Article et vidéo de Mari Swaruu Minerva

Bonjour, je m’appelle Mari Swaruu et je ne suis pas originaire de la Terre.
J’y ai vécu pendant près de cinq ans, mais je n’y vis plus depuis l’année 2021.
Je suis née dans un vaisseau spatial loin de là, et je suis à nouveau hors de la planète en ce moment même.
Il y a deux civilisations très différentes qui coexistent sur la Terre :
_ L’une est la société 3D matricielle terrestre acceptée, que vous connaissez tous, avec ses nations et ses gouvernements.
_ L’autre est une civilisation interstellaire à races multiples qui prospère sous terre et principalement en Antarctique.
Il y a beaucoup plus d’humanité qui vit parmi les étoiles. Au moins 400 000 civilisations de personnes de type humain existent seulement dans ce quadrant galactique.
Et maintenant je suis l’une des toutes premières à sortir au grand jour pour raconter mon histoire et voici ma chaîne YouTube.
Cette information est classée comme science-fiction pour ne pas enfreindre les règles de YouTube, mais je prends mes informations très au sérieux.
Que celui qui a des yeux, voie !
(Publié par Mari Swaruu le 22 février 2023. Traduction par Olivier YaKa et Éloïse Al’Cyona)
Sa chaine officielle sur Youtube: https://www.youtube.com/@SwaruuOficial/videos
La chaine traduite en francais crée par Olivier YaKa et Éloïse Al’Cyona: https://www.youtube.com/@MariSwaruuMinervaFR/videos
Vous pouvez avoir acces à toutes les articles et videos ici :
Yazhi et les jeux d’enfants
Première d’une série de vidéos portant sur la vie quotidienne à bord d’un vaisseau spatial taygétien.
Elles incluront des pensées, des conversations et des anecdotes, qui vous aideront à mieux comprendre qui nous sommes.
Merci aux Taygétiens pour leur précieuse contribution à notre développement spirituel et à notre compréhension du monde qui nous entoure.
Nous remercions Olivier YaKa et Éloïse Al’Cyona
pour la traduction et la transcription de la video
Version originale chaine youtube : https://youtu.be/ec4G-36PvH4
Video version Francaise
Yazhi et les jeux d’enfant
Vidéo source publiée le 2 janvier 2023
Voix de Éloïse Al’Cyona
Traduction française par Olivier Ya Ka et Éloïse Al’Cyona
Transcription
Yazhi et les jeux d’enfant
Bonjour à nouveau,
Je suis Mari Swaruu
Voici la première d’une série de vidéos portant sur la vie quotidienne à bord d’un vaisseau spatial taygétien.
Elles incluront des pensées, des conversations et des anecdotes, qui vous aideront à mieux comprendre qui nous sommes.
Bien que beaucoup d’entre elles seront partagées uniquement parce que nous voulons nous rapprocher de vous, certaines peuvent comporter un message profond et émotionnel, et d’autres peuvent même être drôles.
Voici les longs et vastes couloirs du vaisseau Toléka, qui mesure 1734 mètres de long, et qui était autrefois un croiseur de combat, un vaisseau de guerre.
Désormais converti en un vaisseau de croisière polyvalent, capable d’opérer seul dans l’espace profond pendant des périodes de temps prolongées.
Conçu à l’origine pour un grand équipage de 1800 personnes, aujourd’hui le Toléka n’a plus que trente personnes à bord environ. C’est pourquoi ses vastes espaces sont le plus souvent déserts et silencieux.
Derrière la partie inférieure de l’atrium ou espace de vie principal du vaisseau, et en contournant une cage d’ascenseur, à côté de l’une des bibliothèques du vaisseau, nous trouverons un très grand et spacieux musée d’art complexe et étrange, provenant de nombreux systèmes stellaires que le Toléka a visités.
Bien qu’aujourd’hui ce musée contienne principalement des artéfacts de la culture actuelle de la Terre, ainsi que de ses cultures passées.
Au bout de son couloir central, en passant par une entrée voûtée, gardée par les deux anges du vaisseau Suzy gravés dans du métal de chaque côté, vous trouverez le salon ou la salle de séjour du jardin central.
C’est un grand espace qui fait la largeur de tout le vaisseau, avec un plafond de la hauteur de deux étages, auquel sont suspendus des lustres anciens, avec un tapis bleu foncé, et qui a de nombreux canapés gris clair, comme un salon où s’asseoir pour discuter avec des amis.
Dans la partie arrière, il y a une fontaine pour boissons sans alcool. Et sur le mur de la poupe, à l’arrière, vous pouvez voir une série de grandes fenêtres verticales de forme ovale qui surplombent le jardin central, se trouvant à cinq ou six mètres en contrebas.
Cet endroit est très calme, vide et spacieux. Même s’il est également connu pour ses excellentes propriétés acoustiques et qu’il dispose d’un système de sonorisation très agréable, il est presque toujours silencieux.
Un jour, il y a plusieurs mois, peut-être même il y a plus d’un an, Yazhi, qui était alors âgée de neuf ans, jouait là toute seule, plongée dans ses pensées et dans son scénario, déplaçant et animant ses deux poupées préférées de 9 cm de haut appelées Jenny et Sophi, cette dernière étant clairement son alter égo.
Elle les faisait bouger en parlant à voix haute comme si elles se parlaient entre elles, en les mettant dans des maisons en carton, et dans un vaisseau spatial fantastique ment contruit et détaillé, également en carton, qu’elle a fabriqués elle-même.
Elle était là, seule et loin du reste de l’équipage, plongée dans sa transe, jouant et faisant des bruits de vaisseau avec sa bouche, pendant qu’elle explorait d’étranges mondes imaginaires dans sa petite tête.
Yazhi, bien que son vrai nom soit Sophia Swaruu, est une petite fille menue et de petite taille, qui aura bientôt 11 ans seulement, en mars 2023.
Elle se souvient d’une grande quantité très très inhabituelle de vies antérieures et dans les moindres détails.
Le bon, le mauvais et le laid. Elle seule sait de combien de vies elle se souvient, apparemment plus de 12 au moins.
De ce fait, elle se rappelle de presque tout ce qu’elle a appris durant ces vies antérieures, et toute l’expérience qu’elle a accumulée au cours de celles-ci. Ce qui fait d’elle une âme sage et très vieille.
Elle a exprimé à plusieurs reprises à quel point elle est accablée de se souvenir de tant de choses, surtout sur le plan émotionnel, parce qu’elle se souvient de tout, y compris de très mauvaises choses comme la façon dont elle est morte à chaque fois.
Elle se souvient des lieux où elle se trouvait, des endroits où elle vivait, de ce qu’elle y faisait, de pourquoi elle riait et de pourquoi elle pleurait.
Son âme et son petit corps portent beaucoup de sagesse, mais aussi beaucoup de douleur. Car elle se souvient d’innombrables visages, des noms et tout, de ses amis et des personnes qu’elle a rencontrées à l’époque dans ses vies antérieures. Des personnes qu’elle a vu naître, grandir, avoir leurs propres enfants, vieillir et mourir.
Elle a vu cela, maintes et maintes fois.
Des personnes disparues depuis bien longtemps, oubliées dans la poussière et le brouillard du temps.
Elles lui manquent toutes et beaucoup.
Yazhi a exprimé la charge que cela représente pour elle de se souvenir de tant de choses, et elle l’a exprimé à plusieurs reprises. C’est trop lourd pour son âme.
Et cela déconcerte beaucoup de personnes partout, surtout sur Terre, car la plupart ne peuvent pas comprendre comment une si petite fille peut détenir une telle connaissance et une telle sagesse, que l’on voit rarement, même chez les personnes plus âgées sur Terre, ainsi que chez les gourous ou les maîtres spirituels.
Ce jour-là, Anéeka est allée voir comment allait la petite fille. Elle se tenait à l’entrée de la pièce à côté des deux anges Suzy et elle observait en silence comment jouait Yazhi.
Anéeka se demandait pourquoi une telle créature avec tant de mémoire et de sagesse avait encore besoin de jouer.
Après tout, le jeu des enfants a pour finalité l’apprentissage, durant lequel l’enfant intègre dans sa personnalité ce qu’il a appris jusqu’à présent au cours de sa courte vie. Il imite et apprend à contrôler le monde qui l’entoure.
Alors pourquoi une vieille âme dotée d’une mémoire complète devrait-elle encore se comporter comme une enfant de neuf ans ?
« Pourquoi une vieille âme aussi sage, aurait-elle besoin de jouer ? » se demandait Anéeka, pendant que Yazhi continuait de jouer.
Anéeka n’a pas pu s’en empêcher et elle a décidé de s’approcher de Yazhi pour lui demander : « Yazhi, comment vas-tu ? ».
« Je vais bien, merci, pourquoi ? » répondit-elle.
« Yazhi, je peux te poser une question ? » dit Anéeka.
« D’accord, pas de problème » répondit-elle.
« Si tu te souviens de tant de vies passées, si tu sais tant de choses sur tout, qu’est-ce que tu pourrais apprendre d’un simple jeu pour enfant ? »
Yazhi sourit, fit une grimace soucieuse, et répondit : « Je joue pour oublier. »
(Publié par Mari Swaruu le 2 janvier 2023. Traduction par Olivier YaKa et Éloïse Al’Cyona)