace, s’entrelace comme dans un tissu.
Vous ne changez que là où vous êtes compatibles, en fonction de vos harmoniques, qui sont des fréquences et des vibrations. Et là où vous êtes compatibles… c’est là où vous êtes.
Il n’y a pas de distance par rapport à l’éther. Tout est juste parce que tout n’est qu’une idée ; à partir de là, tout est une fréquence. Peu importe les Pléiades, la Terre ou Aldebaran. Vous pensez à l’endroit où vous voulez aller, le vaisseau l’interprète, augmente vos désirs, et vous y êtes. Il n’y a pas de voyage en soi, toute distance de l’éther est parcourue instantanément. Il n’est perçu comme une période de temps linéaire qu’à partir de la perception intérieure du vaisseau mais ce n’est qu’une illusion de plus, créée par l’esprit de ses occupants.
Vous le copiez ou le recréez, et vous êtes à nouveau, à n’importe quel moment, dans le temps et l’espace. Il n’y a pas de différence entre remonter jusqu’à hier ou jusqu’à 100 000 avant J.-C. Il n’y a pas de différence pour le vol Supra-lumineux de voyager de la Floride à Los Angeles ou de la Floride à la galaxie d’Andromède.
Points importants :
– En mode supra-lumineux, le plasma électromagnétique de haute énergie sort par l’arrière et se connecte à l’avant du vaisseau en l’enveloppant dans un tore.
– En modifiant la fréquence de sortie des moteurs, vous pouvez modifier la fréquence existentielle du vaisseau et de tout ce qui s’y trouve.
– Lorsqu’il atteint la fréquence du lieu de sa destination, le vaisseau cesse d’exister à son endroit d’origine… il saute dans l’éther et, du fait de sa fréquence qui devient celle de la destination, il y descend de l’éther, terminant ainsi son saut ou son voyage.
– Il n’y a pas de mouvement à travers l’espace, pas de déplacement. Pas plus qu’il n’y a de distance à traverser étant donné que tout passe par l’éther. Vous modifiez uniquement votre compatibilité en accord avec vos harmoniques, il ne s’agit que fréquence et de vibration. Et à l’endroit où vous êtes compatibles est l’endroit où vous êtes.