
Plus à propos des virus – Questions posées par un médecin espagnol à Swarùu de Erra
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LA GUERRE N’EST PAS FINI MAIS UNE BATAILLE EST GAGNEE l
NOUS MOURRONS AVEC DE LA CONNAISSANCE ET NOUS REVIENDRONS SPECIALEMENT POUR GAGNER CETTE GUERRE…
Article écrit le 28/05/2020
Alex : Si la SEC (Secrétion Extra Cellulaire = virus) est un système d’alarme qui, globalement, semble être plus négatif que positif, quel est le principal avantage de ce système ?
Swarùu : Sans définir s’il est positif ou négatif, il remplit simplement une fonction de communication entre les cellules, que ce soit à l’intérieur de l’individu lui-même ou avec les cellules d’autres individus, pour provoquer d’innombrables actions qui peuvent conduire le groupe de cellules réceptrices à avoir ou non une réaction au stimulus externe. Cette action est principalement une alarme face à un environnement hostile et déclenche une réponse comportementale soit interne comme une réaction immunitaire, soit externe comme un changement de comportement chez un individu, loin de ce qui cause la réaction défavorable.
Alex : Les SECs (virus) sont-elles un moyen d’éliminer les individus malades afin que le groupe reste sain et fort ?
Swarùu : En partie, oui. Au sein d’une communauté, si le problème de la toxicité environnementale est généré par un excès de population à l’intérieur de la même espèce, ils entrent dans une spirale de déséquilibre avec l’environnement externe qui les soutient, conduisant à l’épuisement de leurs ressources. Par exemple, chez un type spécifique de plante qui soutient un groupe d’insectes, nous avons découvert qu’elle sécrète une SEC qui déclenche une action dans les cellules des insectes, laquelle déclenche à son tour une réponse immunitaire avec libération ultérieure de SEC par les cellules, caractéristique de l’insecte, avec une action néfaste dans la population générale. Les individus de cette population, les plus faibles ou les plus âgés, seront les premiers à mourir, rétablissant l’équilibre de l’écosystème. (Ce n’est pas le cas de COVID-19 par rapport aux humains, bien qu’il soit tentant de faire le rapprochement).
Alex : Si les SECs ne sont en fait que des vecteurs d’alarme, pourquoi le corps fonde-t-il sa défense sur la création d’anticorps pour contrer les signaux qui l’avertissent du danger ? Est-ce seulement un moyen de contrôle pour éliminer ce signal lorsqu’il n’est pas nécessaire ?
Swarùu : Exactement. La réponse immunologique du corps est le système de désactivation devant un signal qu’il a déjà détecté et alors qu’il a décidé de ne pas le perpétuer ni d’y obéir. C’est le problème et le danger des vaccins viraux car ils déclenchent souvent la maladie qu’ils étaient censés prévenir au départ. Un exemple de ce problème est le vaccin contre la grippe qui est administré à un pourcentage d’individus supérieur à 40 % et qui s’est avéré causer la mort d’un plus grand nombre d’individus que l’épidémie même qui a causé le développement dudit vaccin en premier lieu
1 Un autre exemple est le vaccin contre le virus du papillome humain, appliqué à la fois aux filles de moins de 10 ans et aux femmes de tout âge qui, dans un pourcentage supérieur à 90%, a provoqué la maladie avec de graves conséquences permanentes telles que garder ce problème en latence pour le reste de leur vie, être stérile et le risque une mortalité élevée dépassant 20% chez celles qui l’ont reçu (une fille sur 5 de moins de 10 ans est morte de cette inoculation en Grande-Bretagne au cours des 3 dernières années et cette information grave est cachée par les médias).
Alex : L’inoculation artificielle de fragments de SECs (vaccination) pourrait-elle être bénéfique dans des cas concrets ou des maladies ?
Swarùu : Étant donné la nature des vaccins qui contiennent des fragments de SECs, on ne peut pas déterminer avec une précision totale la nature et le résultat de chaque type de fragment, ou la définition même du fragment. Cela laisse ouverte la possibilité que la SEC soit lue, oui, en partie, et activée par une cellule réceptrice. Mais il peut aussi arriver que le message SEC soit déformé ou incomplet et que la cellule déclenche une réaction non prévue, avec des résultats extrêmement dangereux. Les résultats de l’application des vaccins contre la grippe et le papillome humain suggèrent fortement que le principe des vaccins ne fonctionne pas avec les virus comme il le fait avec les grands microbes qui sont des organismes pathogènes plus complexes.
Pour répondre directement à la question, le virus en tant que tel n’est rien d’autre qu’une sécrétion de la SEC et constitue une réponse ou un symptôme, et non la cause du problème. Par conséquent, le développement d’un vaccin ne vise qu’à dissimuler la véritable cause dudit problème, à répandre la génération de la SEC de manière excessive au sein d’une population d’individus. Je ne recommande pas la fabrication d’un quelconque vaccin contre les virus ou les SECs, ce qui revient au même.
Alex : Pour résumer : Comment les SECs fonctionnent-ils réellement et quels sont les bénéfices qu’elles génèrent pour l’individu et le groupe affectés ?
Swarùu : Les virus ne sont pas extérieurs, ils sont déjà contenus dans l’ADN-ARN de chaque cellule. Le code SEC ou « virus » est libéré lorsque l’ADN-ARN est dégradé par une situation toxique interne, comme les ondes électromagnétiques. Ce sont des moyens de communication entre les cellules, que ce soit à l’intérieur d’un même corps, ou comme moyen de communication entre les individus d’une même espèce au sein d’une communauté, comme la communication entre espèces d’individus de proximité.
Ils permettent d’expulser le matériel génétique endommagé de la cellule, ce qui constitue une méthode de protection et d’auto-guérison. Cette sécrétion cellulaire externe est capable, à elle seule, de déclencher une réponse d’alarme dans les autres cellules environnantes, indiquant que quelque chose a affectée la cellule qui a sécrété la SEC.
Tous les individus biologiques font partie d’une communauté au sein de laquelle ils s’affectent les uns les autres. Cette communauté d’organismes est composée d’innombrables espèces qui vivent ensemble en équilibre, en symbiose. Les SECs constituent un moyen de communication entre tous ces organismes. Le fait qu’une SEC pose problème à une espèce est le symptôme d’un déséquilibre avec l’environnement qui l’entoure et le symptôme que le milieu dans lequel elle se développe est toxique.
Par toxique, j’entends qu’il contient non seulement des composés chimiques nocifs pour l’individu et ses cellules mais aussi un environnement qui provoque un stress psychologique. Et c’est le facteur fondamental avec lequel un individu va interpréter un signal de SEC comme une alarme ou simplement le désactiver, par le développement d’anticorps, avec son système immunitaire en le cataloguant comme signal non pertinent.
C’est le problème des vaccins antiviraux qui ne développent pas forcément des anticorps mais, si les conditions extérieures et les psychologies des destinataires du vaccin sont en accord avec le message, celui-ci va déclencher la pathologie. Dans tous les cas, la réaction ou « maladie » est déjà contenue dans le code génétique des individus par la mémoire. Je dois souligner ici que le facteur psychologique, ou facteur de conscience de l’esprit va jouer un rôle fondamental dans l’interprétation des SECs.
Les SECs sont nécessaires pour pouvoir atteindre un équilibre dans un corps, une communauté de la même espèce et l’environnement de l’habitat en général.
Alex : Je suis d’accord avec ce qu’a dit Anéeka, à savoir que cette « pandémie » est la plus grande action sous faux drapeau de l’histoire de l’humanité. Sur terre, aucune personne saine d’esprit n’oserait douter ou nier l’existence d’une très grave pandémie mondiale. LE SPECTACLE QU’ILS ONT CRÉÉ A ÉTÉ PARFAIT.
Swarùu : Il semble parfait mais il ne l’est pas. Même les personnes sans aucune formation médicale voient que les choses ne correspondent pas, que les statistiques ne correspondent pas au nombre de morts ni à ce qu’ils partagent sur le web et dans les nouvelles. En l’absence d’autres explications, l’existence dudit virus est acceptée mais ils supposent que l’information est supprimée par les gouvernements. Ils disent aussi qu’il y a des mutations dudit virus, mutations que j’associe à un simple changement de la population humaine concernée, génétiquement différente et localisée dans un autre environnement externe ou habitat, ce qui déclenche un changement dans la nature du signal SEC émis.
Le facteur « n » : Manipulation des médias de communication (de masse), qui exagèrent le problème de manière plus ou moins grave selon les pays. Mais le plus grave est qu’ils exagèrent l’aperçu général du problème de manière brutale en termes d’urgence sanitaire, créant une panique généralisée.
C’est vrai. Là aussi, le problème est qu’une personne lambda ignore que les médias de la planète entière pourraient être contrôlés et synchronisés par un seul groupe d’individus. Ils ne croient pas non plus qu’il peut exister un tel mal et une telle avidité car ils n’ont qu’eux-mêmes et les membres de leur communauté comme exemple. Ils pensent que si eux-mêmes ne sont pas capables moralement se rendre coupable d’une action aussi horrible, alors les gouvernements ne le peuvent pas non plus. Malheureusement, ils le peuvent et ils le font depuis des siècles.
La vérité est que les médias sont tous contrôlés manuellement et avec une IA avancée qui échappe à la compréhension de la personne moyenne. En d’autres termes, ils croient aveuglément tout ce qu’ils entendent dans les médias officiels, puisque ce sont « eux » qui diffusent de fausses informations en vue de réaliser un programme de contrôle et/ou de génocide.
Il est possible que les négatifs utilisent les nanotechnologies (épandues par les chemtrails, inoculées par les vaccinations annuelles répétitives contre la grippe) qui sont ensuite renforcées par la technologie 5G, les métaux lourds.
Oui, tous les vaccins contiennent des métaux lourds, la liste est longue. Ils disent que ce sont des conservateurs pour les vaccins. Par exemple, j’ai vu une déclaration selon laquelle l’utilisation du mercure dans les vaccins aide à supprimer le virus à l’intérieur, à le garder en sommeil et dans un état
3 non actif. Mais tous les métaux ont des effets hautement nocifs pour un organisme. Il est presque impossible de les enlever une fois qu’ils ont été inoculés. Bien que beaucoup prétendent que c’est le cas, je n’ai trouvé aucune preuve que le nettoyage ou la purification fonctionne, ou ne fonctionne pas efficacement sur les métaux lourds. Je ne peux que vous suggérer de ne plus vous faire vacciner contre quoi que ce soit, car il est impossible de savoir ce qui se trouve réellement dans cette seringue. Je ne saurais trop insister sur ce dernier point : la présence de métaux lourds dans les vaccins est là pour augmenter la réactivité et la sensibilité du corps humain face à un champ électromagnétique.
L’utilisation ou la présence de nanopuces et de nanotechnologies dans les vaccins remonte à 1997. Elle est présente dans tous les tests de vaccins que nous avons vus. Que ce soit ou non une bonne idée d’utiliser un vaccin contre une maladie, peu importe, ce n’est pas le cas ici. Le problème est que ce qu’ils injectent à la population humaine ne sont pas des vaccins, mais ils utilisent le principe de vaccination médicale comme cheval de Troie pour des inoculations forcées.
Pour ceux qui tombent vraiment malades et qui ne font pas partie de la machinerie de désinformation des médias, le problème est l’empoisonnement par les radiations électromagnétiques à des fréquences allant de 600 MHz à 6 GHz. Cette bande de signaux électromagnétiques modifie l’absorption de l’oxygène, sa relation biochimique avec l’hémoglobine. L’hémoglobine cesse de transporter l’oxygène, car la molécule d’oxygène devient instable, du fait que les électrons qui la composent se mettent à vibrer et à tourner. En fait, la personne ne peut plus respirer. Cela ressemble au mal de l’altitude, lorsque l’on essaie de respirer à plus de 8000 mètres (26246 pieds) sans préparation préalable. Le manque d’oxygène provoque une nécrose cellulaire en de nombreux endroits, qui se concentre d’abord dans la région des poumons. Cela provoque un effondrement du système immédiat de réception de l’oxygène et l’apparition d’infections opportunes (voir science magnétobiologique).
Un patient dans ces conditions est placé dans un respirateur artificiel qui force les poumons à se gonfler et se dégonfler mais, comme ses structures internes sont faibles et endommagées, ce respirateur ne fera que provoquer des dommages internes dans les poumons sous forme de multiples déchirures internes causant encore plus de dommages, l’inondation des poumons avec du liquide (riche en signaux d’alarme SEC) et provoquant finalement la mort, dans de nombreux cas, par hémorragie interne.
Les premiers symptômes des radiations, qu’elles soient électromagnétiques ou ionisantes par des isotopes radioactifs, sont identiques à ceux de la grippe ordinaire. Sensation de malaise dans le corps : fièvre, faiblesse, toux sèche ou avec glaires, sécrétions muqueuses et apparition d’infections opportunistes, entre autres.
La communauté médicale confond l’empoisonnement par les radiations avec un virus. Ces rayonnements se situent dans une gamme (600 MHz à 6 GHz) utilisée par le système 5G. Il convient de mentionner qu’il existe deux types d’utilisations des fréquences 5G, celles à usage civil et celles pour les armes et les communications militaires déjà utilisées dans pratiquement toutes les armées, forces aériennes et navales sur Terre.
Comme prévu, tous les individus forts et en bonne santé, comme on le voit surtout chez les soldats, sont ceux qui mettront le plus de temps à développer les symptômes d’empoisonnement, mais tout le monde finira par subir les mêmes conséquences, ce n’est qu’une question de temps d’exposition, de proximité et de volume de l’émission radioactive-électromagnétique.
Il a également été constaté que le rayonnement électromagnétique est cumulatif, c’est-à-dire qu’une dose répétitive est nécessaire pendant un certain temps avant que les premiers symptômes et problèmes ne commencent à apparaître. Il ne s’agit pas seulement de fréquences autour de 60 GHz ou de la 5G, mais de toute gamme électromagnétique, comme le Wi-fi 4G, 3G, 2G, les radars, les émetteurs radio, les micro-ondes et même la proximité de câbles à haute tension.
La 5G est également transmise par des satellites rayonnant sur l’ensemble de la population mondiale. Elle peut être utilisée pour rendre malade un groupe spécifique de personnes car ils ne savent pas ce qui se passe ou ne l’imaginent même pas comme techniquement possible. Ils ne pourront qu’interpréter les symptômes comme étant ceux de la COVID-19.
Les organisations médicales mondiales font la chasse à la grippe commune et la diabolisent en la qualifiant de COVID-19 car elle a les mêmes symptômes. Les tests pour détecter la COVID-19 sont extrêmement simples et ils sont incapables de faire la distinction entre la COVID-19 et la grippe commune puisqu’en fait, ils sont identiques.
Ils ne font que faire passer l’empoisonnement par radiation pour la grippe commune, le tout lié à la somme de « cas » sans rapport additionné de désinformation massive des médias.