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ans cette interview exclusive, Marie Swaruu dialogue avec Arisha, un tigre Urmah de 300 kilos, officier de communication à bord du vaisseau Avien 1, actuellement en orbite autour de la Terre. Cet entretien rare met en lumière la vision urmah de la situation terrestre, leur relation avec la Fédération Galactique, et le rôle central que joue leur Fédération Unie des Félins dans l’équilibre galactique.
Les Urmahs, originaires de la planète Avien en orbite autour de l’étoile Véga, sont connus comme une race guerrière puissante, mais également empathique et éthique. Leur puissance militaire égale celle de la Fédération Galactique, et leur influence, bien que volontairement occultée des récits humains, reste déterminante.
Qui sont les Urmahs ?
Les Urmahs sont une race féline imposante, avec une morphologie proche de celle des tigres terrestres mais à l’échelle colossale : Arisha, comme ses semblables, pèse environ 300 kilos. Leur planète d’origine, Avien, a donné son nom au vaisseau principal stationné actuellement en orbite terrestre : l’Avien 1.
Depuis plusieurs années, ce vaisseau se maintient en orbite basse de la Terre. Sa mission principale est l’observation des événements planétaires et le suivi des semences stellaires urmahs incarnées sur Terre.
Amis de longue date des Taygétiens, les Urmahs ont récemment renouvelé leurs traités de coopération grâce à un accord signé entre la reine taygétienne Alenym Alexandra et le roi urmah Ruhr d’Avien. Leur relation repose sur une alliance ancienne, basée sur la loyauté, la confiance et un objectif commun de protection face aux menaces galactiques.
Une Fédération féline indépendante
Bien qu’ils soient officiellement membres de la Fédération Galactique, les Urmahs se comportent comme une force autonome. Leur propre structure, appelée Fédération Unie des Félins, est si puissante qu’elle rivalise avec celle de la Fédération.
Contrairement aux Taygétiens, qui sont déjà réputés pour leur indépendance, les Urmahs vont encore plus loin. Ils coopèrent quand ils le souhaitent et ignorent sans complexe les avertissements ou sanctions. Leur devise est claire : ils ne suivent que les règles qu’ils jugent logiques et éthiques.
Cette indépendance dérange la Fédération, qui considère les Urmahs comme un peuple problématique en raison de leur refus d’obéir aveuglément. Mais leur force militaire est telle que la Fédération n’ose pas les affronter.
