
Yazhi et Swaruu de Erra nous informent des effets,conséquences du suicide. Comment l’éviter ? car c’est pas une bonne idée….
Nous remercions infiniment les TAYGETIENS pour leur dévouement à l’humanité.
Nous remercions Cosmic Agency , SPECIALEMENT GOSIA pour tout le travail qu’elle effectue afin que nous soyons informés ainsi que toute l’énergie et de toute la conviction qu’elle émane.
Nous remercions AnnC pour la traduction
LA GUERRE N’EST PAS FINI MAIS UNE BATAILLE EST GAGNEE l
NOUS MOURRONS AVEC DE LA CONNAISSANCE ET NOUS REVIENDRONS SPECIALEMENT POUR GAGNER CETTE GUERRE…
Suicide – Pourquoi ce n’est pas une bonne idée – Yazhi, Swaruu de Erra
Robert : Salut Yazhí. Que pourrais-je dire au public pour qu’il n’abandonne pas le « jeu » ? Tu sais… le « suicide ». Je leur dis toujours de prendre cette information sous leur propre responsabilité mais il y aura toujours quelqu’un qui ne comprendra pas et qui choisira de prendre la sortie « facile » ou « rapide », sans comprendre ce qui a été dit. Je te remercie.
Yazhi : Il n’y a pas une seule solution puisque chacun aura ses raisons propres. Quand quelqu’un en arrive au point de vouloir se suicider, c’est parce que la souffrance physique et/ou psychologique dans sa vie a atteint un point d’insupportabilité. Mais il faut retourner à l’essentiel :
Une personne veut se suicider parce qu’elle est en proie à une douleur physique et/ou psychologique intense et qu’elle considère la mort comme la seule option pour s’en sortir. La raison principale en est que sa vie a atteint un tel niveau de complexité que c’est devenu ingérable pour elle.
Elle a le sentiment que la situation est définitive alors que ce n’est jamais le cas. Comme pour le bonheur qui est éphémère, il en va de même de la tristesse et de la douleur psychologique, même si la personne est convaincue que cette douleur sera toujours là ; la vérité est qu’elle passera.
Elle doit se rendre compte qu’elle se trouve dans une situation très dangereuse si elle envisage de se suicider. Comme dans le cas d’une maladie en phase terminale, elle doit donc simplifier sa vie au maximum, se débarrasser de tout ce qui ne fait que lui causer plus de stress ou plus de complications de toutes sortes, sans penser à ce qu’elle est censé faire. Parce que, par exemple, si elle travaille pour obtenir un diplôme et que ses études ne font que lui nuire, cela n’a aucun sens de se forcer à continuer à faire ce qu’elle pense être censé faire pour, en finale, ne plus être en vie pour en récolter les fruits.
Il en va de même pour un emploi ou pour toute responsabilité qui peut être évitée ou arrêtée volontairement. Simplifiez tout comme si vous n’aviez plus qu’une semaine à vivre, ou un jour à vivre, parce que c’est comme ça par essence.
C’est aussi parce que ces personnes veulent de l’attention et que beaucoup de gens autour d’eux leur refusent cette attention ; en soi, il n’y a rien de mal à avoir besoin d’attention. Donc, l’argument selon lequel ils ne le font que pour recevoir de l’attention ne s’applique pas. Il s’agit d’un besoin humain fondamental. Et, oui, en se suicidant, ils recevront l’attention qu’ils voulaient, ils pourront aussi « punir » les personnes qui leur ont fait du mal, s’ils ont aussi cela à l’esprit. Mais ils ne seront plus là pour en voir les résultats.
Ils doivent également comprendre qu’en se suicidant, ils créeront une réaction en chaîne de souffrance, car leurs proches, leur famille, subiront des conséquences émotionnelles et un traumatisme et une culpabilité aux proportions dévastatrices.
Ils mettent non seulement leur vie en danger mais aussi, potentiellement, celle des personnes qui les entourent, qu’ils finissent ou non par se suicider. Parce que cela aussi peut parfois être une des conséquence de leur suicide, ou simplement la volée de reproches que vont se lancer les membres de leur famille ou leurs communauté quant aux raisons pour lesquelles leur proche s’est suicidé.
Le problème, ici, est que cet argument contre le suicide, le fait qu’il peut aussi ruiner la vie des autres, n’est ni éthique ni juste du point de vue de la personne dont le problème émotionnel l’a amenée à vouloir prendre cette décision. De fait, en plus de ses problèmes et du fait qu’ils l’accablent et de l’immense douleur qu’il porte, il est maintenant aussi blâmé pour ceux des autres, ce qui augmente encore plus son sentiment de culpabilité et, au bout du compte, sa motivation à se suicider. Le problème est que, oui, cela fait porter une responsabilité aux personnes qui l’entourent.
Les problèmes sont toujours temporaires, toujours. Quelle qu’en soit la gravité, dans un univers de polarités, un problème ne peut exister sans sa solution ; ils vont de pair, ce sont les deux faces d’une même pièce.
Robert : Oui. La seule chose que je peux faire, c’est partager ce que je sais et mon point de vue. Je pense aussi que le suicide va de pair avec un certain chantage émotionnel. Je ne sais pas.
Yazhi : Le chantage émotionnel, « juste pour attirer l’attention » est une façon très injuste et dangereuse de parler de ce problème parce qu’il invalide ce que ressent la personne qui a des tendances suicidaires, et cela la conduit précisément à commettre l’acte.
Robert : Je pense que le suicide est une maladie. Parce que ces gens rechutent et rechutent toujours. Yazhi : De nos jours, tout est considéré comme une maladie mentale et je pense qu’il n’existe pas de maladie mentale mais uniquement des maladies au sens rhétorique du terme. Et ils rechutent parce qu’ils ne peuvent pas trouver de solution à leur problème.
Maintenant, voyons ça d’un point de vue plus élargi :
Lorsque vous vous incarnez, vous avez toujours pré-établi votre plan de vie ; c’est vous qui concevez tout ce que vous allez vivre, y compris, et surtout, les moments de souffrance ou de difficultés, et ce, en raison de l’énorme potentiel de croissance personnelle que cela peut vous apporter en tant qu’âme et en tant que conscience
Car, parmi les expériences qui nourrissent le plus l’âme, se trouvent les expériences difficiles, les échecs et la manière de faire face aux défis.
Ainsi, lorsqu’ils se suicident, ils vont atteindre l’autre côté en pleine conscience de tout car le « je » ne se perd pas, ni le sens de sa propre identité ; on ne fait que subir une expansion. À ce stade, et grâce à cette expansion, le cadre des raisons pour lesquelles le suicide a été commis est également mieux décrypté.
Arrivée de l’autre côté, avec ce changement de perspective, la personne voudra en revenir que parce qu’elle sera mécontente d’elle-même, c’est ce qu’elle veut éviter. Parce que, ce que toute âme désire vraiment, c’est de s’expanser et, lorsqu’elle se rend compte qu’elle a raté son défi, elle voudra retourner à nouveau dans le jeu de son propre gré, parce que c’est un jeu.
C’est comme si vous êtes dans un jeu vidéo et, que quand des monstres surgissent, vous avez peur et vous éteignez le jeu. Vous aurez trouvé une « échappatoire » temporaire mais, très peu de temps après, vous voudrez simplement entrer encore et encore et encore pour affronter le monstre jusqu’à ce que vous ayez réussi le défi. C’est comme affronter un ¨Boss¨ de jeu vidéo, il n’est là que jusqu’à ce qu’on réussisse le niveau.
Juin 2018 :
Swaruu : Disons que la peur primordiale est l’une des plus grandes caractéristiques de la 3D qui est marquée par le voile de l’oubli. Et il crée, en grande partie, la nature du désespoir et le sentiment de manque que chacun a en lui d’une manière ou d’une autre. Au moment où cette peur est transcendée, en faisant son propre travail intérieur, la perspective sur la vie change beaucoup. Loin de perdre de sa valeur, la vie elle-même prend de la valeur, c’est comme un « effet secondaire».
C’est ce qu’ont dit d’innombrables personnes sur Terre. Nous ne pouvons pas en faire l’expérience nous mêmes, mais seulement l’observer. De nombreuses personnes, qui envisagaient de se suicider, cessent de penser au suicide après un éveil spirituel et ou face à la mort. C’est, en partie, parce qu’elles se rendent compte que, non seulement, leurs problèmes mentaux et leurs soucis ne seront pas résolus avec cela mais qu’ils continueront de l’autre côté. Avec le problème supplémentaire qu’ils ne sont plus dans leur corps physique et qu’ils ne pourront donc plus résoudre leurs problèmes.
La cause la plus fréquente de suicide est la douleur psychologique et c’est la plus insupportable. Après la mort, cette douleur ne fait qu’augmenter dès le moment où vous vous rendez compte que vous ne pouvez pas y échapper. Le suicide n’a aucun sens car on ne peut pas échapper à soi-même.
La solution consiste à affronter cette douleur, où que nous soyons, au moment où elle apparaît, que ce soit du côté spirituel ou du côté de l’incarnation. Mais, comme la plupart des problèmes psychologiques proviennent des expériences vécues au cours d’une vie et de l’interprétation que l’individu leur en donne, le moment le meilleur pour affronter ces problèmes est nécessairement lorsqu’on est incarné.
Ces problèmes résiduels sont reportés après la mort, surtout après un suicide. Donc, bien qu’il ne s’agisse que d’une voie de sortie alternative et que le suicidé ne soit puni par personne, c’est lui-même qui se punit de l’autre côté.
Cela fait que, compte tenu du fait que les raisons pour lesquelles une personne s’est suicidée sont très généralement dues à une douleur psychologique, quelle qu’en soit l’origine, cela crée l’énorme besoin chez cette personne de s’autocritiquer alors qu’elle se trouve de l’autre côté.
En conséquence, l’idée de devoir réessayer est auto-générée, de sorte qu’ils retournent dans la même vie, qui est comme le même niveau « du jeu », comme dans un jeu vidéo quand ils meurent et meurent plusieurs fois en essayant de surmonter le niveau ou le défi. Ce sera la principale raison pour laquelle ils se réincarneront.
À ce moment, la manipulation des archontes peut également entrer en jeu, exagérant les problèmes de la personne récemment décédée et de tout ce qu’elle a fait de mal durant sa récente incarnation. Ce qui l’incite à revenir ou lui donne un besoin encore plus grand de revenir.
Si cela reste vrai, de mon point de vue, l’intervention d’une force archonistique quelconque n’est même pas nécessaire et, personnellement, je ne vois aucune interférence décelable contre une âme récemment décédée.
Ce que je veux dire, c’est qu’il y a plus de Matrice de l’autre côté, par le simple fait que les gens eux-mêmes, leur conscience et leur perception sont la Matrice elle-même. Par conséquent, aucune intervention directe d’un archonte ou d’un groupe d’archontes n’est nécessaire si la personne décédée porte déjà en elle tout ce qui est nécessaire pour provoquer sa prochaine réincarnation, son propre recyclage au sein de la matrice collective. Ce dernier point est très important. Si une personne est mentalement libérée de la matrice, elle est libre.
Car la seule chose qui l’ancre dans la Matrice, ce sont ses propres idées limitatives. Là où elle vit quelque chose, elle se suicide pour se rendre compte, plus tard, qu’elle est toujours elle-même de l’autre côté. Alors, comme il n’y a pas de temps, les êtres retournent au point d’attention de leur corps précédent et essaient de faire bien ce qu’ils n’ont pas réussi à faire bien la première fois. Et là, ils traversent et vivent la même chose encore et encore, jusqu’à ce qu’ils se rendent compte qu’ils doivent laisser tomber ce qui ne s’est pas bien passé.
Cette boucle n’implique pas seulement la même réincarnation, elle peut aussi être une boucle ou une spirale plus étendue parce que la « même incarnation » n’est jamais exactement tout à fait la même quand on la répète. C’est-à-dire qu’une personne sera Pepe, puis José, puis Miguel, Fernanda, Lucia et puis Pepe à nouveau, puis Miguel et ainsi de suite.
Et ils n’avancent pas parce que ces vies sont interconnectées et que la cause de l’existence d’une personne est due à la précédente. Ils font une boucle et, s’il est difficile de sortir d’une boucle d’une seule incarnation, comme c’est le cas pour les suicides, il est encore plus difficile de sortir d’une boucle plus grande qui implique plusieurs incarnations parce qu’il n’est pas facile de réaliser que nous sommes cette boucle.
Et pour aggraver les choses, les personnes dans la boucle peuvent, ou non, vivre et interagir les unes avec les autres ; c’est pourquoi José et Fernanda sont un couple si heureux et ils s’entendent si bien et ils sont déjà mariés depuis 22 ans : parce qu’ils sont la même Adma ou âme.
Ou bien, Pepe déteste Miguel et ne sait pas pourquoi ; mais il ressent cette grande antipathie parce qu’il se rappelle combien il était mauvais dans cette réincarnation et qu’il déteste son propre reflet. Les boucles en spirale se développent et, en nourrissent de plus grandes et, à leur tour, en nourrissent d’autres plus grandes encore jusqu’à ce qu’elles redeviennent le Tout ou la Source.
Traduction par AnnC de l’Alliance française interstellaire.